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L’abbaye de Lisle-en-Barrois
show More to view fulltext, buy and share links for:L’abbaye de Lisle-en-Barrois show Less to hide fulltext, buy and share links for: L’abbaye de Lisle-en-BarroisSi l’histoire des grandes abbayes cisterciennes est bien connue, il n’en va pas de même pour des abbayes de moindre dimension, comme celles qui se sont implantées dans le diocèse de Verdun : Lachalade, Châtillon-en-Woëvre et Lisle (par la suite transférée du Verdunois au Barrois). Mais tel était le cas de bien d’autres monastères cisterciens que l’histoire des grandes abbayes de l’ordre (Cîteaux, Morimond, Clairvaux, Trois-Fontaines etc.) a souvent éclipsé. L’étude de ces petites abbayes permet ainsi d’apporter une contribution à l’histoire locale, révélant des chartes jusqu’alors inédites, complétant ipso facto des corpus d’actes épiscopaux, comtaux etc., permettant aussi de mieux appréhender des lignages locaux et de nombreux aspects de la vie régionale.
Arrière-petite-fille de Morimond, abbaye modeste, au sud de la forêt d’Argonne, aux confins de la Champagne et de la Lorraine, en même temps que des diocèses de Verdun, Toul et Châlons, Lisle-en-Barrois s’est développée dans une relative tranquillité. Bien insérée dans son environnement immédiat, elle n’avait comme possessions lointaines que des maisons à Verdun et Metz, pour à la fois y écouler ses productions et servir d’étape sur la route du sel.
Au terme d’un patient travail, cet ouvrage vient éclairer l’histoire originelle de l’abbaye et livre un recueil de chartes inédites, couvrant les abbatiats jusque 1226, concourant ainsi à la connaissance générale du Moyen Âge et à celle des cisterciens en Lorraine.
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Mobilités du lignage anglo-normand de Briouze (mi-xi e siècle – 1326)
show More to view fulltext, buy and share links for:Mobilités du lignage anglo-normand de Briouze (mi-xi e siècle – 1326) show Less to hide fulltext, buy and share links for: Mobilités du lignage anglo-normand de Briouze (mi-xi e siècle – 1326)By: Amélie RigolletLa famille de Briouze se désigne elle-même, depuis le milieu du xi e siècle, par un toponyme, en référence au centre originel de sa puissance territoriale. Le qualificatif d’« anglo-normand » employé pour désigner le lignage de Briouze permet d’évoquer sa double appartenance culturelle. Le lignage dépasse cette acception binaire en s’implantant dans les régions annexées par la couronne anglaise. Les Briouze sont des seigneurs transrégionaux, puisqu’au gré des conquêtes, ils construisent un vaste patrimoine transmaritime, morcelé à l’intérieur du monde anglo-normand.
Relier les parcours individuels et les stratégies lignagères aux évolutions d’ensemble : cette démarche permet de saisir la complémentarité des phénomènes à des échelles variées pour discerner les particularismes propres aux Briouze. L’interconnexion entre expansion territoriale, ascension sociale et loyauté envers la royauté est l’une des caractéristiques de leur histoire. Cette dernière est écrite par le recoupement d’actes collectés dans les fonds ecclésiastiques et les archives du pouvoir souverain, croisés aux discours produits par l’historiographie médiévale. Les discontinuités coïncident avec l’évolution de la structure du lignage et des rapports entre la famille et le pouvoir.
La capacité d’adaptation - ou l’inadaptation - du lignage de Briouze aux différentes formes de mobilités, question centrale de cet ouvrage, transparaît dans leur aptitude à affronter et surmonter les situations de crise. À l’intersection des formes de mobilités aux évolutions distinctes - politique, sociale, culturelle et économique - se trouve la mobilité géographique, trait d’union entre ces transformations différenciées ainsi imbriquées. Chaque rupture, chaque chute du lignage éclate sous la pression du pouvoir politique mais survient lorsque les possibilités d’expansions territoriales sont contrariées ou empêchées.
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Paraulas de vertat e de profiech
show More to view fulltext, buy and share links for:Paraulas de vertat e de profiech show Less to hide fulltext, buy and share links for: Paraulas de vertat e de profiechBy: Gerardo LarghiGuilhem de l’Olivier fu politico e funzionario ad Arles tra 1200 e 1230, e di lui ci sono rimaste 77 cobbole in lingua d’oc, destinate al pubblico dei cavalieri urbani, dei mercanti e di quelle famiglie che stavano sovvertendo la tradizionale struttura sociale della città rodaniana. Nel suo canzoniere trovano spazio la vita municipale e le esigenze di quella classe colta che guidava Arles attraverso complicate vicende istituzionali. Centro commerciale di primaria importanza, infatti, tra la fine del Cento e i primissimi decenni del Duecento quella che era stata una delle metropoli più fiorenti delle Gallie e una delle capitali dell’impero costantiniano, si trasformò in comune consolare e poi podestarile. In ragione di ciò gruppi sociali fin lì esclusi dalla gestione della cosa pubblica si trovarono quasi improvvisamente proiettati ai vertici del potere; la città nel suo insieme fu scossa da tali sommovimenti. La produzione poetica di Guilhem si inserisce in questo complesso quadro: i suoi versi propongono una sintesi tra la cultura ufficiale feudal-cortese della fin’amor e l’inedito codice comunicativo che sorresse l’evoluzione istituzionale di Arles. Vero intellettuale municipale, riutilizzando materiali collaudati il poeta propone un modello di civis che sia a un tempo attento al bene comune e avveduto negli interessi individuali. Il suo disegno educativo e formativo emerge con nettezza dall’analisi della sequenza con cui le cobbole sono state predisposte presumibilmente da Guilhem stesso, il quale ci avrebbe così lasciato un ‘canzoniere d’autore’.
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Richesse, terre et valeur dans l'occident médiéval
show More to view fulltext, buy and share links for:Richesse, terre et valeur dans l'occident médiéval show Less to hide fulltext, buy and share links for: Richesse, terre et valeur dans l'occident médiévalBy: Laurent FellerQuelles sont les conséquences de l’encastrement de l’économique dans le social ? Posée dès les années 1940 par Karl Polanyi à propos des sociétés qui se situent de l’autre côté du « grand partage », cette question est déterminante pour comprendre les conditions autant culturelles que matérielles du développement au sein de l’Occident médiéval. Sans renoncer à un certain nombre d’interrogations de l’économie politique, l’ouvrage de Laurent Feller intègre les méthodes et les résultats des sciences sociales afin de parvenir à une description du réel qui rend compte de l’action des hommes sur les choses et de ce que font les agents, dans la société chrétienne du Moyen Âge, lorsqu’ils produisent, échangent et consomment. Il s’intéresse notamment à l’attitude des élites à l’égard de la terre, à la fois outil de production et vecteur de prestige, aux instruments cognitifs des moines, des évêques et des aristocrates laïcs qui manipulent les richesses, aux modes d’évaluation et aux façons de solder les échanges.
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Rome 1450. Capgrave's Jubilee Guide
show More to view fulltext, buy and share links for:Rome 1450. Capgrave's Jubilee Guide show Less to hide fulltext, buy and share links for: Rome 1450. Capgrave's Jubilee GuideBy: Peter J. LucasThe scene is Rome in the fi fteenth century, Golden Rome, a magnet drawing pilgrims by its architectural attractions and the magnitude of its religious importance as the mother of faith. The Austin friar John Capgrave attended Rome for the Jubilee in 1450, including the Lenten stations, and his Solace of Pilgrimes, intended as a guide for subsequent pilgrims, was written up following the author’s own pilgrimage. In three parts it covers the ancient monuments, the seven principal churches and the Lenten stations, and other churches of note, especially those dedicated to the Blessed Virgin Mary. The work has been described as the most ambitious description of Rome in Middle English. The present edition offers a new Text based on a transcription of the author’s holograph manuscript. Parallel with the Text there is a modern English Translation. The illustrations, mostly from a period slightly later than the 1450 Jubilee, aim to give some visual clue as to what Capgrave saw. There is a full account of the multiple sources that he used, most of which is the product of new research. Following the Text there is a Commentary that aims to provide some background information about the buildings and monuments that Capgrave focuses on, and to explain and illuminate any diffi culties or points of interest in the Text. Capgrave is an omni-present guide leading us towards what he considered an appropriate interpretation of the classical past as a foundation for the Christian present, which built on it and surpassed it.
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Woven into the Urban Fabric
show More to view fulltext, buy and share links for:Woven into the Urban Fabric show Less to hide fulltext, buy and share links for: Woven into the Urban FabricThis regional study focuses on the socio-economic development of the so-called West-Quarter of the county of Flanders during the period 1300-1600. Through the expansion of potent textile industries in the countryside from the fourteenth century onwards, this region gradually attained distinctly ‘urban’ characteristics in terms of production scale, specialisation, product quality, and the aim for external markets. By the middle of the sixteenth century the West-Quarter had even become one of Flanders’s main production regions of woolen cloth. This book assesses how and why this economic expansion took place, why it happened at that particular moment, and why in this region. The broader aims of the research are twofold: first, to offer a contribution to the debate on Europe’s transition from a ‘feudal’ to a ‘capitalist’ or market economy by looking at the influence of specific social structures and institutional frameworks on the economic development of pre-industrial societies. Secondly, this book contributes to the debate about the divide between town and countryside in pre-industrial Europe, combining the outlooks and methods of both urban and rural historians in order to qualify this supposed dichotomy.
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