Revue d'Etudes Augustiniennes et Patristiques
Volume 67, Issue 2, 2021
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Une homélie sur l’ascension (CPG 5281) faussement attribuée à Cyrille d’Alexandrie
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AbstractThe attribution of the Homily on the Ascension (CPG 5281) to Cyril of Alexandria is of great importance for the history of the liturgy, for it has been invoked in recent publications to prove that the feast of the Ascension was celebrated in Egypt in the first half of the fifth century. This article refutes the arguments advanced by Datema and Bishop in favor of this attribution. Neither the exegesis of Ps 23:7-10 and Is 63:1-7 found in this homily, nor the textual form of several of the verses quoted, are Cyrillian. The proposed connections with the work of Cyril are not characteristic, some of them going back to Origen, and the Christology is not specifically Cyrillian. Apart from Is 63, the homily does not quote any of the biblical texts that Cyril usually uses when he speaks of the Ascension of Christ. His thirty Festal Letters speak only of the seven weeks of Pentecost, without ever distinguishing the feast of the Ascension.
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„Göttlich ist der Sieg über den Tod.“ Ein vergessenes armenisches Fragment aus dem Kommentar Cyrills von Alexandrien zum 1. Korintherbrief
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AbstractEn 1929, Joseph Lebon a signalé l’existence d’un fragment arménien du commentaire de Cyrille d’Alexandrie sur 1 Corinthiens. Ce fragment, conservé dans le florilège dogmatique arménien Sceau de la foi, datant du viie siècle, représente le seul texte du commentaire qui nous soit parvenu traduit dans l’ancienne langue arménienne. Cet article présente la première étude complexe de ce texte pratiquement inconnu. Il offre le texte du fragment arménien et sa traduction allemande. Cette traduction est suivie d’une analyse philologique détaillée du texte qui compare le fragment arménien, tant sur le plan lexical que syntaxique, avec l’extrait correspondant de la version grecque existante du commentaire de Cyrille. En outre, des commentaires sont proposés sur l’intégration formelle du fragment dans le commentaire ainsi que sur son contenu. L’article se termine par quelques remarques sur la réception du commentaire de Cyrille dans la littérature orientale chrétienne.
AbstractIn 1929 Joseph Lebon pointed out the existence of an Armenian fragment of Cyril of Alexandria’s commentary on 1 Corinthians. This fragment, preserved in the dogmatic Armenian Florilegium Seal of Faith, dating from the 7th century, represents the only text of the commentary that has come down to us translated into the ancient Armenian language. The present article presents the first complex study of this basically completely unknown text. It offers the wording of the Armenian fragment and its German translation. This is followed by a detailed philological analysis of the text, comparing the Armenian fragment both lexically and syntactically with the corresponding excerpt of the extant Greek version of Cyril’s commentary. In addition, comments on the formal placement of the fragment within the commentary as well as on its content are offered. The article concludes with some remarks on the reception of Cyril’s commentary in Christian Oriental literature.
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Augustinus und die Tradition der klassisch-paganen Literatur. Zur Funktion der Zitate im ersten Buch der Confessiones
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AbstractSi Augustin, en se référant à Cicéron, ne remet pas en question le fait que les écrits philosophiques de ce dernier puissent être utiles aux chrétiens en leur enseignant l’usage correct des biens terrestres (la chresis), il procède, en revanche, à une critique fondamentale de la poésie païenne classique, qui concerne particulièrement Virgile et touche donc l’auteur qui jouit de la plus grande autorité. Toujours suivant Augustin, la poésie traditionnelle provoque un détachement vis-à-vis de Dieu, une aliénation due principalement à deux causes d’ordre anthropologique et ontologique, probablement liées l’une l’autre. De nombreux passages poétiques exercent une influence néfaste surtout sur les jeunes lecteurs. Au lieu de fortifier leur raison, ces passages tendent à attiser leurs émotions et désirs, poussant à un comportement immoral. Ce danger s’avère d’autant plus pernicieux à cause du statut ontologique de la poésie qui, en tant que fiction, se trouve dans une sphère intermédiaire entre le monde sensuellement perceptible et le pur néant. Par conséquent, c’est la lecture de Bible qui est recommandée par Augustin pour les leçons scolaires. Il ne critique donc pas, en premier lieu, le contenu de la poésie païenne classique, mais dénonce plutôt les effets du mécanisme psychologique qu’elle déclenche et qui aboutit facilement au déchaînement des désirs. Les réflexions d‘Augustin sur le charme séduisant des affects pourraient s‘expliquer par la quatrième discussion de la critique des poètes dans la Politeia platonique. Mais il est peu probable qu‘il ait connu ce passage. Au contraire, il devient clair qu’Augustin, dans les passages discursifs du premier livre des Confessiones, reçoit et actualise la critique des poètes de Cicéron en exprimant son propre point de vue sur le sujet dans une perspective chrétienne.
AbstractWhile Augustine reveals in connection with the Cicero quote that his philosophical writings can also be useful in the sense of Chresis for Christians, he exercises a fundamental criticism of the classic pagan poetry, which particularly affects Virgil and thus its icon. Traditional poetry causes an alienation from God for two anthropological and ontological reasons which are internally related: many poetic passages exert a harmful influence on the young recipients in particular, because instead of reason they activate their affects and desires and seduce them into immoral behavior. To make matters worse is the fact that the behavior triggered by such works does not benefit any real person in the sense of Chresis, but that the poetic fictions belong to an intermediate status between the things of the sensually perceptible world and nothing. Ideally, the Bible would be covered in school lessons. Augustine does not criticize the pagan content of classical pagan poetry. Rather, he considers the effects of the psychological mechanism they trigger to be fatal, since they can culminate in the unleashing of desires. Augustine’s reflections on the seductive appeal of affects could be explained by the fourth discussion of Plato’s criticism of poets in the Politeia. But it is unlikely that he knew this passage. Rather, it becomes clear that Augustine, in the discursive passages of the first book of the Confessions, receives and updates Cicero’s criticism of poets by expressing his own point of view on this topic from a Christian perspective.
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El debate en torno a la canonicidad de la Sapientia Salomonis y la presencia de Jerónimo en las controversias marsellesas sobre la predestinación
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AbstractDe la lettre d’Hilaire de Marseille à Augustin (ep. 226 inter Augustinianas) il ressort que certains des contradicteurs marseillais d’Augustin considéraient comme non canonique le livre de la Sagesse. Ce ne fut pas le cas de Jean Cassien, qui accepta sans réserve la Sagesse et se servit même de ce livre pour combattre la prédestination augustinienne. Ce constat nous amène à suggérer qu’à cette époque il aurait existé à Marseille une autre communauté monastique distincte de celle de Cassien, marquée par la forte influence de Jérôme, à laquelle ont appartenu Rusticus de Narbonne et Venerius de Marseille. Ce monastère aurait été un autre foyer d’opposition au prédestinatianisme augustinien.
AbstractHilary of Marseille’s letter to Augustine (ep. 226 inter Augustinianas) shows that some of Augustine’s critics in Marseilles rejected the canonicity of Wisdom. John Cassian was certainly not among them, for his works attest that he considered Wisdom canonical and he even resorted to this book to argue against Augustine’s views on predestination. We could then surmise that at that time it would have existed in Marseilles a monastic community other than Cassian’s one, maybe the community to which Rusticus of Narbonne and Venerius of Marseilles once belonged. This monastery, strongly influenced by Jerome, became another focus of opposition to Augustine’s views on predestination.
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Le canon des Pères à l’époque carolingienne et la place de Flavius Josèphe
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AbstractWe have little idea who exactly belonged to the category of “Church father” in the early Middle Ages, or how this category was even defined in this period. As such, it remains impossible to confirm or refute claims of Patristic or quasi-Patristic status or authority for a particular author. Indeed, Heinz Schreckenberg claimed that Flavius Josephus (37-100 CE) almost attained the status of a Church father, even though we still have only a sketchy idea of Josephus’ reception. This preliminary article uses quantitative techniques, many borrowed from the history of science, to address the intersecting questions of who (and what) constituted a Church father in this era, what was Josephus’ position alongside them. We examine measures like number of manuscripts, co-appearences in manuscripts, entries in library catalogues, “co-citation” data, annotations, and even some qualitative analysis to paint a broader and more nuanced picture of the early medieval Fathers. Josephus was probably not a “Father” to most, but the range and depth of his authority was surprising.
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The Mozarabic reception of Augustine’s De ciuitate Dei: Albar, Eulogius, and Samson of Cordoba
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AbstractLe présent article traite de la réception du De ciuitate Dei d’Augustin dans la littérature mozarabe, en particulier chez Alvare, Euloge et Samson de Cordoue (ixe siècle). La présence du De ciuitate chez ces auteurs n’est pas très élevée et son utilisation dans chacun d’eux n’est pas homogène. Cependant, son étude permet d’aborder deux problèmes majeurs qui affectent la diffusion de l’oeuvre en termes généraux. D’une part, cela permet de discuter la question de savoir si l’oeuvre était connue à Cordoue avant le voyage d’Eulogius dans le nord de l’Espagne. Je réexamine le passage de la Vita Eulogii qui est le point de départ de ce débat, et je fournis de nouvelles informations concernant l’utilisation du De ciuitate à cette époque. D’autre part, cette étude met en lumière la relation entre les auteurs mozarabes et le manuscrit Madrid, Biblioteca de la Real Academia de la Historia, 29 du De ciuitate Dei, un témoin Emilianensis abondamment annoté. Bien que ses gloses aient déjà été mises en relation avec Albar et Samson, cet article présente des similitudes textuelles passées inaperçues entre ces marginalia, le texte du manuscrit et les citations d’Augustin dans les auteurs mozarabes pour soutenir ce lien et approfondir l’origine du témoin.
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Chronica Tertullianea et Cyprianea 2020
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Bulletin augustinien pour 2020 et compléments d’années antérieures
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