Brepols Online Books Medieval Miscellanea Collection 2011 - bob2011mime
Collection Contents
8 results
-
-
L'Antichità classica nel pensiero medievale
show More to view fulltext, buy and share links for:L'Antichità classica nel pensiero medievale show Less to hide fulltext, buy and share links for: L'Antichità classica nel pensiero medievaleIl patrimonio della cultura classica, nei suoi molteplici aspetti (dalla filosofia agli auctores letterari, dal diritto alla mitologia, ecc.), ha alimentato, tra «continuità» e «rinascite», in forme varie e differenziate a seconda dei luoghi e dei tempi, delle discipline e degli autori, l’universo intellettuale del Medioevo, al punto che ricostruire le fortune dell’«Antichità classica nel pensiero medievale» significa di fatto tracciare le vicende del sapere medievale. Questo è stato l’argomento del XIX convegno della Società Italiana per lo Studio del Pensiero Medievale (SISPM) i cui atti vengono pubblicati in questo volume.
La raccolta di saggi offre uno spaccato della sopravvivenza della cultura classica nel Medioevo, esaminando una grande varietà di questioni, di autori, di fonti e di generi letterari, toccando ambiti storico-culturali differenti, adottando numerose prospettive metodologiche e proposte teoriche. Seppur prevalenti, filosofia e teologia non sono le uniche discipline rappresentate nel volume, che ha anzi tra i suoi caratteri distintivi l’apertura multidisciplinare: accanto a contributi di contenuto filosofico e teologico, infatti, ve ne sono altri nei quali viene indagata la ricezione di componenti del patrimonio culturale classico quali la mitologia, la poesia e il diritto romano, nei quali i protagonisti del confronto con l’Antichità classica non sono i filosofi o i teologi, bensì i letterati e i giuristi medievali.
Contributi di N. Bray, G. Briguglia, G. Fioravanti, F. Forte, G. Gambale, G. C. Garfagnini, M. Meliadò, S. Negri, A. Palazzo, C. Panti, L. Parisoli, G. Piaia, D. Quaglioni, T. Ricklin, A. Rodolfi, F. Siri, C. Steel, M. Trizio. L. Tromboni, L. Valente.
-
-
-
Law and Sovereignty in the Middle Ages and the Renaissance
show More to view fulltext, buy and share links for:Law and Sovereignty in the Middle Ages and the Renaissance show Less to hide fulltext, buy and share links for: Law and Sovereignty in the Middle Ages and the RenaissanceSovereignty, law, and the relationship between them are now among the most compelling topics in history, philosophy, literature and art. Some argue that the state’s power over the individual has never been more complete, while for others, such factors as globalization and the internet are subverting traditional political forms. This book exposes the roots of these arguments in the Middle Ages and Renaissance. The thirteen contributions investigate theories, fictions, contestations, and applications of sovereignty and law from the Anglo-Saxon period to the seventeenth century, and from England across western Europe to Germany, France, Italy, and Spain. Particular topics include: Habsburg sovereignty, Romance traditions in Arthurian literature, the duomo in Milan, the political theories of Juan de Mariana and of Richard Hooker, Geoffrey Chaucer’s legal problems, the accession of James I, medieval Jewish women, Elizabethan diplomacy, Anglo-Saxon political subjectivity, and medieval French farce. Together these contributions constitute a valuable overview of the history of medieval and Renaissance law and sovereignty in several disciplines. They will appeal not only to political historians, but also to all those interested in the histories of art, literature, religion, and culture.
-
-
-
Lieu de pouvoir, lieu de gestion
show More to view fulltext, buy and share links for:Lieu de pouvoir, lieu de gestion show Less to hide fulltext, buy and share links for: Lieu de pouvoir, lieu de gestionLa société seigneuriale du bas moyen âge repose sur un ensemble de droits et d’obligations associant étroitement maîtres des lieux, sols et paysans. Les travaux et les jours y sont rythmés par l’exercice de pouvoirs et le poids de contraintes, mais aussi par des repères communs. La demeure seigneuriale, le château est de ceux-là.
«Résidence fortifiée d’un puissant» (Michel Bur): un type architectural est ici étroitement lié à une position de commandement politique et militaire, mais aussi économique et social. Il procure une domination sur une vaste région peut-être, mais aussi et d’abord sur un domaine et ceux qui le peuplent. Ces «manants», «villains», ou tout simplement «hommes», ainsi que les dénomment les sources, s’acquittent en rapport avec le château de prestations de garde, de guet, de charroi, de travaux d’aménagement. Pareilles tâches s’intègrent dans l’ensemble plus vaste de tout ce qui fait le «régime seigneurial».
Le seigneur est en outre, par la force des choses, gestionnaire. Des documents d’exploitation, tels comptes ou livres fonciers, peuvent aider l’historien à mieux cerner sa demeure et ses biens.
-
-
-
L’image médiévale: fonctions dans l’espace sacré et structuration de l’espace cultuel
show More to view fulltext, buy and share links for:L’image médiévale: fonctions dans l’espace sacré et structuration de l’espace cultuel show Less to hide fulltext, buy and share links for: L’image médiévale: fonctions dans l’espace sacré et structuration de l’espace cultuelCet ouvrage rassemble les travaux de chercheurs réunis autour du groupe IMAGO sur L’image médiévale: fonctions dans l’espace sacré et structuration de l’espace cultuel (CÉSCM). L’approche de l’image médiévale s’est considérablement enrichie ces dernières décennies suscitant de nouveaux enjeux méthodologiques. Les travaux qui lui ont été consacrés ont, en effet, montré que l’image médiévale était un objet complexe, polysémique, nouant des liens étroits avec son lieu d’inscription. S’interroger sur la définition et le fonctionnement du lieu cultuel revient à poser les bases et les cadres de l’analyse des images. La réflexion sur l’espace ecclésial permet de cerner la dialectique entre le monument – construit – et le lieu – institué symboliquement – pour mieux en comprendre l’organisation. En appréhendant l’image dans son contexte, il est alors possible de saisir les usages et les pratiques qui lui sont associés. Au-delà de l’approche iconographique, l’attention portée à la construction de l’image, à sa composition et à sa structure permet d’ouvrir de multiples champs d’investigations. Les contributions réunies dans ce recueil sont autant de regards croisés qui illustrent la diversité des approches et la richesse des problématiques liées à l’image. Ces réflexions s’inscrivent dans le cadre des activités du groupe IMAGO (CÉSCM, Poitiers) qui, depuis 1999, rassemblent dans une dynamique commune étudiants, jeunes chercheurs et chercheurs dont les recherches sont consacrées aux images médiévales.
-
-
-
Les innovations du vocabulaire latin à la fin du moyen âge: autour du Glossaire du latin philosophique
show More to view fulltext, buy and share links for:Les innovations du vocabulaire latin à la fin du moyen âge: autour du Glossaire du latin philosophique show Less to hide fulltext, buy and share links for: Les innovations du vocabulaire latin à la fin du moyen âge: autour du Glossaire du latin philosophiqueLe Glossaire du latin philosophique est un fichier d’environ 230.000 à 260.000 fiches consacré au vocabulaire philosophique du moyen âge. Une équipe du CNRS, au départ sous la direction de Pierre Michaud-Quantin, y a travaillé durant de nombreuses années. Récemment, il a été transporté de la Sorbonne à l’Institut de Recherche et d’Histoire des Textes, où il est désormais consultable à la Section latine.
A l’occasion de l’arrivée du Glossaire du latin philosophique à l’Institut de Recherche et d’Histoire des Textes et pour marquer un nouveau départ, une journée d’étude consacrée à ce fichier a eu lieu à l’IRHT, le jeudi 15 mai 2008, sous le titre «Les innovations du vocabulaire latin à la fin du moyen âge: autour du Glossaire du latin philosophique (philosophie, théologie, sciences)». L’accent était mis sur la fin du moyen âge (XIIIe-XVe s.) parce que le vocabulaire philosophique de cette période n’est représenté que très partiellement dans les dictionnaires du latin médiéval et que nombre d’éditions récentes concernent cette période.
Les articles réunis ici sont le reflet de cette journée, qui fut introduite et présidée par Louis Holtz. Ils sont de la main de Charles Burnett, Monica Calma, Ana Gómez Rabal, Jacqueline Hamesse, Ruedi Imbach, Alfonso Maierù et Jean-Pierre Rothschild. Ils sont suivis de deux Annexes: 1. Liste des différentes parties du fichier, 2. Quelques exemples tirés des différentes parties du fichier.
-
-
-
Les élites et la richesse au Haut Moyen Âge
show More to view fulltext, buy and share links for:Les élites et la richesse au Haut Moyen Âge show Less to hide fulltext, buy and share links for: Les élites et la richesse au Haut Moyen ÂgeCe volume recueille les actes d’un colloque tenu à Bruxelles dans le cadre du programme international «Les élites au haut Moyen Âge» et se propose d’étudier la richesse comme critère d’appartenance à l’élite sociale, politique ou religieuse et les usages faits de leurs biens matériels par les membres de ces groupes.
La possession de biens matériels, qu’il s’agisse de terres, de demeures, de bijoux, d’armes, de biens de production ou de biens de prestige, fait partie des éléments permettant à des groupes sociaux ou à des individus d’exercer leur domination sur les autres. À côté du prestige qu’assure la culture ou de la situation à la tête de réseaux complexes dans une société où les hiérarchies sont essentielles, la richesse classe et contribue à l’établissement du rang d’un individu ou d’un groupe dans l’ordre social.
Être riche entraîne un certain nombre de comportements et contraint à la satisfaction d’obligation de tous ordres: il existe un usage chrétien de la richesse et donc tout un discours sur sa signification et sa destination. La composition des fortunes, leur évolution, leur gestion et leur transmission sont de véritables problèmes auxquels le colloque «Les élites et la richesse durant le haut Moyen Âge» s’est efforcé de répondre, en axant ses interrogations sur les rationalités à l’œuvre dans les comportements des grands agents économiques de la période, qu’il s’agisse d’abbés, d’évêques ou de membres de l’aristocratie laïque.
Pour cette raison, les vingt contributions de l’ouvrage sont distribuées en trois parties, «Discourir sur la richesse», «Être riche» et «Obtenir et utiliser les richesses» qui marquent toutes trois un point de vue sur les interactions entre la richesse et la domination sociale telle qu’elle apparaît à travers les sources à notre disposition.
-
-
-
L’imaginaire de la parenté dans les romans arthuriens (XIIe-XIVe siècles)
show More to view fulltext, buy and share links for:L’imaginaire de la parenté dans les romans arthuriens (XIIe-XIVe siècles) show Less to hide fulltext, buy and share links for: L’imaginaire de la parenté dans les romans arthuriens (XIIe-XIVe siècles)Quoique éclipsée par la figure proéminente d’un héros, la parenté est au cœur de la matière de Bretagne. Or, nous n’insistons peut-être pas assez sur son rôle primordial aussi bien pour l’économie narrative que pour une meilleure compréhension, par le biais de l’imaginaire, d’aspects essentiels de la société médiévale. Les romans arthuriens mettent en scène toutes sortes de familles, touffues comme celle de Lancelot, ou bien restreintes comme celles des vavasseurs ou petits nobles qui font des apparitions fulgurantes. Il y a aussi des lignées sanctifiées comme celle des gardiens du Graal, ou damnées comme la descendance de Modred. C’est pourquoi les structures de parenté forment un cadre privilégié pour la prédestination et l’évolution des personnages. Parfois elles fonctionnent selon de pratiques réelles. Dans certains cas, elles les influencent, ou bien elles s’en écartent entièrement.
Les alliances matrimoniales souvent problématiques des romans arthuriens, leurs généalogies complexes, leurs conflits et loyautés d’ordre familial parviennent-ils à nous renseigner mieux sur la société médiévale, la légitimité, la violence, la vie privée, la femme? Ont-ils juste une valeur littéraire? Et quelle est la place du mythe païen ou de la pratique chrétienne dans le fonctionnement de la parenté? Enfin, l’héraldique occupe une place centrale dans l’imaginaire arthurien. Les armoiries, généralement signes d’appartenance à une parentèle, acquièrent des significations multiples et subissent des distorsions. Elles ont une valeur symbolique, marquant des étapes dans le devenir d’un personnage. Leur rôle politique de propagande n’est pas non plus négligeable. L’héraldique sert à la fois de marqueur d’identité ou de masque: elle rattache l’individu à son lignage ou souligne, au contraire, sa spécificité. Les textes, leur contexte ou l’iconographie, pris séparément ou mis en vis-à-vis, peuvent répondre à toutes ces questions, voire en susciter d’autres.
-
-
-
The Legacy of Bernard de Montfaucon: Three Hunderd Years of Studies on Greek Handwriting
show More to view fulltext, buy and share links for:The Legacy of Bernard de Montfaucon: Three Hunderd Years of Studies on Greek Handwriting show Less to hide fulltext, buy and share links for: The Legacy of Bernard de Montfaucon: Three Hunderd Years of Studies on Greek HandwritingIn September 2008, the seventh edition of the International Colloquium of Greek Palaeography (Madrid-Salamanca, 15-20 September 2008) celebrated the 300th anniversary of the Palaeographia Graeca, the pioneer work of the Benedictine Bernard de Montfaucon that established the fundamentals of the discipline. Papers by renowned specialists in the field contributed to the methodology of study and to our knowledge of Greek manuscripts, and opened new perspectives for the study of the Greek manuscripts preserved mostly in European libraries, taking into account new methodological approaches, the possibilities of online resources and the results of ongoing research projects.
The Proceedings published here include contributions by specialists from over ten different countries, dealing with palaeographical issues such as ancient capital and lower-case lettering, writing and books in the Macedonian, Comnenian and Palaeologan periods, and Greek scribes and ateliers in the Renaissance (especially in manuscripts from the Iberian Peninsula). Many contributors also take a codicological approach and consider the material aspects of the codex, as well as other new research techniques. Finally, some papers deal with the book as object and how this relates to its content, as well as with the history of texts.
The International Colloquia of Greek Palaeography are organized by the International Committee of Greek Palaeography, presided by Prof. Dieter Harlfinger. The seventh edition payed tribute to the memory of the late Jean Irigoin, who died in 2006.
-







