Revue d'Histoire de l'Eglise de France
Volume 99, Issue 1, 2013
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Aspects économiques de la célébration des messes à la fin du Moyen Âge. Les chapellenies gérées par le chapitre cathédral d’Avignon au xive siècle
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AbstractAround 1373 the cathedral chapter of Avignon collected and transcribed into a register documents concerning the foundation of chaplaincies which are the principal subject of the present enquiry. With a view to paying for the perpetual masses, Avignon founders often established perpetual revenues in the form of an annual rent via emphyteotic contracts which presumed a perpetual obligation to pay. However, events often rendered these contracts fragile, so that they were often interrrupted and fell into oblivion. When the endowment for the foundation of a chaplaincy is mentioned in the testament of a founder, it was for the religious institution receiving it to follow closely the probate process, especially by keeping copies of the acts of foundation or the clauses of wills. When a founder conveyed his goods to the church, along with the ‘direct dominion’ over them, the church retained the emphyteotic contracts too, which enabled it to perpetuate these contracts over a long period. This practice also helped to sustain the stablility of the society. Thus it seems that in encouraging the foundation of such chaplaincies, the church contributed to more than the spiritual merits of the perpetual masses. The reform of the management of the chaplaincies that was introduced by the compilation of this register is situated, for its part, between the two domains of the religious and the economic.
AbstractGegenstand des Beitrags ist das um 1373 angelegte Register des Domkapitels von Avignon, in das die Dokumente zur Stiftung von Kapellen eingetragen wurden. Für Messen, die bis in alle Ewigkeit gefeiert werden sollten, stifteten die Gründer in Avignon oftmals « ewige » Einkünfte in Form von jährlichen Zinsen, die als Emphyteuse mit einer « ewigen » Verpflichtung versehen wurden. Aber im Laufe der Zeit wurden diese Verträge häufig ausgesetzt oder gerieten in Vergessenheit. Wenn bei der Stiftung der Kapellen die Dotierung im Testament des Stifters erwähnt wird, so muss die Kirche, der die Rentenzahlung zugedacht ist, auf die Umsetzung des letztenWillens achten, vor allem indem sie die Gründungsurkunden und die testamentarischen Verfügungen aufbewahrt. Falls der Stifter der Kirche seine Güter mit dem directum dominium überträgt, dann verwahrt sie auch die Emphyteuse-Verträge. Die Kirche konnte so die Anwendung der Emphyteuse über einen langen Zeitraum sichern. Diese Praxis trug zum guten Funktionieren der Gesellschaft bei. Man gewinnt deshalb den Eindruck, dass die Kirche, indem sie die Stiftung von Kapellen förderte, einen Beitrag leistete, der sich nicht auf die spirituellen Aspekte der ewigen Messen beschränkte. Auch die Reformder Verwaltung der Kapellen, die mit der Anlage dieses Registers verbunden war, ist deshalb am Scharnier beider Ebenen,Wirtschaft und Religion, zu verorten.
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Les miracles du suaire de Cadouin-Toulouse et la folie de Charles VI
show More to view fulltext, buy and share links for:Les miracles du suaire de Cadouin-Toulouse et la folie de Charles VI show Less to hide fulltext, buy and share links for: Les miracles du suaire de Cadouin-Toulouse et la folie de Charles VIBy: Michelle FourniéAbstractLe saint suaire du Christ vénéré dans l’abbaye cistercienne de Cadouin en Périgord, depuis le xiiie siècle, assure le succès d’un pèlerinage très fréquenté jusqu’au déclenchement de la guerre de Cent Ans. Le suaire est porté à Toulouse en 1392 et y reste jusqu’en 1455, objet d’un culte régional actif et de convoitises locales. Parmi les nombreux miracles thaumaturgiques qui se produisent, on décèle une double spécialisation : la protection de l’enfance et la guérison des maladies mentales. Cette seconde aptitude en justifie le prêt à Charles VI, le roi fou, qui vénère la relique à Paris en 1399. Le semi-échec de cette tentative s’accompagne d’expressions de scepticisme de la part de certains ecclésiastiques. Cela ne semble pas entamer le succès d’une relique toujours appréciée. La restitution mouvementée à Cadouin permet ultérieurement la reconstruction du monastère grâce aux faveurs de Louis XI.
AbstractThe holy shroud of Christ venerated in the Cistercian abbey of Cadouin in Périgord since the thirteenth century guaranteed the success of a very popular pilgrimage until the outbreak of the Hundred Years’ War. The shroud was brought to Toulouse in 1392 where it remained until 1455 and was the object of an active local cult as well as of local ambitions. Among the many miracles which occurred there, we can see a double specialisation - the protection of children and the curing of mental disorders. The second aptitude justified the loan of the shroud to Charles VI, the mad king, who venerated the relic in Paris in 1399. The half-failure of the effort led to expressions of skepticism on the part of certain clerics. But that did not, it seems, hinder the success of a relic that remained in demand. Its eventful return to Cadouin subsequently allowed the reconstruction of the abbey to take place, thanks to the generosity of Louis XI.
AbstractDas Schweißtuch Christi, das seit dem 13. Jh. in der Zisterzienserabtei von Cadouin im Périgord verehrt wurde, sicherte den Erfolg einer sehr beliebtenWallfahrt bis zum Ausbruch des Hundertjährigen Krieges. Das Schweißtuch wurde 1392 nach Toulouse gebracht und blieb dort bis 1455 ; es war Gegenstand eines regen regionalenKultes und lokaler Begehrlichkeiten. Bei den zahlreichenWundern, die sich ereigneten, lässt sich ein doppelter Aspekt ausmachen : der Schutz der Kinder und die Heilung von Geisteskranken. Letztere diente als Rechtfertigung dafür, dass man es Karl VI., dem verrückten König, auslieh, der die Reliquie 1399 in Paris verehrte. Der teilweise Misserfolg diesesVersuchs war begleitet vonAusdrücken der Skepsis seitens einerReihe von Klerikern. Dies schien den Erfolg einer stets geschätzten Reliquie nicht zu erschüttern. Die bewegte Rückgabe an Cadouin gestattete später den Wiederaufbau des Klosters dank der Gunsterweise Ludwigs XI.
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La Fête-Dieu d’Aix de 1803. Le témoignage d’une voyageuse anglaise
show More to view fulltext, buy and share links for:La Fête-Dieu d’Aix de 1803. Le témoignage d’une voyageuse anglaise show Less to hide fulltext, buy and share links for: La Fête-Dieu d’Aix de 1803. Le témoignage d’une voyageuse anglaiseBy: Noël CouletAbstractLa procession de la Fête-Dieu d’Aix-en-Provence et les jeux qui l’accompagnent passent, selon une tradition aussi fausse qu’indéracinable, pour une création du roi René. Cette cérémonie s’est construite progressivement à partir du milieu du xive siècle pour la procession, et du xve siècle pour les jeux. Elle s’est enrichie de nouveaux éléments jusqu’en 1787. La Révolution l’a supprimée, mais elle est rétablie en 1803. Cette reprise de la tradition a fait l’objet d’une description dans le récit des voyages de Millin dans les départements du Midi de la France. Il existe un autre témoignage, moins sarcastique et plus complet, dans le récit que l’Anglaise Anne 210 revue d’histoire de l’église de france Plumptre a donné de son séjour de trois ans en France de 1802 à 1805. Ce texte, qui n’a jamais été traduit en français, est présenté ici accompagné de notes et précédé d’une introduction qui remet la fête dans une perspective historique que la tradition a toujours voulu oublier.
AbstractThe Fête-Dieu procession in Aix-en-Provence and the games that accompanied it were, according to a tradition as false as it was impregnable, created by King René. The ceremony grew from the middle of the fourteenth century for the procession and from the fifteenth onwards for the games. New elements were added to it down to 1787. Suppressed by the Revolution, it returned in 1803. This reprise of a tradition was described in a travel account of the departements of the Midi by Millin. Another account, less sarcastic and more complete, exists, that which the English woman, Anne Plumtree, wrote about her three-year stay in France from 1802 to 1805. This text, never translated into French, is presented here with annotations and an introduction which situates the feast-day in a historical perspective which tradition always preferred to forget.
AbstractDie Fronleichnams-Prozession von Aix-en-Provence und die Spiele, die damit verbunden sind, gelten nach einer ebenso falschen wie unausrottbaren Tradition als von König René eingeführt. Diese Zeremonie entwickelte sich Schritt für Schritt ab der Mitte des 14. Jh. für die Prozession und ab dem 15. Jh. für die Spiele. Bis 1787 kamen neue Elemente hinzu. Die Revolution schaffte sie ab, aber sie wurde 1803 wieder eingeführt. Diese Wiederbelebung der Tradition war Gegenstand einer Beschreibung in Millins Bericht der Reisen in den südfranzösischen Departements. Es gibt noch ein anderes Zeugnis, das weniger sarkastisch und vollständiger ist, im Bericht den die Engländerin Anne Plumptre von ihrem dreijährigen Aufenthalt in Frankreich von 1802 bis 1805 gab. Dieser Text, der noch nicht ins Französische übersetzt wurde, wird hier mit Anmerkungen und einer Einführung, die das Fest in eine historische Perspektive einfügt, die die Tradition immer vergessen wollte, wiedergegeben.
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Écrire l’histoire ecclésiastique en France au milieu du xixe siècle. Censure et autocensure de sujets « sensibles »
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AbstractThe Histoires de l’Église published in mid-nineteenth century France (and especially the chapters on late antiquity) seem connected to the theological, ecclesiastical and political conflicts of the period. Thus, during the decades leading up to Vatican I, their authors discuss the question of papal infallibility in detail. The study of the reception of scholarly works by the ecclesiastical authority and, in some case, their censure draws attention to the scope of the historiographical controversies concerning sensitive subjects.
AbstractDie im 19. Jh. in Frankreich veröffentlichten Kirchengeschichten (und besonders die Kapitel zur Spätantike) scheinen in enger Verbindung zu den theologischen, kirchlichen und politischen Fragen der Zeit zu stehen. So diskutieren die Autoren in den Jahrzehnten, die zum Konzil Vatikan I führen, die päpstliche Unfehlbarkeit. Die Untersuchung der Aufnahme dieser Werke durch die kirchliche Autorität und ihre eventuelle Zensur erlaubt es, die Breite der historiographischen Kontroversen über sensible Themen zu unterstreichen.
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L’Action catholique à l’ombre de la Grande Guerre. L’exemple de quelques aumôniers de la Jeunesse étudiante chrétienne
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AbstractThe historiography has often rightly insisted on the role taken by laypeople in the Catholic church after the creation of the specialised movements of Catholic Action during the inter-war period. This article focuses instead on a group of ten almoners who accompanied the flowering of one of these movements in France - that of the Christian student youth (JEC). Its main question concerns their teaching, which profoundly oriented the movement at its outset, and what it owes to their experience of the First World War. Considered from this angle, the First World War emerges as one of the sources of the specialised Catholic Action in France.
AbstractAus gutem Grund hat die Historiographie oftmals die neue Position unterstrichen, die die Laien in der katholischen Kirche als Folge der einzelnen Bewegungen innerhalb der Katholischen Aktion in der Zwischenkriegszeit einnahmen. In seinem Beitrag befasst sich der Autor mit zehn Geistlichen, die zum Ende einer dieser Bewegungen in Frankreich, der christlichen studierenden Jugend, beitrugen. Er fragt vor allem danach, in welchem Maße ihr Unterricht - der die Bewegung in ihren Anfängen maßgeblich prägte - in der Kriegserfahrung verankert war. Aus diesem Blickwinkel erscheint der Erste Weltkrieg als Prägestock der Katholischen Aktion in Frankreich.
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Définir et inventorier les chapitres nobles de la France du xviiie siècle
show More to view fulltext, buy and share links for:Définir et inventorier les chapitres nobles de la France du xviiie siècle show Less to hide fulltext, buy and share links for: Définir et inventorier les chapitres nobles de la France du xviiie siècleBy: Corinne MarchalAbstractLes chapitres nobles français de l’Ancien Régime n’ont obtenu leurs lettres de créance universitaire qu’au cours de la décennie 1980. Une synthèse à leur sujet reste à produire et doit commencer par leur inventaire, lequel réclame des critères d’identification rigoureux. Nous montrons qu’au xviiie siècle les chapitres nobles ne se caractérisaient pas tant, comme on l’a souvent soutenu, par leurs liens étroits avec le monde que par un recrutement exclusivement nobiliaire reposant sur des preuves écrites de noblesse. Faute d’avoir pris en compte ces critères, les nombreux inventaires qui ont été produits depuis deux siècles sont insatisfaisants. Leur principale erreur tient au fait qu’ils considèrent comme chapitres nobles des institutions que Jean Meyer définit comme « chapitres à influences nobiliaires », dont une partie seulement des membres avaient prouvé leurs quartiers ou degrés de noblesse. Stricto sensu, il n’y eut donc en France à la fin de l’Ancien Régime que quarante-quatre chapitres nobles, dont trente de femmes (dix-neuf réguliers, vingt-cinq séculiers, dont neuf sécularisés au xviiie siècle).
AbstractThe French noble chapters of the ancien régime were only ‘recognised’ by university historians in the 1980s. A work of synthesis on them has yet to appear, and it must begin with an inventory of the chapters, one which deploys rigorous criteria of identification. This article shows that, in the 18th century, these chapters were not characterised, as it was often claimed, by their close ties to the world, but by a form of noble recruitment based exclusively on written proofs of noble status. The failure to take these criteria into account means that the numerous inventories produced over the past two centuries are inadequate. The major error is that they consider certain institutions to be noble chapters, but which Jean Meyer defined as ‘chapters subject to noble influence’, with only some of whose members ‘proving’ their quarters or degrees of noblity. Strictly speaking, there were only forty-four noble chapters in France at the end of the ancien regime, of which thirty were female (nineteen, regular, twenty-five secular, of which nine were secularised during the eighteenth century).
AbstractFür die adligen Kapitel des Ancien Régime interessiert sich die universitäre Forschung erst seit den 80er Jahren des letzten Jahrhunderts. Eine ihnen gewidmete Synthese ist noch zu schreiben ; sie müsste mit einem Inventar beginnen, dessen Identifikationen klaren Kriterien folgen. Der Beitrag zeigt, dass sich die adligen Kapitel im 18 Jh. nicht so sehr, wie man immer 212 revue d’histoire de l’église de france behauptete, durch ihre enge Verbindung mit der Welt auszeichneten, sondern durch eine Rekrutierung, die auf dem schriftlichen Nachweis des Adels beruhte. Ohne Berücksichtigung dieser Kriterien bleiben die zahlreichen Inventare, die seit zwei Jahrhunderten angefertigt wurden, unbefriedigend. Ihr grundsätzlicher Fehler besteht darin, dass sie solche Kapitel für adlig halten, die Jean Meyer als « vom Adel beeinflusste Kapitel » bezeichnete ; von ihren Mitgliedern hatte nur ein Teil seinen Adelsstand nachgewiesen. Genau genommen gab es am Ende des Ancien Régime in Frankreich nur 44 adlige Kapitel, davon 30 weibliche (19 regulierte, 25 weltliche, davon 9, die im 18. Jh. umgewandelt wurden).
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Notes bibliographiques
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Chronique
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