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L'Odissea marciana di Leonzio tra Boccaccio e Petrarca
show More to view fulltext, buy and share links for:L'Odissea marciana di Leonzio tra Boccaccio e Petrarca show Less to hide fulltext, buy and share links for: L'Odissea marciana di Leonzio tra Boccaccio e PetrarcaL’imponente fatica ermeneutica del greco Leonzio Pilato, amico di Petrarca e Boccaccio, dischiuse la via al ritorno di Omero in Occidente nella seconda metà del Trecento. Da quando, negli anni ’60 del secolo scorso, Agostino Pertusi ha identificato gli autografi marciani delle sue versioni omeriche, agli studiosi è stato possibile entrare nell’officina di Leonzio, a un tempo copista, traduttore e commentatore dei due poemi.
Nel presente studio si offre per la prima volta l’edizione integrale dei testi grecolatini dell’autografo leonteo dell’Odissea, il Marc. gr. IX 29, e si illustrano i molteplici aspetti del suo lavoro. Da una parte, sul versante del greco, si evidenziano alcune peculiarità della recensione del poema tramandata dal Marciano, dall’altra si sottopone a sistematica analisi la fisionomia ortografica, morfosintattica e lessicale del latino di Leonzio. Particolare attenzione è dedicata alle dinamiche interpretative che emergono dalla versione interlineare, eseguita ad verbum secondo l’uso medievale, e dalla densa postillatura. Si dà accuratamente conto, inoltre, delle tracce lasciate nel codice da altre mani: le numerose annotazioni che si sono potute assegnare a Boccaccio e Petrarca aprono nuovi scenari sulle prime vicende del manoscritto e documentano il vivo interesse con cui fin dall’inizio i due umanisti si accostarono alla lettura dell’Odissea.
Valeria Mangraviti (Messina, 1983) ha conseguito il dottorato di ricerca in Filologia antica e moderna presso l’Università degli Studi di Messina. La sua tesi di dottorato ha ricevuto l’accésit nell’ambito del IV Premio Internacional Ana María Aldama Roy de Tesis Doctorales. I suoi percorsi di studio sono attualmente orientati verso le traduzioni grecolatine medievali e soprattutto indirizzati all’attività ermeneutica di Leonzio Pilato e alla tradizione delle sue versioni omeriche.
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Le shaykhisme à la période qajare
show More to view fulltext, buy and share links for:Le shaykhisme à la période qajare show Less to hide fulltext, buy and share links for: Le shaykhisme à la période qajareBy: Denis HermannCette monographie constitue la première histoire sociale et doctrinale du shaykhisme à l’époque qajare (1786-1925), qui à côté de l’osulisme, de l’akhbarisme et enfin du soufisme chiite, constitue depuis deux siècles l’un des principaux courants du chiisme duodécimain. L’auteur, qui a résidé longtemps en Iran pour y effectuer ses recherches, a plongé dans les sources originales du shaykhisme pour en étudier le rôle religieux, politique et social. L’ouvrage se propose de synthétiser les doctrines développées par l’École shaykhie, de faire comprendre l’histoire de ses origines et les modes de son implantation sur le territoire iranien, d’évaluer l’interaction quotidienne de ses membres avec la société environnante et d’analyser les prises de positions de ses maîtres sur les principaux bouleversements politico-religieux que connût la société qajare.
Travailler sur l’histoire sociale et doctrinale d’un groupe donné, c’est également appréhender une période à travers un témoignage nécessairement singulier. Ainsi, cet ouvrage est également une contribution à l’histoire de l’Iran durant la période qajare.
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La souveraineté monétaire dans les Pays-Bas méridionaux XVIe-XIXe siècle
show More to view fulltext, buy and share links for:La souveraineté monétaire dans les Pays-Bas méridionaux XVIe-XIXe siècle show Less to hide fulltext, buy and share links for: La souveraineté monétaire dans les Pays-Bas méridionaux XVIe-XIXe siècleL’idée d’un retour à une souveraineté monétaire « nationale » exploite une fibre identitaire qui joue la nation contre l’Europe. Elle relève d’une conception figée de la souveraineté qui serait irréductiblement incarnée par l’Etat. L’histoire montre pourtant que la monnaie ne peut exister en dehors d’un consensus liant l’autorité souveraine aux acteurs du change, négociants et banquiers. L’étude des Pays-Bas méridionaux révèle qu’entre le règne de Charles Quint et la création de la banque nationale de Belgique en 1850, rares furent les périodes où les monnaies belges s’imposèrent dans le concert des nations européennes. Il faut attendre la grande réforme de 1749 pour voir fonctionner un système monétaire efficace. Encore l’impératrice Marie-Thérèse dut elle pour y parvenir « se relâcher de ses droits régaux en faveur de ses sujets ». La mise en œuvre d’un régime monétaire suppose une porosité de l’autorité politique qui doit composer sans cesse avec les corps constitués de la société, mais aussi avec les autorités voisines et les acteurs du marché des métaux et du marché des changes sur lesquels elle n’a pas la main.
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