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8 results
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Lagash I — The Ceramic Corpus from al-Hiba, 1968–1990
show More to view fulltext, buy and share links for:Lagash I — The Ceramic Corpus from al-Hiba, 1968–1990 show Less to hide fulltext, buy and share links for: Lagash I — The Ceramic Corpus from al-Hiba, 1968–1990By: Steve RenetteBetween 1968 and 1990, Donald P. Hansen and Vaughn E. Crawford directed six seasons of excavations at al-Hiba, the ancient Sumerian city-state Lagash. Overseen by Edward L. Ochsenschlager, the team documented one of the largest ceramic datasets from a southern Mesopotamian site spanning the entire third and the early second millennium bce. With the availability of digital tools and relational database technology, the Al-Hiba Publication Project, led by Holly Pittman at the Penn Museum, can now analyze these results in preparation of final publication. As a case-study in the difficulties of working with legacy data, the publication project also assesses how the original recording methodology structures and limits the interpretation of these datasets. This first volume of the Lagash publications presents the ceramic corpus organized in a chrono-typology that traces the development of the pottery tradition through the Early Dynastic, Akkadian, Ur III, and Isin-Larsa periods. Often confirming well-established trends in general Mesopotamian ceramic development, this dataset from the south-eastern part of the Mesopotamian alluvium also introduces an underappreciated degree of regional variation.
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Late Antique Metalware. The Production of Copper-Alloy Vessels between the 4th and 8th Centuries
show More to view fulltext, buy and share links for:Late Antique Metalware. The Production of Copper-Alloy Vessels between the 4th and 8th Centuries show Less to hide fulltext, buy and share links for: Late Antique Metalware. The Production of Copper-Alloy Vessels between the 4th and 8th CenturiesThe book examines the fourth- to eighth-century copper alloy wares in the Benaki Museum, using them as the basis on which a wider debate about the production, circulation and use of copper vessels in Late Antiquity can be built. It is an attempt at a holistic approach to this rich but as yet little studied material. Apart from the necessary typology and dating, the study also includes systematic discussion of questions regarding the alloys used in the manufacture of the copperwares and the techniques employed in their production and decoration. The study of primary sources provided evidence about the late Roman and Medieval Greek terminology associated with each group of objects, as well as interesting information about the distribution of various types of vessels, the context in which they were used and the value their owners placed on them, while also containing useful references to the coppersmiths themselves.
Most of the Benaki copperwares were acquired on the Egyptian market and can be connected with the rich local production in the Late Roman and Early Islamic period. Yet the study of these artefacts showed that they have striking similarities with a wide range of archaeological material discovered over an extremely large geographical area, from the Eastern Mediterranean to Italy, Germany, Spain and the UK. The geographical spread of copper alloy wares that follow a parallel development in different parts of the empire and also appear almost contemporaneously in Western European burials reignites the debate on the production centres and subsequent modes of distribution of these artefacts. In turn these issues touch on the long-standing debate on the so-called ‘Coptic bronzes’ and the actual role of Egypt in the overall production of and trade in these articles in Late Antiquity.
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Le grec et la philosophie dans la correspondance de Cicéron
show More to view fulltext, buy and share links for:Le grec et la philosophie dans la correspondance de Cicéron show Less to hide fulltext, buy and share links for: Le grec et la philosophie dans la correspondance de CicéronSituée au carrefour de la linguistique, de la littérature antique, de la philosophie grecque et romaine ainsi que de l’histoire des idées à Rome à la fin de la République, cette étude cherche à examiner comment le «code-switching» (ou basculement d’une langue à l’autre) révèle les origines, l’élaboration et l’évolution de la pensée philosophique de Cicéron dans un genre marginal, semi-privé et informel - la correspondance - qui entretiens d’étroites affinités tant avec le bilinguisme qu’avec avec la philosophie. Après une définition puis une triple analyse, formelle, culturelle et prosopographique, du corpus retenu, ce livre s’attache aux sources philosophiques du grec figurant dans les lettres cicéroniennes en quatre étapes successives, incarnées respectivement par Platon, les Socratiques (Xénophon et Antisthène) et les Académiciens (Arcésilas, Carnéade, Philon), par Aristote et les Péripatéticiens (Théophraste et Dicéarque), par Épicure et les Épicuriens (Philodème de Gadara) et par les Stoïciens. Elle révèle la récurrence, la précision, la subtilité des emprunts de Cicéron à la philosophie classique et hellénistique, mais aussi la variété de leurs emplois et de leurs fonctions. La correspondance constitue souvent un laboratoire de la pensée où la genèse de celle-ci est plus perceptible que dans les dialogues ou les traités et une analyse systématique du bilinguisme qui s’y manifeste constitue un angle d’approche inédit et fécond pour approfondir notre connaissance de la philosophie cicéronienne et hellénistique.
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L’Hymne de la Perle des Actes de Thomas
show More to view fulltext, buy and share links for:L’Hymne de la Perle des Actes de Thomas show Less to hide fulltext, buy and share links for: L’Hymne de la Perle des Actes de ThomasLes Actes apocryphes de Thomas, qui racontent l’activité missionnaire et le martyre de l’apôtre en Inde, figurent au nombre des cinq grands Actes apostoliques anciens, avec ceux de Jean, de Pierre, d’André et de Paul. Connus par une version syriaque et une version grecque, ainsi que par des formes dérivées en latin et dans plusieurs langues orientales, les Actes de Thomas sont les seuls à nous être parvenus en entier. Même s’ils appartiennent au genre du récit romanesque et se rapprochent à ce titre des romans de l’Antiquité gréco-latine, les Actes de Thomas intègrent des éléments que l’on ne retrouve guère dans cette littérature : des prières, des épiclèses ou invocations baptismales et eucharistiques, des discours où l’apôtre propose un message caractérisé par un idéal de renoncement sexuel, des descriptions de rites baptismaux et eucharistiques, et des hymnes, dont le plus fameux est sans contredit l’«Hymne de Judas Thomas l’apôtre, quand il était au pays des Indiens », mieux connu sous le titre d’«Hymne de la Perle» ou d’«Hymne de l’âme». Transmis en syriaque et en grec, par un seul manuscrit dans chacun des cas, et par une paraphrase byzantine, l’Hymne de la Perle se présente sous la forme d’un récit qui raconte l’épopée d’un jeune prince oriental envoyé en Égypte pour en rapporter une perle, précieuse et unique, gardée par un serpent. On a volontiers vu dans ce poème, dont la composition est antérieure à celle des Actes de Thomas, une évocation de la destinée de l’âme, d’origine céleste, en exil dans le corps et la matière. Une lecture plus attentive de l’hymne permet cependant de le situer dans un contexte historique et doctrinal précis, celui de la réappropriation des Actes de Thomas par les manichéens, qui ont vu dans l’hymne une évocation poétique saisissante de la vocation et de la destinée de Mani. Cet ouvrage propose une édition, une traduction française et une synopse des trois versions de l’Hymne de la Perle, précédées d’une introduction et suivies d’un commentaire.
Paul-Hubert Poirier, professeur émérite de l’Université Laval (Québec), est membre de l’Institut de France (Académie des Inscriptions et Belles-Lettres) et de la Société royale du Canada. Ses recherches et ses publications portent sur les littératures gnostique, manichéenne et apocryphe, notamment les traditions relatives à l’apôtre Thomas, les Actes de Thomas et l’Évangile selon Thomas. Avec Jean-Pierre Mahé, il a codirigé la publication des Écrits gnostiques. La bibliothèque de Nag Hammadi dans la «Bibliothèque de la Pléiade» (Paris, Gallimard, 2007).
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L’architecture de Mésopotamie et du Caucase de la fin du 7e à la fin du 5e millénaire
show More to view fulltext, buy and share links for:L’architecture de Mésopotamie et du Caucase de la fin du 7e à la fin du 5e millénaire show Less to hide fulltext, buy and share links for: L’architecture de Mésopotamie et du Caucase de la fin du 7e à la fin du 5e millénaireCet ouvrage invite à retracer l’histoire des relations culturelles entre les communautés de Mésopotamie et du Caucase durant le Néolithique et le Chalcolithique par une étude des mécanismes d’innovation et de transmission des connaissances en architecture. Le premier objectif est de caractériser ces échanges techniques pour déterminer si les communautés du Caucase se sont installées de manière autonome ou si elles ont profité de l’expérience de celles de Mésopotamie. Le second objectif est de comprendre l’évolution de l’architecture "complexe" au Samarra et à l’Obeid et de mesurer l’impact social de l’expansion obeidienne. Ces recherches montrent que le milieu du sixième millénaire marque un tournant dans les échanges techniques et les relations culturelles entre ces deux régions. Auparavant, ces échanges apparaissent diffus dans les régions situées au nord de la Mésopotamie centrale. Ensuite, l’expansion obeidienne entraîne une homogénéisation progressive des techniques dans l’ensemble du bassin syro-mésopotamien, à laquelle se sont greffés emprunts techniques et adaptations régionales.
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L’invention du protomartyr Étienne
show More to view fulltext, buy and share links for:L’invention du protomartyr Étienne show Less to hide fulltext, buy and share links for: L’invention du protomartyr ÉtienneBy: Damien LabadieCette étude s’efforce de comprendre de quelles manières la figure biblique d’Étienne (Actes 6-8) s’est transmise et a été reçue dans le christianisme des six premiers siècles de notre ère. Du texte des Actes des apôtres à la translation de ses reliques à Rome en 589, cette enquête tente de saisir les mécanismes conduisant à la construction d’Étienne comme un saint dont le culte fut central dans l’histoire du christianisme. Une attention particulière a été accordée à l’étude des diverses formes que son culte a revêtues après la découverte de ses reliques, en Palestine au ve siècle, et de sa rapide diffusion en Méditerranée orientale et occidentale. À cette fin, l’ensemble des pièces du dossier hagiographique d’Étienne ont été scrutées à la lumière des recherches les plus récentes sur le culte des saints, l’hagiographie et l’histoire de la Palestine dans l’Antiquité tardive. Au terme de cette étude, nous espérons surtout exposer les motivations idéologiques de l’usage des reliques du saint dans un contexte où s’entrecroisent controverses doctrinales, topographie sacrée, antijudaïsme et construction de la mémoire chrétienne.
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La uirtus, la fides et la pietas dans les Punica de Silius Italicus
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Lucifer of Cagliari, Concerning Athanasius
show More to view fulltext, buy and share links for:Lucifer of Cagliari, Concerning Athanasius show Less to hide fulltext, buy and share links for: Lucifer of Cagliari, Concerning AthanasiusBy: Ashley BeckLucifer was Bishop of Cagliari in Sardinia in the middle of the fourth century. He was a devoted ally of the great theologian and Bishop of Alexandria, St Athanasius, and a strong opponent of Arianism and the Roman Emperor Constantius II. Exiled at the same time as Athanasius in AD 355 his surviving writings are all vituperative attacks on the emperor. The two books ‘Concerning Athanasius’ are his most substantial work, written in 359-360. Lucifer gives us a vivid picture of the passion aroused in the fourth century by debates about the nature of Christ and the relationship between the Church and the Roman Empire. This volume is the first translation into English of any of Lucifer’s works.
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