Brepols Online Books Medieval Miscellanea Archive Supplement v2016 - bobar16mimex
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Le trasformazioni del V secolo. L'Italia, i barbari e l'Occidente romano
show More to view fulltext, buy and share links for:Le trasformazioni del V secolo. L'Italia, i barbari e l'Occidente romano show Less to hide fulltext, buy and share links for: Le trasformazioni del V secolo. L'Italia, i barbari e l'Occidente romanoIl V secolo è l’epoca in cui avvennero eventi cruciali nella storia del mondo romano, quali le invasioni barbariche e la fine del governo imperiale in occidente. Le conseguenze di questi eventi sono state oggetto di meditazione fin dalle origini della storiografia moderna: segnarono la fine del mondo e della civiltà antica, dando inizio di fatto al medioevo, come vuole una tradizione che va dagli umanisti italiani agli storici accademici tedeschi dell’Ottocento, o si trattò piuttosto di una radicale trasformazione dell’ordinamento politico dell’occidente romano, che però non mutò sostanzialmente l’organizzazione sociale e le tradizioni culturali delle province, come ritengono oggi importanti filoni della ricerca storica ?
Alla luce di questa problematica il secondo seminario organizzato dal Centro interuniversitario di storia e archeologia dell’alto medioevo, di cui questo volume raccoglie gli atti, ha riesaminato molti aspetti fondamentali del V secolo con l’impostazione multidisciplinare che è propria del Centro, focalizzando in particolare l’attenzione sulla situazione italiana, messa a confronto con quella delle altre province dell’Occidente. Si sono indagati, con originalità di prospettive e ricchezza di nuovi dati, gli aspetti istituzionali e ideologici degli ultimi tempi dell’impero in Italia, le testimonianze archeologiche dell’insediamento dei barbari nelle province, le trasformazioni delle città e dell’insediamento rurale, la dinamica demografica, la produzione artistica e monumentale, la cultura dei laici e degli ecclesiastici. I risultati di queste nuove indagini portano un contributo essenziale alla conoscenza e alla comprensione di un’epoca drammatica e feconda, che costituisce un momento fondamentale nella storia d’Europa.
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Les lais bretons moyen-anglais
show More to view fulltext, buy and share links for:Les lais bretons moyen-anglais show Less to hide fulltext, buy and share links for: Les lais bretons moyen-anglaisParmi les romans moyen-anglais, le petit groupe des lais bretons se distingue par un ensemble de traits spécifiques : brièveté, intervention du merveilleux celtique, place prépondérante accordée à l’amour. Huit poèmes qui répondent à ces caractéristiques sont parvenus jusqu’à nous. A la fin du XIVe siècle, Chaucer donne sa version d’un lai breton dans le « Conte du Franklin », l’un des Contes de Cantorbéry.
Ce recueil conçu par un groupe de médiévistes anglicistes réunit pour la première fois les neuf lais bretons moyen-anglais en un seul volume. Il ajoute à la liste traditionnelle Sir Landeval, traité ici comme une œuvre à part entière et non comme une version de Sir Launfal, et le « Conte du Franklin », habituellement édité avec les œuvres de Chaucer. Le texte moyen-anglais est accompagné d’une traduction française. Un apparat critique pour chaque lai complète l’ouvrage.
Textes traduits et présentés par Jean-Jacques Blanchot, Guy Bourquin, Hélène Dauby, Philippe Mahoux-Pauzin, Anne Mathieu, Marthe Mensah, Colette Stévanovitch, Claire Vial, Martine Yvernault.Sous la direction de Colette Stévanovitch et Anne Mathieu.
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Lo scotismo nel Mezzogiorno d’Italia
show More to view fulltext, buy and share links for:Lo scotismo nel Mezzogiorno d’Italia show Less to hide fulltext, buy and share links for: Lo scotismo nel Mezzogiorno d’ItaliaQuesto Congresso è nato in occasione del Settimo Centenario della morte del beato Giovanni Duns Scoto, uno dei pensatori più influenti ed innovativi della Grande Scolastica.
Il Congresso condensa molti studi ed edizioni di importanti studiosi nazionali ed internazionali, che vertono sulle principali tematiche del pensiero scotista e sull’eredità di Scoto.
Conviene porsi una questione basilare, che concerne la stessa natura di quella che é chiamata "scuola scotista", ossia cos'é uno scotista? Come diviene scotista? Qual é l'influenza della scuola scotista nel suo insieme?
Infatti, l' assenza di un preciso quadro istituzionale di riferimento produce da principio una libera relazione dei discepoli con il maestro; essa non consente d' individuare precise linee di progressione delle teorie del maestro.
Nel primo Trecento, mentre le opere di Scoto con le ampie annotazioni marginali vengono lette, le idee di Scoto incontrano resistenze soprattutto in materia teologica ad Oxford; tali resistenze talvolta sfociano nell' accusa di eresia. Invece, lo scotismo cinquecentesco si basa su una serie di espliciti commenti alle opere scotiane.
Ci si portrebbe domandare se lo scotismo sia esistito veramente. Ma, se si lascia parlare i contemporanei, ci si accorge che essi si percepivano come scotisti.
Cosi la scuola scotista non appare come qualcosa di rigido e morto, ma come qualcosa di vivo e magmatico, la cui forma precisa continua ad essere studiata, come questo Congresso si propone di fare, dandosi come tema lo scotismo nel Mezzogiorno d' Italia dal secolo XIV al Novecento.
Perciò, il Congresso parte da Guglielmo di Alnwick, Landolfo Caracciolo e Pietro d' Aquila per giungere fino a Giovanni Vallone da GIovinazzo, Angelo Volpe, Bonaventura Belluto e Diomede Scaramuzzi.
Comitato di lettura: Luigi de Santis, Francesco Fiorentino, Olivier Riboldi.
Con i contributi di : F. Amerini (Parma), S. Cecchin (Roma), D. Demange (Paris), L. De Santis (Lecce), W.Duba (Fribourg), F. Fiorentino (Bari), G. Lauriola (Castellano-Grotte), C. Marmo (Bologna), R. Osculati (Catania), L. Parisoli (Cosenza), G. Roccaro (Palermo), H. Schneider (Mönchengladbach), C. Schabel (Nicosia), M. Serafini (Perugia), O. Todisco (Roma), A. Vos (Utrecht).
Copertina: Lequile (Lecce), Convento S. Francesco, Biblioteca Antica (architrave della porta d' ingresso), ignoto frescante francescano, sec. XVII: "I Maestri minori" della scuola filosofico-teologica scotista.
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Les lieux de l'argumentation
show More to view fulltext, buy and share links for:Les lieux de l'argumentation show Less to hide fulltext, buy and share links for: Les lieux de l'argumentationCe volume retrace l’histoire complexe du raisonnement topique, c’est-à-dire, à la suite d’Aristote, du raisonnement qui part de prémisses probables et non nécessaires, mais aussi de toute argumentation gouvernée par ce que la tradition appelle les lieux (topoi puis loci).
Qu’est qu’une argumentation crédible ? Quelles sont les procédures qui peuvent évaluer la cohérence et le bien-fondé d’arguments, et qui, tout en prétendant être probants et aspirant même à une certaine forme d’universalité, ne peuvent pas compter sur des prémisses et sur des dispositifs déductifs nécessaires ? Ces questions ont été agitées depuis l’Antiquité sous une double impulsion : d’une part, la conviction que la déduction formelle est le modèle idéal de l’argumentation valide ; de l’autre, la reconnaissance du fait que l’application de cette validité est très restreinte, exigeant des conditions qui ne peuvent être réunies que très rarement. Ainsi l’exigence s’imposa de penser des modalités d’argumentation crédibles et convaincantes, irréductibles à la déduction « analytique » ou formelle, mais ne se contentant pas pour autant avoir recours à la manipulation des affects ou à des vagues effets de vraisemblance, et pouvant produire certains types de preuve.
La réflexion sur le statut de la preuve dans les argumentations crédibles s’est toujours exercée au sein de la tradition croisée de la logique démonstrative, de la dialectique et de la rhétorique. Son enjeu majeur a été de s’interroger sur les présupposés, les dispositifs et les critères de validité de ce que l’on peut appeler l’inférence naturelle, à savoir la chaîne argumentative que nous élaborons pour soutenir ou pour réfuter une thèse, en apportant des preuves, sans mobiliser des compétences ou des savoirs spécifiques. Tout un chacun se trouve quotidiennement dans la situation de défendre une thèse ou de la réfuter dans des controverses, dont le but est de l’emporter non par la violence, mais par l’obtention de l’assentiment motivé de l’adversaire. Notre projet a été donc déterminer les modalités propres à ce type d’argumentation.
L’ouvrage vise à examiner la matrice théorique où ces questions ont été historiquement formulées, à savoir la théorie du raisonnement topique. Il examine d’abord la théorie aristotélicienne et plusieurs théories hellénistiques (néo-platonicienne et stoïcienne), les développements originaux du monde arabe, et l’œuvre de Cicéron. Ensuite, est considérée la séquence qui prend Boèce pour point de départ, et l’on suit le devenir de ces problèmes tout au long du Moyen Âge puis de la Renaissance, avec une percée jusqu’à Leibniz. Un certain nombre de problèmes précis doivent être suivis : qu’est-ce qu’un « lieu » ? quel est le rapport entre le lieu et la maxime ? quelle est la fonction de la maxime ? comment à partir du lieu et de la maxime sont produits les arguments ? Par là, les relations complexes entre théorie du syllogisme en général, théorie du syllogisme dialectique ou topique, théorie des conséquences doivent être précisées selon les auteurs, courants et périodes. Enfin, à côté de ces travaux centrés sur les théories logiques médiévales et renaissantes, une partie des contributions doit s’interroge sur l’usage des raisonnements topiques dans d’autres disciplines : le droit, la théologie et la médecine.
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La traduction vers le moyen français
show More to view fulltext, buy and share links for:La traduction vers le moyen français show Less to hide fulltext, buy and share links for: La traduction vers le moyen françaisLes médiévistes connaissent bien les sens que les Arts poétiques latins du Moyen Âge attribuent au mot translatio : transfert de langues et de cultures, mais aussi transplantation de lettres d’un monde à un autre monde, greffe vitale du passé sur le présent, donation de sens du présent au passé. Environ deux tiers des traductions médiévales sont faites entre le xiv e et le xv e siècle. Bien avant que la Renaissance ne revendique son ouverture sur le monde de l’Antiquité, le Moyen Âge, et en particulier les clercs de ses deux derniers siècles ont greffé sur la langue et la civilisation françaises tout un pan de la culture et de la littérature du passé, jusqu’en à en modifier pour toujours le code génétique. Réfléchir sur la traduction vers le moyen français, y compris celle del’oc vers l’oïl, comme nous avons voulu le faire lors du II e colloque de l’AIEMF (Association Internationale d’Études sur le Moyen Français), c’est être au cœur de la genèse de ce moyen français, de sa double proximité : avec l’ancien français et avec le français moderne. Le rôle joué par la traduction en moyen français apparaîtra encore plus clairement lorsque les médiévistes disposeront d’un répertoire global des traductions médiévales. Ce volume s’inscrit ainsi dans un projet plus vaste : Translations médiévales : cinq siècles de traductions en français, xi e-xve siècles (Brepols, 2010), qui recensera et interprétera les informations bibliographiques sur l’ensemble des textes traduits enfrançais entre le xi e et le x e siècle, offrant ainsi un répertoire exhaustif des textes translatés, de leurs traducteurs, de leurs commanditaires et de leurs horizons de réception.
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Le felicità nel Medioevo
show More to view fulltext, buy and share links for:Le felicità nel Medioevo show Less to hide fulltext, buy and share links for: Le felicità nel MedioevoQu'est-ce que les hommes du Moyen Age entendaient par bonheur? La vision béatifique peut-être, les plaisirs de l'intellect, la jouissance des sens, ou encore une vie sociale pacifique ? Dix-huit historiens de la philosophie se sont interrogés sur les significations multiples des " bonheurs " pour en conclure que le Moyen Age ne poursuivait qu'un seul bonheur, celui de l'esprit ou de l'intellect. La pluralité demeure dans le lieu et dans la manière, dans le où et dans le comment : dans cette vie ou dans l'autre, avec les plaisirs du corps ou en opposition à ceux-ci, au sommet de la recherche philosophique ou de l'abandon mystique. Les doctrines sur le bonheur se présentent donc sous de multiples facettes : définition du bonheur éternel, quête d'un possible bonheur ici-bas et définition de celui-ci, rapport et différence entre les deux, valeur ou non-valeur de l'un par rapport à l'autre. Les interventions recueillies dans ce volume concernent des auteurs ou des groupes d'auteurs compris entre le IVe et le XIVe siècle, de langue latine, arabe et - pour ce qui est du dernier siècle, de langue vulgaire. Si l'on voit chez Augustin l'importance du thème du désir et, par conséquent, du souvenir d'un bonheur perdu qu'il ne faut pas poursuivre en vain, dans une vie riche d'affections et de joies licites, les penseurs suivants voudront surtout souligner le statut intellectuel d'une beatitudo qui, in via, n'est possible que par intervention directe de la Première Intelligence et donc grâce à un contact avec celle-ci. Le retour des textes aristotéliciens, avant tout chez les auteurs qui écrivent en langue arabe, rouvre le thème du bonheur politique, de la cohabitation bienheureuse dans un royaume bienheureux, et insiste à nouveau sur le caractère intellectuel de la vie heureuse, repris par les penseurs latins. Ces derniers, notamment dans leurs commentaires des textes aristotéliciens, affirment l'existence d'un bonheur pur de la pensée, le bonheur mental, qu'on peut distinguer du bonheur - toujours intellectuel - de la vision béatifique. L'issue de cette union ou de cette opposition est encore différente chez certains auteurs du XIVe siècle, où nous rencontrons plus facilement la métaphore du " toucher " que celle du " voir ".
Les auteurs: A. Arezzo (Bari); M. Bettetini (Milano); L. Bianchi (Vercelli); A. Bisogno (Salerno); M. Campanini (Milano); P. Carusi (Roma); L. Catalani (Salerno); I. Costa (Roma); G. Fioravanti (Pisa); G. Garfagnini (Firenze); E. Mainoldi (Salerno); P. Müller (Milano); S. Nagel (Pavia); M. Parodi (Milano); F. D. Paparella (Milano); M. Rossini (Milano); A. Saccon (Torino); I. Zavattero (Siena).
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Lexiques et glossaires philosophiques de la Renaissance
show More to view fulltext, buy and share links for:Lexiques et glossaires philosophiques de la Renaissance show Less to hide fulltext, buy and share links for: Lexiques et glossaires philosophiques de la RenaissanceComme ceux du moyen âge, les lexiques et glossaires de la Renaissance sont loin d’avoir été tous inventoriés et étudiés. Et pourtant, ils ont été abondamment utilisés par les intellectuels de l’époque qui y cherchaient l’explication de néologismes, l’équivalent de certains termes et des définitions précises de concepts. Si on y ajoute l’étymologie qui accompagnait parfois certains mots, on comprend que ces instruments de travail pouvaient rendre d’énormes services. Cependant, la plupart d’entre eux n’ont pas encore livré tous leurs secrets et les richesses qui s’y trouvent rassemblées, qu’elles soient lexicales, sémantiques ou conceptuelles, méritent de retenir l’attention des chercheurs modernes. Comment comprendre certaines explications de termes données par les intellectuels sans connaître les sources auxquelles ils ont puisé ainsi que l’origine des étymologies qu’ils utilisent ? Il y a donc là un vaste champ de recherche à explorer.
Pour ne pas se perdre dans l’abondance de la matière, ce premier tour d’horizon se limite au domaine philosophique. Les articles des divers spécialistes donnent un aperçu de la problématique et tentent de répondre à une série de questions spécifiques. Il faudrait compléter ultérieurement ce matériel en abordant d’autres domaines du savoir et arriver ainsi à une meilleure connaissance de ces instruments de travail indispensables aux intellectuels de l’époque.
Les exposés sont dus à des spécialistes de la question : C. Blackwell (London), M. Campanini (Milano), C. Codoñer (Salamanca), J. Ducos (Bordeaux), M. Fattori (Roma), J. Hamesse (Louvain-la-Neuve), O. Merisalo (Jyväskylä), M. Mucillo (Roma), S. Nucciarelli (Roma), M. Pade (Copenhague), .M. Regoliosi (Firenze) et G. Stabile (Roma)
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L'histoire du catharisme en discussion
show More to view fulltext, buy and share links for:L'histoire du catharisme en discussion show Less to hide fulltext, buy and share links for: L'histoire du catharisme en discussionDans l'Histoire des ducs de Narbonne de Guillaume Besse parue en 1660, est publiée une charte écrite par des hérétiques rassemblés à Saint-Félix du Lauragais en 1167. On y raconte qu'un certain Papa Niquinta a ordonné des évêques et fait délimiter les diocèses de Toulouse et de Carcassonne. Quoique son authenticité soit mise en doute par certains, depuis cinquante ans ce texte est au fondement de l'histoire de catharisme. En janvier 1999, un débat a été organisé à partir de trois interventions soutenant la possibilité d'un faux et protestant contre la projection de schémas de pensée étrangers au XII e siècle. Ce débat forme la première partie du livre. La deuxième partie rend compte des recherches poursuivies ensuite et menées séparément par une équipe de l'Institut de Recherche et d'Histoire des textes sous la direction de Jacques Dalarun, et par Monique Zerner. De part et d'autre, des découvertes renouvellent la question. Le laboratoire bien vivant des historiens ouvre sa porte et montre ses divergences.
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La figura di San Pietro nelle fonti del medioevo
show More to view fulltext, buy and share links for:La figura di San Pietro nelle fonti del medioevo show Less to hide fulltext, buy and share links for: La figura di San Pietro nelle fonti del medioevoIl questo volume vengono raccolte le relazioni presentate nel corso del Convegno internazionale La figura di san Pietro nelle fonti del medioevo, svoltosi a Viterbo e Roma nei giorni 5-8 settembre 2000 nel contesto dell'evento giubilare Studiorum Universitatum Docentium Congressus.
Il Convegno ha voluto sollecitare una riflessione sulle modalità di ricenzione della complessa personalità di san Pietro nel periodo medievale in ambito storico, filologico-letterario e storico-artistico, facendo emergere spunti e sollecitazioni che potranno suscitare ulteriore dibattito e stimolare nuove ricerche su una figura che ha agito come una forza globalizzante e che, trascendendo un ambito religioso solo all'aparenza, ha influito in modo determinante sulla storia in un'epoca che è stata fondamentale per la construzione di ciò che oggi chiamiamo Europa e cultura occidentale.
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Lexiques bilingues dans les domaines philosophique et scientifique
show More to view fulltext, buy and share links for:Lexiques bilingues dans les domaines philosophique et scientifique show Less to hide fulltext, buy and share links for: Lexiques bilingues dans les domaines philosophique et scientifiqueAuthors: J. Hamesse and Danielle JacquartFaisant partie d'un projet plus vaste de recensement des lexiques et glossaires inédits, cet ouvrage a été conçu comme un complément du volume consacré aux 'Manuscrits des lexiques et glossaires bilingues de l'Antiquité tardive à la fin du Moyen Age'. La terminologie technique qu'elle soit scientifique ou philosophique pose d'emblée deux problèmes : bon nombre de vocables latins sont d'origine étrangère et il convient donc de recourir à des lexiques bilingues pour en saisir le sens exact. Ensuite, la spécificité même du vocabulaire appelle un certain nombre de connaissances de base pour mieux en saisir la portée et les nuances. Des recueils de définitions s'avèrent donc nécessaires pour fournir aux lecteurs les significations diverses qu'un même terme peut avoir.
D'autre part, lorsqu'on aborde la littérature scientifique et philosophique du moyen âge, on se trouve immanquablement confronté aux problèmes de traduction. La terminologie technique constitue évidemment la première pierre d'achoppement pour les traducteurs. Comment rendre de manière précise en latin des vocables grecs, arabes, hébreux ou syriaques, lorsqu'on n'a pas à sa disposition d'équivalent adéquat ou lorsqu'on ne comprend pas la portée exacte d'un terme ? Comment répondre à des exigences de précision, lorsque le bagage linguistique dont on dispose est loin d'être suffisant ? Comment enfin transposer dans une autre langue une matière pour laquelle on n'a pas reçu d'initiation ou d'introduction spécifique ?
Les articles contenus dans le volume tentent d'apporter des solutions aux problèmes évoqués et de répondre aux questions posées. Ils sont l'œuvre de divers spécialistes en la matière : G. Endress (Bochum), J. Hamesse (Louvain-la-Neuve), H. Hugonnard-Roche (Paris), D. Jacquart (Paris), J.-M. Mandosio (Paris), B. Mondrain (Paris), L. Moulinier-Brogi (Paris), J.-P. Rothschild (Paris), G. Troupeau (Paris) et M. Zonta (Roma).
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Les reliques. Objets, cultes, symboles
show More to view fulltext, buy and share links for:Les reliques. Objets, cultes, symboles show Less to hide fulltext, buy and share links for: Les reliques. Objets, cultes, symbolesDepuis le Moyen Age, les reliques ont joué un rôle fondamental dans la vie religieuse, mais aussi économique et politique des sociétés chrétiennes tant occidentales qu'orientales. Pour autant, ce thème est resté jusqu'ici relativement négligé par l'historiographie. Le colloque qui a donné naissance à ce livre constitue une tentative originale pour interpréter le culte et la signification des reliques dans une approche d'anthropologie.
Rassemblant dix-huit spécialistes internationaux de disciplines différentes, alliant histoire et histoire de l'art, l'ouvrage aborde la signification des reliques au fil des siècles sous plusieurs aspects complémentaires: les reliques représentant un trait commun du christianisme, une affaire de foi, des objets de culte et un enjeu de pouvoir. Ce livre met ainsi en relief un phénomène essentiel de l'histoire des sociétés chrétiennes: comment des objets matériels cristallisent et mobilisent les aspirations spirituelles d'hommes et de femmes de toutes époques et de toutes conditions, mais également leurs ambitions politiques et leurs préoccupations quotidiennes.
Les auteurs Edina Bozóky, maître de conférences à l'Université de Poitiers, est l'auteur de publications sur les croyances religieuses et la littérature médiévale; ses recherches actuelles portent sur les aspects symboliques et politiques de la possession de reliques.
Anne-Marie Helvétius, maître de conférences à l'Université du Littoral-Côte d'Opale (Boulogne-sur-Mer), est l'auteur de publications sur le culte des saints et les anciennes abbayes de la Gaule du Nord; ses recherches actuelles portent sur l'hagiographie comme reflet de la société.
Les contributeurs Jean-Pierre Arrignon, Sofia Boesch Gajano, Edina Bozóky, Jean-Pierre Caillet, Alain Dierkens, Jean-Pierre Duteil, Philippe George, Anne-Marie Helvétius, Alain Joblin, Michel Kaplan, Guy Lobrichon, Jean Michaud, Jean-Michel Picard, Henri Platelle, David Rollason, Jean-Marie Sansterre, Jean-Claude Schmitt, Pierre-André Sigal.
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A la cour de Bourgogne. Le duc, son entourage, son train
show More to view fulltext, buy and share links for:A la cour de Bourgogne. Le duc, son entourage, son train show Less to hide fulltext, buy and share links for: A la cour de Bourgogne. Le duc, son entourage, son trainLa recherche historique manifeste de nos jours une curiosité renouvelée pour le vaste champ des pouvoirs. Au-delà d'une perspective proprement politique, on cherche aujourd'hui à cerner tout ce qui inspire, conforte, justifie ou met en question ces pouvoirs. Si l'autorité s'incarne dans un prince, celui-ci fût-il censé l'exercer pleinement et cultiver ainsi son prestige, elle n'est et ne peut toutefois jamais être l'apanage d'un solitaire.
Autour du gouvernant gravitent des familiers, conseillers, officiers, auxiliaires, serviteurs, personnel de décision ou de simple exécution, chacun selon ses tâches et ses capacités.. Les services domestiques côtoient les figures de proue de la cour et des conseils. Fêtes et deuils les rassemblent dans des célébrations où l'image du maître prend toujours sa place. Des uns, on requiert l'obéissance et le dévouement; des autres, on exige la compétence. Dans ces milieux, on lit et on produit, et cela aussi contribue à forger et à entretenir l'image. Et puis le prince et les siens ne se cloîtrent pas: il est des circonstances où les contacts directs avec les gouvernés contribuent à mieux éclairer aux yeux de la rue ce qu'est et ce que veut montrer d'elle l'autorité, parée de ses atours.
Le présent volume a pour objectif d'illustrer la manière dont, sous ces divers angles, les pouvoirs étaient pensés et vécus chez les princes de Bourgogne.
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L'enseignement des disciplines à la Faculté des arts (Paris et Oxford, XIIIe-XVe siècles)
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Pour chacune des cinq premières sections: Le cadre institutionnel, Les disciplines du trivium, Les disciplines du quadrivium, Le nouvel Aristote, Doctrines, méthodes et techniques d'enseignement, un rapport de synthèse résume l'état actuel des connaissances et indique les pistes encore à explorer. Viennent ensuite des articles détaillés et le rapport d'une table ronde comprenant la discussion à propos des communications et abordant parfois des sujets complémentaires.
Après un intermezzo consacré à la philosophie et la théologie, la dernière section aborde des horizons différents pour situer le modèle parisien dans une perspective plus large.
Ce volume est le résultat d'un colloque international - organisé dans le cadre d'un programme de recherche commun entre l'Institut de Recherche et d'Histoire des Textes (Paris) et le Constantijn Huygens Instituut (La Haye) - qui a réuni de nombreux spécialistes dans les domaines concernés.
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La parole du prédicateur (Ve-XVe siècle)
show More to view fulltext, buy and share links for:La parole du prédicateur (Ve-XVe siècle) show Less to hide fulltext, buy and share links for: La parole du prédicateur (Ve-XVe siècle)Les textes fondateurs du christianisme évoquent la nécessité pour tous les croyants de diffuser l'Évangile. Pourtant, au Moyen Âge, la prédication fut définie comme la fonction propre de l'« ordre » des clercs, et donc liée à une certaine idée de l'organisation sociale.
Destinée à faire croire et à consolider la société chrétienne, la parole du prédicateur n'eut pas seulement, entre le Ve et le XVe siècle, une efficacité pratique et immédiate; elle fut aussi une représentation que l'institution ecclésiale se donnait d'elle-même. L'affirmation d'un monopole ecclésiastique sur la parole publique légitimait la place particulière occupée par l'Église dans la société médiévale.
Les contributions rassemblées dans ce volume attestent la tension constante, dont se nourrit la prédication de Grégoire le Grand à Luther, entre les exigences propres à une idéologie de l'ordre social et l'idéal que représentait la figure du prophète. Car pour les hommes du Moyen Âge, le prédicateur devait aussi être un prophète, « extérieur » à la société parce qu'en contact direct avec Dieu, pénétrant le sens caché des Écritures et annonçant les mystères divins.
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Les manuscrits des lexiques et glossaires de l'Antiquité tardive à la fin du moyen âge
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Le volume comprend d'abord un état de la question concernant les lexiques les plus connus. Les communications permettent de voir l'évolution du "genre littéraire" depuis l'Antiquité jusqu'à la Renaissance.
Comme il était impossible de faire le tour de la question tant la documentation est vaste, deux domaines ont été privilégiés: les lexiques et glossaires spécialisés ainsi que les receuils bilingues. Cette première approche a permis de rassembler un matériel en grande partie inédit susceptible de rendre d'innombrables services aux médiévistes.
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La formation du vocabulaire scientifique et intellectuel dans le monde arabe
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