Brepols Online Books Other Monographs Collection 2011 - bob2011moot
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An Exposition on the Six-day Work
show More to view fulltext, buy and share links for:An Exposition on the Six-day Work show Less to hide fulltext, buy and share links for: An Exposition on the Six-day WorkBy: Peter AbelardPeter Abelard's Expositio in hexaemeron, or interpretation of the six-day work of creation, was commissioned by Heloise for the community of the Paraclete. The work is unusual in that it gives priority to the historical over the allegorical sense, and bears strong affinities to the writings of Thierry of Chartres and other twelfth century students of the natural sciences. As such, it is evidence both for the general state of twelfth century knowledge of cosmology, and for the quality of scholarship available in particular to a community of women religious.
The source text of this volume appeared in Corpus Christianorum Continuatio Mediaeualis as Expositio in Hexameron (CCCM 15). References to the corresponding pages of the Corpus Christianorum edition are provided in the margins of this translation.
Wanda Zemler-Cizewski is Associate Professor of historical theology in the Department of Theology at Marquette University in Milwaukee, Wisconsin. She received her doctorate in Medieval Studies at the University of Toronto in 1983, and is the author of numerous articles on early scholastic biblical interpretation and theology.
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Bibliographie de la littérature occitane: trente années d’études (1977-2007)
show More to view fulltext, buy and share links for:Bibliographie de la littérature occitane: trente années d’études (1977-2007) show Less to hide fulltext, buy and share links for: Bibliographie de la littérature occitane: trente années d’études (1977-2007)Authors: Wendy Pfeffer and Robert A. TaylorUne bibliographie cumulative de ce qui a été publié sur la littérature occitane, du Moyen Âge à notre ère, comprenant les recherches et les publications sur tout auteur qui a écrit en occitan, de toutes les époques. Autant de données touchant à Max Rouquette (20e siècle) qu’à Arnaut Daniel (troubadour médiéval).
La bibliographie est organisée siècle par siècle, ensuite rubrique par rubrique. Tout au début se trouvent les données qui n’entrent pas facilement dans une organisation temporelle (les anthologies qui couvrent plus d'un siècle, par exemple). Le Moyen Âge est considéré comme un ensemble, équivalent à un siècle. Chaque bloc temporel est organisé selon ses auteurs, en ordre alphabétique. Pour le Moyen Âge, les troubadours sont identifiés par numéro de Pillet-Carstens.
Wendy Pfeffer est professeur de français à l’Université de Louisville (KY). Ses recherches touchent à la littérature occitane médiévale et aux interprétations contemporaines de celle-ci; depuis longtemps, elle est bibliographe pour Tenso, périodique nord-américain dédié aux études occitanes.
Robert A. Taylor est professeur émerite, Département de français, l’Université de Toronto. Ses recherches embrassent l’ancien français et la littérature occitane, avec un intérêt particulier pour la bibliographie de la littérature occitane médiévale.
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Commentaire de l'Apocalypse
show More to view fulltext, buy and share links for:Commentaire de l'Apocalypse show Less to hide fulltext, buy and share links for: Commentaire de l'ApocalypseBy: TyconiusL’Apocalypse johannique a longtemps posé problème dans l’Église ancienne, en raison de son caractère hermétique et de l’abus qu’en ont fait les sectes millénaristes. L’Orient ne l’a reçue que tardivement, non sans restriction, dans le canon des Écritures. En Occident, elle n’a pas suscité les mêmes réticences. Elle le doit à un exégète génial, qui a su en proposer une lecture à la fois politiquement correcte, théologiquement acceptable et spirituellement utile, dans un contexte historique très différent de celui où elle avait été rédigée. Tyconius, qui a vécu en Afrique du Nord dans la seconde moitié du IVe siècle, appartenait à l’Église donatiste, mais il était loin de partager sans réserve sa doctrine. Il en prenait même le contre-pied sur des points fondamentaux. Cela n’a pas empêché que son commentaire de l'Apocalypse ait subi le sort commun à la plupart des ouvrages réputés, à tort ou à raison, hérétiques: il n’a plus été recopié et s’est perdu. Cependant, les commentateurs de l’antiquité chrétienne et du haut moyen âge s’en sont inspirés de façon à ce point étroite, qu’il est possible de reconstituer, par comparaison, leur source commune. Ce texte fondateur, dont on trouvera ici la traduction, a été édité dans la série latine du Corpus Christianorum sous le numéro 107A. Des renvois aux pages correspondantes de l’édition sont fournis dans les marges de cette publication.
Monseigneur Roger Gryson, professeur émérite à l'Université catholique de Louvain, est connu notamment par ses travaux sur l'histoire des institutions ecclésiastiques dans l'antiquité, l'arianisme latin et la critique textuelle de la Bible latine.
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Defending Christ: The Latin Apologists before Augustine
show More to view fulltext, buy and share links for:Defending Christ: The Latin Apologists before Augustine show Less to hide fulltext, buy and share links for: Defending Christ: The Latin Apologists before AugustineThis work is a discussion of the African Latin apologists prior to St. Augustine. The time-frame ranges from the end of the second century into the opening of the fourth; one of the most important locations in the formative history of Christian doctrine and practice. In turn, the literary medium of the apology carries particular significance in this period. The apologetic writings of Minucius Felix, Tertullian, Cyprian, Arnobius of Sicca and Lactantius are considered in chronological order, highlighting aspects of a collective tradition as well as more individual apologetic concerns. Common themes, shared arguments, and probable lines of influence all support a highly workable generic connection of African Latin apologetics, provided that the nuances of each text are taken into account. The purpose of this study is to contribute to the dialogue of a tradition of African Latin apologetics before Augustine of Hippo’s landmark De ciuitate dei.
Nicholas Thomas did his graduate studies in Theology and Patristics at the University of Wales Lampeter, and is currently engaged in research focused on the history of pre-Constantinian Latin Christianity through the documents of the Latin fathers.
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L'interprétation du Cantique des cantiques à travers les chaînes exégétiques grecques
show More to view fulltext, buy and share links for:L'interprétation du Cantique des cantiques à travers les chaînes exégétiques grecques show Less to hide fulltext, buy and share links for: L'interprétation du Cantique des cantiques à travers les chaînes exégétiques grecquesLe Cantique des cantiques a été, durant toute l’Antiquité chrétienne, le livre de l’Ancien Testament le plus lu après le Psautier. Dans le domaine grec, il a donné lieu à bon nombre de commentaires, à partir desquels les chaînes exégétiques ont été constituées. Certaines exégèses du Cantique ne sont aujourd’hui accessibles qu’à travers les chaînes : c’est le cas pour celles d'Apollinaire de Laodicée et de Cyrille d'Alexandrie. La chaîne la plus intéressante est l'Épitomé de Procope de Gaza, qui contient 390 citations empruntées à une dizaine d'auteurs (entre le iii e et le v e siècle). Il s'agit d'un instrument de travail original, qui se propose de déployer les virtualités de sens du texte biblique, en fournissant au lecteur un échantillonnage diversifié d'interprétations. L'Épitomé sur le Cantique vient d'être édité dans le Corpus christianorum (Series Graeca, 67). L'éditeur montre ici comment le Cantique est interprété à travers l'Épitomé, verset après verset; il explicite le projet du caténiste et étudie sa méthode de travail; il analyse les exégèses d'Apollinaire et de Cyrille, qui ne sont pas transmises en dehors de l'Épitomé. Il étend l'enquête à d'autres chaînes sur le Cantique en montrant, à partir d'une analyse précise des prologues, comment chacune introduit à la lecture du Cantique.
L'auteur, Jean-Marie Auwers, est professeur de patrologie à l'Université catholique de Louvain (Louvain-la-Neuve). Ses recherches portent plus particulièrement sur la réception des écrits bibliques dans l’ancienne littérature chrétienne.
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Le sūtra des contemplations du Buddha Vie-Infinie
show More to view fulltext, buy and share links for:Le sūtra des contemplations du Buddha Vie-Infinie show Less to hide fulltext, buy and share links for: Le sūtra des contemplations du Buddha Vie-InfinieAuthors: Jérôme Ducor and Helen LovedayLe Sūtra des contemplations de Vie-Infinie a joué un rôle déterminant dans l’histoire de la Terre pure, cette tradition qui occupe jusqu’à nos jours une place majeure dans le bouddhisme de l’Extrême-Orient. Typique de l’idéal du Grand Véhicule, ce texte fournit une méthode complexe pour visualiser le Buddha Amida et son royaume en cette vie-ci, ainsi qu’une pratique plus accessible : la récitation du nom de ce buddha (nembutsu) pour aller naître auprès de lui dès la vie prochaine.
Inconnu des sources indiennes mais traduit en chinois au début du Ve siècle de notre ère, ce sūtra est depuis une cinquantaine d’annés l’objet d’un débat sur son origine véritable. Cependant, il occupe une position clef entre les traductions chinoises archaïques du Grand Sūtra de l’agencement de la Sukhāvatī (IIIe s.) et la floraison de l’école de la Terre pure à l’ère des Tang (VIIe s.). En outre, le Sūtra des contemplations se distingue comme l’une des sources importantes de l’art bouddhique sino-japonais, depuis l’Asie centrale jusqu’au Japon médiéval. Ses représentations sur les grandes fresques et bannières peintes des VIIIe et IXe siècles, découvertes dans les grottes de Dunhuang, témoignent d’un long développement iconographique, dont les étapes antérieures peuvent être retracées par l’archéologie. Le double intérêt philologique et iconographique de ce texte en fait donc un jalon déterminant dans l’enquête tentant de cerner le processus de l’acclimatation en sol chinois de cette tradition venue de l’Inde via la Route de la soie.
Pour la première fois, la présente étude traite de ces deux dimensions conjointement, en fournissant une introduction détaillée et une traduction commentée du texte, doublée d’une analyse fouillée de son évolution artistique en Chine jusqu’à sa représentation classique au Japon, le « Mandala de Taima ».
Jérôme Ducor est privat-docent à la section des langues et civilisations orientales de l’université de Lausanne et conservateur du département Asie au Musée d’ethnographie de Genève.
Helen Loveday est chargée de cours en art asiatique à l’université de Genève et conservatrice à la Fondation Baur (Musée des Arts d’Extrême-Orient, Genève).
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Les Apôtres Thaddée et Barthélemy. Aux origines du christianisme arménien
show More to view fulltext, buy and share links for:Les Apôtres Thaddée et Barthélemy. Aux origines du christianisme arménien show Less to hide fulltext, buy and share links for: Les Apôtres Thaddée et Barthélemy. Aux origines du christianisme arménienLes textes arméniens présentés et traduits en français dans ce volume relatent les circonstances de la prédication et du martyre des apôtres Thaddée et Barthélemy en Arménie, à l'époque du roi Sanatrouk. Ils présentent les deux apôtres comme les premiers fondateurs de l'Église arménienne, bien avant l'œuvre évangélisatrice de Grégoire l'Illuminateur, au début du IVe siècle, lorsque le royaume d'Arménie adopta, le premier, le christianisme comme religion d'État.
Livrant bataille aux démons et aux divinités mazdéennes, dans des récits imprégnés de mythologie païenne, les deux apôtres œuvrent à l'accomplissement d'un plan divin qui fait du peuple arménien le nouveau peuple élu. Sur le modèle de l'histoire biblique, ces textes apocryphes participent en effet de la même visée que la pensée historiographique arménienne des origines et contribuent à inscrire le peuple arménien dans l'Historia sacra.
Faisant suite aux Martyres, les deux récits de la Découverte des reliques des apôtres sur le sol arménien veulent apporter une caution d'authenticité à la tradition de leur mission. À l'époque des querelles christologiques qui suivirent le concile de Chalcédoine (451), le label d'apostolicité offert par les textes apocryphes légitima la politique d’affranchissement de l'Église arménienne, anti-chalcédonite, par rapport à l’Église byzantine. De nos jours encore, l'Église d'Arménie, autocéphale depuis le VIe-VIIe siècle, s'appelle officiellement « Église apostolique arménienne ».
Valentina Calzolari est professeure de langue et littérature arméniennes à l’Université de Genève et membre de l'Accademia Ambrosiana de Milan (Classe di Studi sul Vicino Oriente). Elle est Présidente de l'Association pour l’Étude de la Littérature Apocryphe Chrétienne (AELAC) et de l’Association Internationale des Études Arméniennes (AIEA).
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Les mésaventures de la théodicée. Plotin, Origène, Grégoire de Nysse
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L’abbé Lebeuf, prêtre de l’histoire
show More to view fulltext, buy and share links for:L’abbé Lebeuf, prêtre de l’histoire show Less to hide fulltext, buy and share links for: L’abbé Lebeuf, prêtre de l’histoireBy: Xavier BisaroCélébrant le centenaire de la mort de l’abbé Jean Lebeuf (1687-1760), un prédicateur du XIXe siècle fit de ce célèbre académicien l’exemple même du prêtre de l’histoire. Articulation étrange entre les diverses facettes de la carrière de Lebeuf (état ecclésiastique, fonctions capitulaires, érudition, activité liturgique et historienne), cette formule ne peut dissimuler son instabilité en dépit de l’assurance de l’énoncé. Mêlant intimement deux mondes - celui de la parole rituelle celui de la raison cognitive - tant de fois opposés depuis le Siècle des Lumières, elle incite à reconsidérer ce que fut l’organisation pratique et intellectuelle d’une vie savante sous l’Ancien Régime, d’une existence vécue dans le calme des bibliothèques comme dans l’agitation du siècle d’Unigenitus. Elle implique aussi de suivre un cheminement, celui d’un clerc provincial qui, une fois admis dans la République des Lettres, n’abandonna pas les gestes ou les modes de pensée et de représentation de la liturgie érudite ayant rythmé, nolens volens, l’ensemble de sa vie.
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Mitralis
show More to view fulltext, buy and share links for:Mitralis show Less to hide fulltext, buy and share links for: MitralisDie vorliegende Übersetzung gilt einer um 1200 verfassten Gesamtdarstellung der Liturgie. Der Autor Sicard (etwa 1150-1215) war in seiner Zeit ein bedeutender Bischof, Politiker, Historiker und Jurist. In jahrelanger Arbeit erforschte er die Riten nicht nur der römischen, sondern auch der regionalen und lokalen Kirchen. Er verarbeitete dafür die Fachliteratur besonders des 12. Jahrhunderts. Bei der Deutung von Herkunft und Sinngebung der einzelnen Formeln und Formen legt sich Sicard nicht auf eine einzige Theorie fest. Neben historischen Aspekten bietet er stets umfangreiche christologische Bezüge. Seine profunde Kenntnis der Bibel, gerade des Alten Testaments, hilft ihm dabei sichtlich. Auch die Perikopen bezieht er in seine Kommentierung ein. Im Zentrum seiner Betrachtung steht immer Christus als Herr der Kirche. Darum wählt er auch den ausgefallenen Titel ‚Mitralis’ (zu ergänzen ‚liber’): Christus ist der sichtbare Oberste Bischof in der Mitra. Seine wissenschaftliche Methode ist, wie in der damaligen Zeit üblich, die Allegorie. In neun Büchern werden geschildert: I das Kirchengebäude (einschließlich des künstlerischen Schmucks), II die Kleriker (Ordination und Tracht), III die Messe, IV das Offizium, V - VIII das Kirchenjahr (gegliedert nach den Festkreisen), IX Heiligenfeste. Mit seiner anspruchsvollen Darstellung möchte Sicard durch bessere Kenntnis der Materie zur Wertschätzung der Liturgie einladen. Er hat dabei ein einzigartiges literarisches Werk geschaffen.
Der zugrundeliegende Text dieses Bandes erschien 2008 in der Reihe Corpus Christianorum Continuatio Mediaeualis 228 Sicardi episcopi Cremonensis Mitralis de officiis, herausgegeben von Dr. Gábor Sarbak, Mitarbeiter der Akademie der Wissenschaften Budapest, und Lorenz Weinrich, ehem. Professor für mittelalterliche Geschichte an der Freien Universität Berlin. L. Weinrich hat u. a. zahlreiche Übersetzungen mittellateinischer Werke veröffentlicht. Die Ziffern am Seitenrand verweisen auf die entsprechenden Seiten der Edition.
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Questions and Answers
show More to view fulltext, buy and share links for:Questions and Answers show Less to hide fulltext, buy and share links for: Questions and AnswersThe Questions and Answers, presented here for the first time in an English version, form a surprising text. Although put together some thirteen centuries ago (c. 700 A.D.), in what was then a territory newly overrun by Moslem invaders, they retain an astonishing topicality: many of the questions asked at that time by people who had problems with religious beliefs and practices are still being asked today. Anastasios, the person who tried to help people with his replies was linked to the isolated desert monastery of Sinai, founded near the tip of the Arabian peninsula by the great Justinian, probably for strategic defensive reasons as well as out of religious piety. Such a mixture of politics and religion is easy to appreciate today. Anastasios himself does not seem to have lived in any ivory-tower. He toured what is now Egypt and Palestine, preaching and taking part in the religious discussions dividing Christians. His numerous contacts were probably the source of the queries that reached him, and with his obvious delight in writing, he gladly penned replies that are models of pastoral moderation and good sense. The themes that surface have much to do with everyday life: trying to please God while living in a world where family obligations and business interests often leave one perplexed. In the historical background are the Moslems creating very harsh conditions for many Christians, while in the cultural background are the ways of thought that dominated medical and scientific thinking: the four elements that work as instruments of God; the biblical texts that have to be interpreted with common sense; the political and ecclesiastical institutions that need to be respected but not idolized. The danger with such a translation is that it may blur the profound differences that separate us from those who asked the questions then. But on the other hand many will discover with pleasure the common humanity that allows us to listen today with sympathy and understanding to such far-off voices.
The source text of this volume appeared in Corpus Christianorum Series Graeca as Anastasius Sinaita - Quaestiones et responsiones (CCSG 59). References to the corresponding pages of the edition are provided in the margins of this translation.
Dr Joseph A. Munitiz was a founder member of the team that launched the Corpus Christianorum Greek Series in 1976, and contributed three volumes to the series, while also Master of Campion Hall, the Jesuit house of studies in Oxford, and later a Research Fellow of Birmingham University.
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Commento alla Epistola ai Galati
show More to view fulltext, buy and share links for:Commento alla Epistola ai Galati show Less to hide fulltext, buy and share links for: Commento alla Epistola ai GalatiIl commento di Girolamo di Stridone all’Epistola ai Galati, composto nel 386 a Betlemme all’indomani della definitiva (e burrascosa) partenza da Roma, è un’impresa senza precedenti, come lo Stridonense dichiara nel prologo: applicando con coerenza tecniche note a Roma, ma guardate fino a quel momento con sospetto, lo Stridonense si propone di spiegare un’epistola paolina non più mediante la semplice parafrasi con qualche rara digressione filosofica che orienti il lettore (com’ era il caso dei predecessori latini Mario Vittorino e Ambrosiaster), bensì, alla maniera di Origene, come dibattitto aperto tra una pluralità di interpretazioni fra le quali il lettore può liberamente orientarsi. L’intuizione geronimiana ha, tra l’altro, il merito di dare nuova linfa ad un fenomeno culturale di grande portata per la letteratura latina in età tardoantica, che vede, nell’arco di pochi decenni, la fioritura a Roma, e più in generale in Occidente, di numerosi commentari paolini. Impossibile per noi moderni individuare gli autori greci delle molteplici spiegazioni menzionate da Girolamo; ma è certo che Origene è la fonte principale e che per questo l’opera geronimiana rappresenta uno dei frutti più belli della fortuna dell’Alessandrino nel IV secolo. L’interesse per il commento a Galati è infine accresciuto dalla diatriba a distanza che s’innesca tra Girolamo e Agostino a proposito della spiegazione dello Stridonense di Gal 2, 11-14: forse riprendendo da Origene una spiegazione assai peculiare dell’incidente di Antiochia, lo Stridonense finisce col provocare un’articolata e più volte reiterata protesta epistolare da parte di Agostino, il quale non ammette la novità geronimiana.
La versione latina originale del testo proposto in traduzione in questo volume è pubblicata nella collana Corpus Christianorum. Series Latina con il titolo Hieronymus - Commentarii in epistulam Pauli apostoli ad Galatas (CCSL 77A). I rimandi alle pagine corrispondenti dell’edizione sono forniti a margine di questa traduzione.
Giacomo Raspanti è Professore a contratto di Letteratura Cristiana Antica presso l'Università di Palermo (Italia). Si occupa di esegesi biblica patristica e di oratoria pagana e cristiana in età tardoantica.
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De l'iconographie racinienne, dessiner et peindre les passions
show More to view fulltext, buy and share links for:De l'iconographie racinienne, dessiner et peindre les passions show Less to hide fulltext, buy and share links for: De l'iconographie racinienne, dessiner et peindre les passionsLes sujets des tragédies de Racine ont été transposés dans les arts visuels dès le XVII e siècle. Ils ont inspiré des tableaux à quelques peintres, mais surtout ils ont agrémenté le livre à figures. Nous nous proposons d’étudier ces compositions dans un ensemble réunissant des œuvres exécutées de 1668 à 1815. Les représentations visuelles, qui illustrent différents instants des pièces, qui proposent des synthèses, s’inscrivent dans des contextes de création témoins de la réception de Racine. Leur étude ne se départit ni des principes théoriques qui régissent les arts et le théâtre, ni des convenances propres à chacun. En représentant les héros raciniens, en montrant leurs corps malmenés par les passions, les artistes ont instauré un dialogue entre le texte et l’image dont l’un des points de convergence est la quête de l’éloquence. Bien que leur inspiration littéraire s’inscrivît dans une longue tradition, n’y avait-il pas une difficulté extrême à illustrer ces drames ? En effet, comment se sont-ils approprié le vocabulaire visuel du poète, quelle couleur ont-ils donnée aux lieux et aux costumes, mais surtout par quel moyen ont-ils représenté les tensions et les passions ? Les artistes s’en sont acquittés avec une fortune inégale, mais leurs œuvres méritent d’être étudiées, analysées à la lumière des vers de Racine.
Biographie
Docteur en histoire de l’art moderne, enseignante et conférencière, ses recherches portent sur les rapports entre le texte et l’image. Cet essai prend appui sur les recherches entreprises dans le cadre de la thèse. De nombreux articles ont paru, souvent consacrés à des problématiques iconographiques : « À la lueur d’une flamme, Racine peintre de nocturnes », « Ornements et narrations, le dialogue des motifs gravés », « Poétique racinienne et arts visuels », « De l’usage de la lettre dans la gravure d’illustration », « Le décor dans l’Histoire naturelle de Buffon », « Jacques de Sève illustrateur du théâtre de Racine ».
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L'enseignement de la rhétorique au IIe siècle ap. J.-C. à travers les discours 30-34 d'Ælius Aristide ἐν λόγοιϛ καὶ μαθήμασιν καὶ ἐπαίνοις τραφείς
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Thanks to them, we are able to better know the universe of the sophists in the first centuries of our era, the handing down of knowledge, and more specifically of rhetoric, which had became the main education of the elites, the cultural heritage of Classic Greece in the 2nd century A.D., the part played by the scholars - the grammarians- and of course, when we mention Aelius Aristides, the power of faith and of god, especially Asclepius, present in all human activities.
Hence the present work, at the crossroads of rhetoric and religion, contributes to shed light on the history of ancient teaching and the future of the Greek civilization during the first centuries in our era.
Jean-Luc Vix is associate professor in Ancient Greek at the University of Strasbourg.
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Rhétorique et poétique de Macrobe dans les 'Saturnales'
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A former student of the Ecole Normale Supérieure de la rue d’Ulm, Paris, and an Agrégé de lettres classiques, Benjamin Goldlust is Associate Professor at the University of Lyon 3 - Jean Moulin. His research work focuses mainly on Late Latin Literature.
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Texts of Greek and Latin Authors on the Far East
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