Brepols Online Books Other Miscellanea Collection 2016 - bob2016miot
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Scepticisme et religion
show More to view fulltext, buy and share links for:Scepticisme et religion show Less to hide fulltext, buy and share links for: Scepticisme et religionDans le langage commun, le scepticisme apparaît comme l’opposé de la religion. Cette opposition est le produit d’une histoire, d’une relation diachronique aussi tumultueuse que forte. La richesse de ce processus a été mise en évidence par les travaux, notamment de Popkin, portant sur la Renaissance et le « libertinage ». En revanche, la question a été beaucoup moins approfondie pour l’Antiquité et le Moyen Âge. Les contributions réunies dans ce volume, qui vont de la philosophie hellénistique à la philosophie médiévale, visent donc à repenser sans préjugé la totalité du problème, avec l’espoir d’aboutir à une représentation nouvelle du lien ou de l’absence de lien entre ces deux éléments fondamentaux de la pensée occidentale.
Anne-Isabelle Bouton-Touboulic est Professeur de langue et littérature latines à l’Université de Lille. Spécialiste de saint Augustin et de la réception des philosophies anciennes dans l’Antiquité tardive, elle est l’auteur notamment de L’ordre caché. La notion d’ordre chez saint Augustin, Paris, 2004.
Carlos Lévy est Professeur émérite de littérature et philosophie romaines à l’Université de Paris-Sorbonne (Paris IV). Ses recherches portent sur la philosophie hellénistique et romaine (particulièrement Cicéron), sur Philon d’Alexandrie et sur la présence de la philosophie antique dans la pensée contemporaine. Parmi ses principales publications : Cicero Academicus, Rome, 1992 ; Les scepticismes, Paris, 2008.
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Science et exégèse
show More to view fulltext, buy and share links for:Science et exégèse show Less to hide fulltext, buy and share links for: Science et exégèseLes huit premiers versets de la Genèse forment un tout, par la densité même des images sur lesquelles sest exercée une exégèse scienti que, philosophicothéologique et spirituelle multiséculaire pour élaborer une métaphysique et une spiritualité de la création. Comment cette spéculation se dégage-t-elle des images bibliques construites par couples dopposés - ciel/terre, lumière/ténèbres, eaux den haut/eaux den bas ?
Les huit premiers versets de la Genèse parlent de la création : commencement du monde, principe divin du monde, a rmation dune toute-puissance en action. Mais du texte hébreu à ses versions grecques et latines, ce texte fondateur pose de nombreuses di cultés de vocabulaire et dinterprétation, di cultés auxquelles se sont confrontés les exégètes du monde antique et médiéval. ue ce soit dans la littérature exégétique, encyclopédique, poétique, voire dans les représentations gurées, larticulation de lexégèse nest pas univoque, mais dépend des langages adoptés, littéraires ou artistiques, tout autant que des objectifs poursuivis. On assiste à la mise en oeuvre d’une culture diversifiée, mais cette diversi cation recoupe souvent une non-diversi cation dans linterprétation qui est, au moins tendanciellement, dordre spirituel. Réciproquement, dans le déchi rement du monde, les di érents savoirs constituent autant de degrés qui mènent à Dieu.
Il est dautres questions, dordre plus spéci quement « littéraire » : comment les exégètes antiques ou médiévaux ont-ils abordé ce récit de la Création ? uelle(s) logique(s) du texte sacré ont-ils dégagée(s) au l du temps ? Comment problèmes et réponses évoluent-ils à travers les commentaires en hébreu, en grec ou en latin ? À l’étude du substrat scientifico-philosophique doit donc sajouter celle de la mise en forme du texte.
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Shaping Authority
show More to view fulltext, buy and share links for:Shaping Authority show Less to hide fulltext, buy and share links for: Shaping AuthorityThe cultural and religious history from Antiquity through the Renaissance may be read through the lens of the rise and demise of auctoritates. Throughout this long period of about two millennia, many historical persons have been considered as exceptionally authoritative. Obviously, this authority derived from their personal achievements. But one does not become an authority on one’s own. In many cases, the way an authority’s achievements were received and disseminated by their contemporaries and later generations, was the determining factor in the construction of their authority. This volume focuses on the latter aspect: what are the mechanisms and strategies by which participants in intellectual life at large have shaped the authority of historical persons? On what basis, why and how were some persons singled out above their peers as exceptional auctoritates and by which processes did this continue (or discontinue) over time? What imposed geographical or other limits on the development and expansion of a person’s auctoritas? Which circumstances led to the disintegration of the authority of persons previously considered to be authoritative? The case-studies in this volume reflect the dazzling variety of trajectories, concerns, actors and factors that contributed over a time span of two millennia to the fashioning of the postmortem and lasting authority of historical persons.
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Studies on Florence and the Italian Renaissance in Honour of F.W. Kent
show More to view fulltext, buy and share links for:Studies on Florence and the Italian Renaissance in Honour of F.W. Kent show Less to hide fulltext, buy and share links for: Studies on Florence and the Italian Renaissance in Honour of F.W. KentThis volume honours F. W. (Bill) Kent (1942–2010), internationally renowned scholar of Renaissance Florence and founding editor of the Europa Sacra series. Kent belonged to an energetic generation of Australians who, in the late 1960s, tackled the Florentine archives and engaged key issues confronting historians of that ever-fascinating city.
With his meticulous archival findings and contextual interpretations spanning a scholarly career of more than forty years, Kent engaged with, indeed drove, the scholarly response to many of the issues that have shaped not just our current and emerging understanding of Florence and other urban centres of Italy, but along with that, a more nuanced view of the role of frontier towns and the countryside.
Interdisciplinary in scope and grounded in visual, literary, and archival materials, the essays presented here explore a variety of facets of the society of Renaissance Italy, confronting and extending themes that have been emerging in recent decades and exemplified by Kent’s work. These themes include the role of kinship and networks, power and agency in Laurentian Florence, gender, ritual, representation, patronage, spirituality, and the generation and consumption of material culture.
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