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Das Leben der Maria von Oignies
show More to view fulltext, buy and share links for:Das Leben der Maria von Oignies show Less to hide fulltext, buy and share links for: Das Leben der Maria von OigniesAuthors: Jacob von Vitry and Thomas von CantimpréIn diesem Band liegt zum ersten Mal eine deutsche Übersetzung der lateinischen Vita der Maria von Oignies vor. So wird dieses hagiographisch, literarisch und spirituell bedeutende Werk aus dem frühen 13. Jahrhundert einem breiteren Publikum zugänglich gemacht. Diese Vita ist unter vielen Aspekten bedeutsam und von heutigem Interesse. Denn sie gibt Zeugnis von einer hochmittelalterlichen Begine und Mystikerin, die in ständiger inniger Gottesverbindung eine rigorose Askese lebt, faszinierende mystische Erfahrungen hat, als Visionärin und Prophetin Vorhersagen gibt, mit der siebenfachen Geistgabe begnadet wird und Ereignisse des Irdenlebens Jesu imaginiert.
Iris Geyer wurde 1991 mit der Arbeit "Maria von Oignies. Eine hochmittelalterliche Mystikerin zwischen Ketzerei und Rechtgläubigkeit" in Heidelberg promoviert. Sie arbeitet als evangelische Pfarrerin an der Auferstehungskirche in München. Zuletzt, im Jahr 2012, erschien von ihr, in Zusammenarbeit mit Maike Schmauß, "Übers Wasser gehen. Wie die Bibel hilft, nicht im Alltag zu versinken".
Der zugrundeliegende Text dieses Bandes erschien in der Reihe Corpus Christianorum Continuatio Mediaevalis als Iacobus de Vitriaco, Vita Marie de Oegnies (CCCM 252), herausgegeben von R. B. C. Huygens. Die Ziffern am Seitenrand verweisen auf die entsprechenden Seiten der Edition.
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Entre rhétorique et musique
show More to view fulltext, buy and share links for:Entre rhétorique et musique show Less to hide fulltext, buy and share links for: Entre rhétorique et musiqueBy: Marie Formarier« La science de l’éloquence politique est une musique ; la différence avec le chant et la musique instrumentale est une différence de degré et non de nature ». Denys d’Halicarnasse pose ainsi le problème passionnant du rapport entre l’art du discours, c’est-à-dire la rhétorique, et la musique. Cet essai en propose une analyse philologique et anthropologique, prenant comme objet l’un des points de convergence essentiels entre ces deux disciplines : le rythme. Dans quelle mesure la parenté entre le rythme oratoire et le rythme chanté témoigne-t-elle des changements linguistiques et culturels qui ont marqué la latinité de Cicéron à Gui d’Arezzo ? Si le rythme chanté dans l’Antiquité grecque doit observer une mesure musicale pour que la mélodie puisse être dansée, le rythme oratoire en revanche ne saurait respecter strictement une pulsation. Varier et improviser les combinaisons rythmiques sans se soumettre à un cadre fixe, voilà, pour Cicéron, ce qui distingue le rythme oratoire du mètre et du rythme musical. Ces principes trouvent un écho saisissant au Moyen Âge dans le chant chrétien. Bien que le latin ait subi des modifications profondes, les règles rythmiques établies par l’éloquence classique infléchissent indéniablement les techniques de composition du « cantus prosaicus ».
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Les Douze Apôtres
show More to view fulltext, buy and share links for:Les Douze Apôtres show Less to hide fulltext, buy and share links for: Les Douze ApôtresBy: Régis BurnetLes personnages historiques constituent un médium privilégié de transmission de valeurs et d’idéologies. Partant des informations plus ou moins historiquement fondées se rapportant à leur existence concrète, des communautés diverses arraisonnent les « grands hommes » et les modèlent en fonction des idées qu’elles entendent véhiculer. Ils incarnent les conceptions d’une époque ou d’une communauté et permettent de saisir avec précision les évolutions historiques. Formant le groupe le plus proche de Jésus, les Douze ont constitué un puissant vecteur de légitimité dans le christianisme. Après avoir montré l'historicité de ce noyau de familiers de Jésus mais aussi la difficulté de savoir comment caractériser la fonction d' « apôtre » qui leur est attribuée, ce livre tente de réaliser une histoire de la réception des figures des Douze apôtres jusqu'au Haut Moyen Âge. Chaque apôtre est donc étudié pour lui-même, tandis que l'on suit différentes phases de sa réception en analysant les textes canoniques (évangiles et Actes des Apôtres), les textes apocryphes, les œuvres patristiques et les listes liturgiques.
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Les nouvelles théories des rapports mathématiques du XIVe au XVIe siècle
show More to view fulltext, buy and share links for:Les nouvelles théories des rapports mathématiques du XIVe au XVIe siècle show Less to hide fulltext, buy and share links for: Les nouvelles théories des rapports mathématiques du XIVe au XVIe siècleBy: Sabine RommevauxEntre le XIIIe siècle et le XVIe siècle se développent en Europe des théories des rapports et des proportions mathématiques, qui, si elles s’ancrent dans des traditions remontant à Euclide et Nicomaque, les dépassent en proposant de nouveaux objets comme la dénomination des rapports, rationnels ou irrationnels, ou les rapports de rapports. Une place privilégiée est accordée, dans cet ouvrage, au traité Sur les rapports de rapports de Nicole Oresme, qui, dans le prolongement des travaux de Thomas Bradwardine, propose une théorie novatrice, présentant un grand intérêt mathématique. On verra comment cette théorie a été acceptée ou rejetée, en particulier par Blaise de Parme, Alvares Thomas ou Pedro Nuñez. Et on trouve, en annexe à cet ouvrage, la première édition critique traduite et commentée de l'Algorismus proportionum de Nicole Oresme.
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Rituels bouddhistes de pouvoir et de violence
show More to view fulltext, buy and share links for:Rituels bouddhistes de pouvoir et de violence show Less to hide fulltext, buy and share links for: Rituels bouddhistes de pouvoir et de violenceBy: Nicolas SihléLa violence occupe une place paradoxale dans le bouddhisme tantrique tibétain. Alors que l’impératif éthique de ne pas nuire aux êtres est absolument central, l’activité rituelle comporte une face beaucoup plus sombre, une face de pouvoir et de violence : celle du repoussement et de la destruction du mal. Toute une machinerie rituelle est déployée pour écarter ou tuer des démons hostiles, voire des « ennemis » aux contours vagues - la magie noire n’est pas absente. De terribles divinités protectrices sont incitées à tuer, à battre, à réduire en morceaux… Comment comprendre l’importance de cette modalité violente dans le contexte bouddhique ?
La question est d’autant plus intrigante qu’il existe un type de spécialiste religieux tibétain fortement associé à ce versant problématique du domaine rituel : le ngakpa, ou tantriste. Contrairement au moine, ce religieux spécialisé dans les rituels tantriques ne prononce pas de voeux monastiques. Qui sont les tantristes, et comment comprendre qu’un spécialiste bouddhique soit associé à l’exercice de rituels violents ? Pour répondre à cette interrogation, l’auteur nous fait découvrir une communauté villageoise de tantristes située dans la bordure himalayenne du monde tibétain, dans une haute vallée du nord du Népal. Le regard anthropologique porté sur ces religieux et leur société, sur leurs rituels et leurs questionnements éthiques permet de faire émerger des éléments de cohérence qui sous-tendent l’association des tantristes à des rituels de violence. Cette contribution importante à l’anthropologie du bouddhisme tibétain apporte un éclairage nouveau pour penser la violence de l’exorcisme et, à travers la dualité du moine et du tantriste, les champs religieux marqués par la présence de différentes formes de spécialisation religieuse.
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Sidonio Apollinare, Epitalamio per Ruricio e Iberia
show More to view fulltext, buy and share links for:Sidonio Apollinare, Epitalamio per Ruricio e Iberia show Less to hide fulltext, buy and share links for: Sidonio Apollinare, Epitalamio per Ruricio e IberiaAbout the mid-Fifties of 5th century AD, the Gallo-Roman aristocrat and gifted poet Sidonius Apollinaris composed an epithalamium to celebrate the marriage of his noble friends Ruricius and Hiberia. Sidonius did not know that in less than two decades he would become the bishop of Clermont-Ferrand, nor could Ruricius imagine that he would die the bishop of Limoges. Clinging to their profane models mostly represented by the epithalamia written by Statius and Claudian, the poem (carm. 11) and its preface (carm. 10) depict a world where the overwhelming presence of myth helps to keep reality aside and the skilled devices of a sophisticated poetry try to revive the formal perfection of Roman classics and their values.
This volume provides a general introduction, a critical text with Italian translation, a punctual commentary (in fact the first one) to the epithalamium and its preface, and a summary in English; it shows the original contribution of Sidonius to the literary tradition of late Latin Epithalamia; it illustrates the techniques of the poet; it deals with the many exegetic problems presented by both poems and it proposes new solutions for some of them.
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The Letters of Gelasius I (492-496)
show More to view fulltext, buy and share links for:The Letters of Gelasius I (492-496) show Less to hide fulltext, buy and share links for: The Letters of Gelasius I (492-496)Authors: Bronwen Neil and Pauline AllenWhile not completely neglected as a late-antique epistolographer, Gelasius has mainly been considered as a theologian prominent in the Acacian schism and as a forerunner of the mediaeval papacy. This imbalance will be redressed by considering his letters on various problems of his time, such as displaced persons, persecution, ransoming captives, papal property management, social and clerical abuses involving servants, orphans, slaves and slave-owners, the ordination of lower classes, preferential treatment of upper classes, the role of the papal scrinium, violent deaths of bishops, and the celebration of the pagan festival of the Lupercalia. This approach will round out the existing portrait of Gelasius, and make a contribution to a new history of the late-antique papacy, which will revise the view that Gregory the Great was a stand-alone micro-manager without precedent. Comparisons with earlier fifth-century popes like Innocent I and Leo I, and with later popes like Hormisdas and Pelagius I, show the trajectory from Gelasius to Gregory I.
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The Syriac Pseudo-Clementines
show More to view fulltext, buy and share links for:The Syriac Pseudo-Clementines show Less to hide fulltext, buy and share links for: The Syriac Pseudo-ClementinesBy: F. Stanley JonesOf imperial family and eventually Peter’s heir as bishop of Rome, Clement relates here how he happened to become a Christian and how Peter instructed his companions as he refutes the arch-heretic Simon Magus in a series of debates. Clement also recounts the astonishing recovery of his long-lost family. All these events occur in the year of Christ’s death.
The Pseudo-Clementines were popular reading throughout the Middle Ages in a Latin translation and reemerged in early modern times via vernacular versions and especially the Faust-legend. Often considered the first and only ancient Christian novel, the Pseudo-Clementines originated in Syrian Jewish-Christianity in the early third century. Two ancient Syriac translations from the fourth century reflect Greek texts no longer preserved; they contain the essence of Clement’s biographical account and of Peter’s teachings and debates with Simon. Of particular interest is Peter’s detailed review of the origins of Christianity, which apparently seeks to rebut the canonical Acts of the Apostles and lays the blame for the unbelief of the Jews squarely at the feet of Paul.
This volume presents the first complete translation of the Syriac into any modern language and thereby opens the door for a new stage of historical research and literary appreciation.
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Judíos y conversos en el Corpus Christi: la dramaturgia calderoniana
show More to view fulltext, buy and share links for:Judíos y conversos en el Corpus Christi: la dramaturgia calderoniana show Less to hide fulltext, buy and share links for: Judíos y conversos en el Corpus Christi: la dramaturgia calderonianaDepuis le XVe siècle on fait jouer en Espagne des pièces lors de la Fête-dieu, appelées autos sacramentales. Au début les liens entre l’action dramatique et l’exaltation de l’eucharistie n’est pas toujours de mise mais la tendance sera de donner une cohérence thématique au théâtre et à la fête dans laquelle il s’inscrit. Théâtre de dévotion, théâtre didactique mais théâtre, c’est-à-dire une intrigue et des personnages capables de nous émouvoir, et c’est Calderón de la Barca, le dramaturge qui porte l’auto sacramental à maturité, qui va saisir que le moyen le plus apte pour réunir théologie et tension dramatique est de mettre le Christ au centre de l’action, ce qui entraînera chez lui une présence presque continuelle du Peuple Juif en tant qu’acteur de la Passion.
Le propos de mon ouvrage est de retracer l’évolution de la construction de ce personnage, ses avatars sur une longue durée en prenant compte des pesanteurs de l’histoire, du contexte historique et social espagnol, où les juifs et ses nombreux descendants baptisés, les nouveaux chrétiens, jouent un rôle si important (Première partie).
Je consacre une deuxième partie à l’analyse de l’image des juifs et des nouveaux chrétiens dans l’auto sacramental caldéronien. Je prête une grande importance aux liens que Calderón, poète de Cour, entretient avec le pouvoir et aux conséquences qui en découlent d’une telle proximité.
Enfin, une troisième et dernière partie se focalise sur les implications dramaturgiques : construction et type de personnages, jeu des acteurs ; action dramatique ; séquences types ; costumes…, afin de dresser un panorama le plus complet possible de la présence de juifs et nouveux-chrétiens dans le théâtre de la Fête-Dieu.
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Les noblesses du nom
show More to view fulltext, buy and share links for:Les noblesses du nom show Less to hide fulltext, buy and share links for: Les noblesses du nomBy: Olivier Bouquet« Les Turcs ont coutume de donner aux gens un nom qui illustre un de leurs défauts ou de leurs vertus, car ils ne disposent que de quatre noms propres, réservés aux descendants de la famille ottomane ». Ainsi Don Quichotte condense-t-il en peu de mots un lieu commun répandu : celui d’un Orient sans noms, celui d’un Empire sans noblesse. Don Quichotte est fou, mais il y a toujours une part de vérité dans ce qu’il dit. Les Ottomans changeaient de nom comme de chemise. Les surnoms - souvent les plus disgracieux - étaient à la source de bien des désignations. On ne trouvait pas une rue sans un Mehmed, pas un café sans un Ahmed. Le titre plus que la désignation comptait dans les usages sociaux comme dans les bureaux de l’État. L’administration déformait sans vergogne les noms des juifs et des chrétiens. Le sultan écorchait les désignations de souverains qu’il tutoyait. L’onomastique n’obéissait à aucune règle stricte. Elle n’accordait presque aucune place au nom de famille. Les Ottomans ne portaient ni armes ni blasons. Ils ne reconnaissent aucune aristocratie hors de la lignée d’Osman. Autant de réalités admises par des voyageurs orientalistes, des idéologues kémalistes ou des historiens de l’Empire ottoman. En un mot : l’égalité des conditions l’emportait sur la reconnaissance de noblesses, et il était plus important de gagner un titre que de se faire un nom.
La lecture des sources révèle néanmoins un monde de noms plus riche et plus complexe. Don Quichotte est fou, mais s’il a beaucoup voyagé, il n’a jamais parcouru l’Empire. En réalité, les Ottomans se servaient de leurs noms de personne pour s’identifier et se distinguer, faire valoir leurs droits et transmettre leurs biens. À partir des nomenclatures turques, arabes et persanes, ils inventèrent leurs propres modes de désignation. Ils en nourrirent leurs lettres et leurs arts. Par les noms, ils dominèrent leurs sujets non musulmans, valorisèrent les héros et les saints, reconnurent des lignées pré-ottomanes et constituèrent de nouvelles noblesses. Le nom de famille tel que nous l’entendons était certes le grand absent de l’anthroponymie ottomane. Mais des noms de famille existaient, au-delà des seuls patronymes : noms d’ancêtres, de collatéraux et de femmes. Il est vrai, la Turquie kémaliste imposa une procédure radicalement nouvelle : tout citoyen devait porter un nom de famille. Mais ces noms, pour une partie d’entre eux, existaient déjà. Ils étaient inscrits dans les registres d’État. Ils figuraient dans les généalogies, sur les stèles funéraires. Au sein de franges sociales que le sultan ne reconnaissait toujours pas comme noblesses d’Empire, perçait l’imaginaire d’une noblesse des noms.
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Treasury
show More to view fulltext, buy and share links for:Treasury show Less to hide fulltext, buy and share links for: TreasuryBy: TheognostosDiscovered by the French scholar, Marcel Richard, on one of his photographic expeditions to the monastic libraries of Mount Athos, the Thesaurus was entrusted to a young scholar, Joseph Munitiz, who prepared the editio princeps for his doctoral thesis, defended at the Sorbonne in 1976. The work was shown to have been composed by a little-known spiritual author, thought to have been active in the fourteenth century, but placed, thanks to a passing reference in his Treasury, in the middle of the thirteenth century. This semi-encyclopaedic work was intended to provide an overview of the sort of knowledge considered essential for a young prince, as one chapter is an exhortation to a future emperor. Thus it contains a summary of the Old Testament, with curious reflections (e.g. on female wickedness and the ingenuity of Solomon), and chapters on dogmatic questions: the divinity of Christ; the value of Holy Scripture; the sacraments, icons, the Theotokos, and the key role of the Ecumenical Councils. A large part is made up of moral exhortations attributed partly to Amphilochios and backed by pious stories. There are also florilegia, so popular in Byzantine spiritual writings, focused around the eucharist, the priesthood, sexual morality and confession. At the end, some questions-and-answers (another popular Byzantine genre) deal with items of general knowledge (ranging from theology, through astronomy, to alms-giving). In general, the work opens a window into the mind of the ordinary believer in mediaeval Constantinople.
The source text of this volume appeared with the title Theognosti Thesaurus as volume 5 in Corpus Christianorum Series graeca, in 1979. References to the corresponding pages of the edition are provided in the margin of this translation, along with a list of corrections of the Greek.
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