Brepols Online Books Medieval Miscellanea Collection 2019 - bob2019mime
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Late Medieval Devotional Compilations in England
show More to view fulltext, buy and share links for:Late Medieval Devotional Compilations in England show Less to hide fulltext, buy and share links for: Late Medieval Devotional Compilations in EnglandDevotional compilations were the staple spiritual food for lay and religious readers in the late medieval period. As well thought-out assemblages of texts or extracts of texts, they provided readers with material from basic catechetic instruction to advice and tools for the practice of contemplation. Their exploration enables a more sophisticated understanding of the authorial roles played by compilers, the reading practices of their recipients, and the patronage of compilations carried out by religious and secular individuals and communities. It also offers a new window into late medieval English religiosity as well as demonstrating the complexity and creativity associated with compiling activity.
In this volume, leading scholars in the field of medieval English literature consider the role and impact of a substantial number of devotional compilations, offering new evidence about the manuscripts, sources, and contexts that frame this important corpus.
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Les stratégies de la narration dans la peinture médiévale
show More to view fulltext, buy and share links for:Les stratégies de la narration dans la peinture médiévale show Less to hide fulltext, buy and share links for: Les stratégies de la narration dans la peinture médiévaleDepuis les débuts de l’art chrétien, l’Ancien Testament a reçu une place singulièr dans le décor des églises comme dans l’illustration des manuscrits. Certaines formules conçues aux IVe-Ve siècles se sont imposées durant tout le Moyen Âge, comme celles de Saint-Pierre de Rome, et une influence encore plus large a longtemps été attribuée à la Genèse Cotton ou à son modèle. Les oeuvres médiévales ne reproduisent toutefois presque jamais servilement celles qui les ont précédées. Les concepteurs les ont constamment réélaborées pour des raisons probablement multiples : adapter la composition au cadre imposé par l’architecture ou le découpage du folio, optimiser les ressorts de la narration pour en faciliter la lecture ou toucher plus efficacement la sensibilité du spectateur, enchaîner les scènes pour entraîner le regard dans le sens de la lecture ou relier sémantiquement deux épisodes voisins, induire un sens spécifique inspiré par la théologie ou la liturgie, ou encore exprimer visuellement des ambitions institutionnelles voire politiques. Les quinze articles réunis dans cet ouvrage développent ces questionnements en les appliquant à des ensembles peints ou en mosaïque représentatifs de la période envisagée : les oeuvres conservées ou perdues des premiers siècles, Saint-Pierre de Rome, Saint-Paul-hors-les-Murs et leurs avatars médiévaux, les bibles carolingiennes de Tours et celles de Ripoll, Galliano, les autres ensembles lombards, Saint-Savin-sur-Gartempe, Château-Gontier, Palerme et Monreale. Pour enrichir cette réflexion, le champ d’investigation a été étendu aux cycles néotestamentaires des églises médiobyzantines et aux mosaïques de Saint-Marc de Venise. Dans la conclusion, Herbert Kessler propose en effet une mise au point stimulante sur la délicate question de la Genèse Cotton en nuançant son influence sur le cycle vénitien. L’ouvrage offre ainsi un panorama très complet de la représentation de l’Ancien Testament et une réflexion foisonnante sur les stratégies de la narration.
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La construction sociale du sujet exclu (IVe-XIe siècle)
show More to view fulltext, buy and share links for:La construction sociale du sujet exclu (IVe-XIe siècle) show Less to hide fulltext, buy and share links for: La construction sociale du sujet exclu (IVe-XIe siècle)Préoccupation intense de l’époque contemporaine, l’exclusion sociale apparaît comme un sujet plus dramatique encore dans les sociétés anciennes, que l’on se représente plus volontiers fondées sur la communauté et la solidarité. L’existence du sujet exclu pourrait même y paraître impossible, tant les liens à la communauté semblent essentiels. Les sociétés de l’Antiquité tardive et du haut Moyen Âge se caractérisent en effet par l’existence de multiples communautés, plus ou moins fortement intégratives, qui s’enchevêtrent, se superposent, s’opposent.
Si la notion d’individu peut sembler contestable pour ces périodes, la personne ou le sujet s’y expriment sans conteste. L’exclusion, état extrême qui permet de mettre à nu le sujet dans sa tension avec la communauté, est un observatoire privilégié pour saisir comment se (re)construisent le statut et l'intériorité de la personne. Les quatorze contributions rassemblées dans ce volume, issues d'un colloque tenu à l'Université de Padoue, interrogent les traces, les lieux et les conséquences de l’exclusion aussi bien dans les sources textuelles qu'archéologiques, du IVe au XIe siècle. Elles montrent en particulier comment discours et pratiques de la justice ou des institutions chétiennes peuvent marquer le statut ou le corps du sujet, et comment celui-ci réagit face à l’exclusion, quitte à faire de celle-ci un élément revendiqué de son identité.
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Le scribe d’archives dans l’Occident médiéval
show More to view fulltext, buy and share links for:Le scribe d’archives dans l’Occident médiéval show Less to hide fulltext, buy and share links for: Le scribe d’archives dans l’Occident médiévalContrairement aux scribes « de bibliothèque », les scribes « d'archives » - l'étiquette désigne ici de façon ouverte tous les acteurs de la pratique scripturaire dans le champ foisonnant des sources documentaires - sont très souvent les auteurs intellectuels des textes qu'ils tracent sur le parchemin ou le papier. Pour beaucoup d'entre eux, l'acte quotidien d'écrire n'est donc pas une fin en soi, ni même forcément un aspect prédominant du labeur ; ils exercent une ou plusieurs fonction(s) qui dépasse(nt) parfois très largement le cadre de cette activité technique. La palette de leurs profils socioprofessionnels présente une infinie variété, marquée par d'énormes écarts de statut et de prestige que le seul maniement commun de l'écriture ne saurait gommer. Qui étaient-ils vraiment ? Même si les médiévistes à l'œuvre dans les archives les côtoient intimement à travers leurs productions écrites, bien peu de recherches leur ont été dédiées : l'historiographie se contente trop souvent d'images d'Épinal qui masquent la complexité et la diversité des situations de terrain. Certes, la plupart des scribes se dérobent à l'historien, frappés d'anonymat. D'autres, cependant, se laissent saisir à la faveur d'une carrière saillante ou d'un dossier loquace : en reconstituant leurs parcours, ce volume collectif vise à jeter les fondements d'une histoire sociale des « scribes d'archives » dans l'Occident latin du second Moyen Âge.
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Lyon dans l’Europe carolingienne
show More to view fulltext, buy and share links for:Lyon dans l’Europe carolingienne show Less to hide fulltext, buy and share links for: Lyon dans l’Europe carolingienneLyon, capitale des Burgondes (Ve-VIe siècles), avait été marginalisée au temps des royaumes mérovingiens de l’Entre-Seine-et-Rhin, et ses élites décimées par les pouvoirs francs (VIIe-VIIIIe siècles). La création d’un empire par Pépin le Bref puis Charlemagne a changé la donne. Dans une construction politique qui veut unir la Germanie à l’Italie, la Saxe à la Catalogne, Lyon retrouve une place centrale : porte de l’Espagne chrétienne, voie d’accès privilégiée à l’Italie lombarde dont Charlemagne a fait son premier objectif militaire, la ville devient la tête de pont de la présence franque dans le sud de l’Europe.
Le pouvoir carolingien cependant ne s’impose pas à Lyon seulement par la force, mais en y relevant le gouvernement épiscopal. Des évêques choisis par les empereurs pour leurs compétences intellectuelles sont placés à la tête de la cité. Leidrade et Agobard, Amalaire puis Amolon assurent le rayonnement durable de Lyon par l’excellence des écoles qu’ils fondent et qui attirent des clercs de l’Europe entière, ainsi que par la profusion des manuscrits qu’ils réunissent dans la bibliothèque cathédrale. L’intense activité culturelle lyonnaise du IXe siècle n’est pas corsetée par le soutien politique initial des Carolingiens. Au contraire, les clercs proposent des politiques alternatives au gouvernement des princes francs ; ils appellent à la création d’une Europe unifiée par le respect d’une loi unique et la renaissance d’un empire chrétien universel… Des propositions qui tiennent de l’idéalisme et du fondamentalisme biblique, et qui ne seront jamais suivies d’effet.
Le présent volume réunit des contributions rédigées à l’occasion du douzième centenaire de l’élection épiscopale d’Agobard à Lyon (816-840).
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The Literary Legacy of Byzantium
show More to view fulltext, buy and share links for:The Literary Legacy of Byzantium show Less to hide fulltext, buy and share links for: The Literary Legacy of ByzantiumNineteen scholars join forces to pay tribute to one of the leading scholars in Byzantine studies, Father Joseph A. Munitiz. As one of the founders of the Series Graeca of the Corpus Christianorum and because of his own exemplary work, Joe Munitiz had and has a lasting impact on the development of Byzantine studies. There is no better way to honour him and his work than to offer him a Festschrift with contributions that mimic his quality, passion, and curiosity.
The Festschrift contains several "firsts": the first English translation of Eustathius' Letter concerning the Two Natures against Severus, and the first critical editions (and studies) of an anonymous iambic canon on St John Chrysostom, of letter Z of the Etymologicum Symeonis, of some additions to letter A in the Florilegium Coislinianum, of a possible credo of Metrophanes of Smyrna, of a letter by Nicolas Pepagomenos to Gregory Palamas, and of Maximus Confessor's Tomos to Stephen of Dor against the Ekthesis.
The innovative studies in this volume deal with the Slavonic and Greek catenae on the Song of Songs, with Athanasius Letter to Marcelinus, with an ascetic miscellany in a thirteenth-century Atheniensis, with the so-called 'First Chapter Titles' in the second recension of the Florilegium Coislinianum, with the date of composition of the Maximia Corpus, with Raimundus Lullus' knowledge of Byzantium, with the reception of the Catalogue of Inventors in Gregory of Nazianzus' fourth oratio, and with Titus of Bostra's polemic against the Manicheans.
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