Brepols Online Books Other Monographs Collection 2012 - bob2012moot
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Aelius Aristide et la rhétorique de l'hymne en prose
show More to view fulltext, buy and share links for:Aelius Aristide et la rhétorique de l'hymne en prose show Less to hide fulltext, buy and share links for: Aelius Aristide et la rhétorique de l'hymne en proseBy: Johann GoekenThis book focuses on Aelius Aristides’ prose hymns (or. XXXVII-XLVI). These texts constitute the richest corpus of rhetorical eulogies of gods which we possess. The special status that these discourses had in the orator’s life and career are being analyzed for the very first time, along with the poetics they put to work, the ways in which they are deeply anchored in Greco-Roman society and the religiosity they display. Presented with a translation, each text is preceded by a note that relates the circumstances of its composition and pronunciation, comments on its structure, general spirit and main features. These notes also help clarify the historical, institutional and civic context of the oratory performance. Based on the 1898 Keil’s Berlin edition, the Greek text has been revised and freed from irrelevant conjectures.
Johann Goeken, specialist of Greek language and literature, is associate professor at the University of Strasbourg.
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An Anonymous Dialogue with a Jew
show More to view fulltext, buy and share links for:An Anonymous Dialogue with a Jew show Less to hide fulltext, buy and share links for: An Anonymous Dialogue with a JewBy: Lee M. FieldsThe work is a translation of the Greek text entitled Anonymus dialogus cum Iudaeis, edited by José Declerck in CCSG 30. The introduction covers the textual history, historical setting, literary setting, and other matters. The translation is divided into thirteen chapters following the original structure of the book and the edition by Declerck. Brief footnotes accompany the text in order to clarify matters of translation. Indexes of Scripture, ancient documents, names, and subjects complete the work.
The source text of this volume appeared in Corpus Christianorum Series Graeca as Anonymus - Dialogus cum Iudaeis saeculi ut videtur sexti (CCSG 30). References to the corresponding pages of the Corpus Christianorum edition are provided in the margins of this translation.
Lee M. Fields holds a Ph.D. in Hebraic and Cognate Studies from Hebrew Union College-Jewish Institute of Religion with an emphasis in Judaic Studies in the Greco-Roman Period and is currently Chair of the Department of Biblical Studies at Mid-Atlantic Christian University (Elizabeth City, North Carolina, United States).
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Bibliographie linguistique de l’occitan médiéval et moderne (1987-2007)
show More to view fulltext, buy and share links for:Bibliographie linguistique de l’occitan médiéval et moderne (1987-2007) show Less to hide fulltext, buy and share links for: Bibliographie linguistique de l’occitan médiéval et moderne (1987-2007)Ce volume de bibliographie linguistique occitane comprend plus de 6000 titres, sans compter des centaines de comptes rendus. Le volume reprend à partir de 1987 afin de couvrir une vingtaine d’années d’études de la langue médiévale et moderne. Il recouvre les domaines traditionnelles de la linguistique, les manuels et grammaires, l’historique de la linguistique et la lexicologie occitanes, et aussi les études qui intéressent la langue dans son cadre historique, les éditions critiques et les études linguistiques de ces textes. Il témoigne de l'intérêt vivace porté aux études occitanes par tous les amis de la langue et des lettres occitanes.
Kathryn Klingebiel is Professor of French at the University of Hawai`i Mānoa. She has been active in Occitan bibliography for 30 years and also publishes on Occitan linguistics and the troubadours.
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Eraclito ad Alessandria.
show More to view fulltext, buy and share links for:Eraclito ad Alessandria. show Less to hide fulltext, buy and share links for: Eraclito ad Alessandria.By: Lucia SaudelliQuesta monografia è uno studio tematico dedicato alla trasmissione e alla ricezione del filosofo presocratico Eraclito di Efeso da parte di Filone di Alessandria, il maggior rappresentante del giudaismo ellenistico. I testi esegetici, filosofici e storico-apologetici di Filone con riferimento allo scritto e alla dottrina eraclitea sono analizzati in modo dettagliato ed esaustivo, prima di essere confrontati con quelli di fonti anteriori e posteriori da un lato, con quelli degli altri filosofi Presocratici dall’altro. Le testimonianze di Filone sono quindi utilizzate per cogliere in modo più preciso il significato originario del discorso filosofico di Eraclito, rispetto alle diverse tradizioni interpretative che si succedono e si intrecciano nel corso della storia della filosofia antica.
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Gassendi, La Logique de Carpentras
show More to view fulltext, buy and share links for:Gassendi, La Logique de Carpentras show Less to hide fulltext, buy and share links for: Gassendi, La Logique de CarpentrasBy: Sylvie TaussigEn 1629 Pierre Gassendi se lance dans un projet qui devait l’occuper jusqu’à sa mort en 1655 et avoir une profonde influence sur sa propre philosophie. Ce projet était la préparation d’un traité détaillé de la totalité de la philosophie d’Épicure sous le titre de Philosophia Epicuri. Cependant, il modifia deux fois son projet initial, au niveau de la disposition et de la présentation des textes. Au terme de la première révision, le travail se vit attribuer le titre de De Vita et Doctrina Epicuri. Les résultats de la seconde révision, élaborée entre 1633 et 1645, sont parvenus jusqu’à nous sous différentes formes, soit publiées, soit manuscrites.
Les livres I - VII furent publiés en 1647 sous le titre de De Vita et Moribus Epicuri ; le livre VIII, « De philosophia Epicuri universe » est conservé à la British Library, Ms. Harley 1677, ff. 1v - 55r ; les livres XII - XXV consacrés à la Physique sont conservés à Tours, Mss. 707-710. Nous présentons ici pour la première fois le texte des livres IX - XI, qui portent sur la Canonique, composé par Gassendi à Aix-en-Provence en 1636, conservé à Carpentras, Bibliothèque Inguimbertine, Ms. 1832,ff. 205r - 256r.
Gassendi considérait que la logique était une branche importante de la philosophie, ce qu’il a affirmé à divers moments de sa carrière. Le manuscrit de Carpentras est important parce que, rédigé à miparcours entre la polémique de jeunesse de Gassendi contre la dialectique d’Aristote et l’Institutio Logica de sa maturité, il permet de comprendre comment, à un moment crucial de sa vie, l’attachement croissant de Gassendi pour la doctrine d’Épicure l’a aidé à formuler sa propre vision philosophique sur des questions aussi importantes que l’existence de la vérité, la valeur de l’observation et de l’investigation scientifiques, et la possibilité du progrès.
Le texte, bien évidemment traduit en français, est ici précédé par une introduction destinée à éclairer les principales caractéristiques des livres IX - XI ; il s’agit de replacer l’exposé de la Canonique par Gassendi à l’intérieur du contexte philosophique plus large.
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Histoire des idées religieuses et scientifiques dans l’Europe moderne
show More to view fulltext, buy and share links for:Histoire des idées religieuses et scientifiques dans l’Europe moderne show Less to hide fulltext, buy and share links for: Histoire des idées religieuses et scientifiques dans l’Europe modernePendant plus de quarante ans, Jean-Robert Armogathe, titulaire de la chaire « Histoire des idées religieuses et scientifiques dans l'Europe moderne », a publié dans l’Annuaire de l’Ecole pratique des hautes études un résumé annuel de ses conférences hebdomadaires à la section des sciences religieuses. S’appuyant sur des documents rares ou inédits, tirant parti de recherches internationales souvent originales, cet ensemble contient à la fois une somme de connaissances sur les origines de l’Europe moderne dans leurs composantes philosophiques, théologiques et scientifiques et de nombreuses suggestions de recherches. De la théologie du concile de Trente à la théorie de la vision oculaire, l'ouvrage aborde les thèmes principaux de la réflexion philosophique, religieuse et scientifique du XVIe au XVIIIe siècle ; si l'on y rencontre les noms les plus connus de cette période fondamentale dans la formation de la pensée occidentale moderne (Bellarmin, Descartes, Leibniz, Bayle et bien d'autres), l'ouvrage met également en valeur l'apport de penseurs moins connus (Paolo Sarpi, Giulio Cesare Vanini Franciscus Gomarus, Zeger-Bernhard van Espen et d'autres). Complété par la liste des trois cents publications scientifiques qui ont accompagné son enseignement, enrichi d’un index analytique des matières et des noms (plus de huit cents entrées), ce volume constitue de la sorte une introduction savante et claire à ce champ de recherches.
Jean-Robert Armogathe, né à Marseille en 1947, est directeur d’études à l’École pratique des hautes études (sciences religieuses), où il enseigne depuis 1970. Il a dirigél’Histoire générale du christianisme (2 vol., PUF, 2010) et publié une édition critique des Pensées (1670) de Pascal (avec D. Blot, Champion, 2010) et la Correspondance de Descartes (Tel, Gallimard, 2012). Sa dernière publication est La nature du monde. Science nouvelle et exégèse au XVIIe siècle (PUF, 2007).
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L'Histoire ancienne jusqu'à César ou Histoires pour Roger, châtelain de Lille
show More to view fulltext, buy and share links for:L'Histoire ancienne jusqu'à César ou Histoires pour Roger, châtelain de Lille show Less to hide fulltext, buy and share links for: L'Histoire ancienne jusqu'à César ou Histoires pour Roger, châtelain de LilleL’Histoire ancienne jusqu’à César, dédiée vers 1210 au châtelain de Lille Roger IV, constitue la plus ancienne histoire universelle écrite en langue française. Son auteur, Wauchier de Denain, y consacre un long récit à la Macédoine et à Alexandre le Grand, qui n’a encore jamais été édité. Il est alors le premier à écrire en prose française la vie du conquérant macédonien et à intégrer une telle biographie dans le vaste continuum d’une histoire universelle. Son projet historiographique repose sur la compilation, avec la conciliation originale de trois inspirations divergentes : l’idéalisation d’Alexandre en roi-conquérant explorateur du Roman d’Alexandre du Pseudo-Callisthène et de ses dérivés latins, le portrait d’un despote sanguinaire selon Orose et ses Histoires contre les païens et la célébration d’un serviteur du dieu des juifs d’après l’Historia scolastica de Pierre le Mangeur. Le récit de Wauchier de Denain sur Alexandre témoigne alors de pratiques d’écriture novatrices et d’une interprétation nouvelle de la destinée d’Alexandre. L’importance majeure de l’Histoire ancienne jusqu’à César pour la naissance de l’historiographie médiévale en langue française est confirmée par sa grande diffusion : nous en avons pour preuves le nombre très élevé des manuscrits conservés, leur réalisation en France, à Saint-Jean-d’Acre et en Italie, les deux réécritures d’ensemble, en français, qu’elle a suscitées aux xiv e et xv e siècles, ses traductions, notamment italienne, ainsi que les emprunts que lui ont consentis de nombreux auteurs, puis ses imprimés à la Renaissance.
Cette édition critique a été réalisée à partir du manuscrit de Paris, Bibliothèque nationale de France, fr. 20125, et avec quatre manuscrits de contrôle. Nous accompagnons le texte de Wauchier de Denain sur la Macédoine et Alexandre de deux de ses réécritures : l’adaptation en franco-italien du codex 2576 de Vienne (Österreichische Nationalbibliothek), œuvre de copistes vénitiens du xiv e siècle, puis le remaniement du premier imprimé de 1491, celui d’Antoine Vérard, publié sous le titre Le Volume d’Orose.
Catherine Gaullier-Bougassas est professeur de langue et de littérature médiévales françaises à l’Université de Lille 3. Elle a publié de nombreuses études sur Alexandre le Grand et l’Orient dans la littérature française médiévale. Elle dirige actuellement une équipe de recherches internationale sur la création d’un mythe médiéval d’Alexandre le Grand dans les littératures européennes (CPER 2009-2010, ANR 2009-2013).
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La Baraïta de-Niddah
show More to view fulltext, buy and share links for:La Baraïta de-Niddah show Less to hide fulltext, buy and share links for: La Baraïta de-NiddahEn hébreu rabbinique, le terme niddah désigne la femme au moment de ses règles, le sang menstruel en soi, ou la période d’impureté liée à la menstruation. Une réglementation stricte concerne la femme niddah dans la loi religieuse juive (halakhah) ; notamment, les relations conjugales sont interdites pendant cette période.
Parmi les nombreux textes qui traitent des questions liées à la menstruation, la Baraïta de-Niddah est de loin le plus étrange. Écrit en hébreu, il est difficile à dater et à localiser : peut-être peut-on le situer en Palestine, dans la seconde moitié du premier millénaire de l’ère chrétienne. Précédemment, il n’a été publié qu’une fois, en 1890. La présente édition, accompagnée d’une traduction française, voudrait permettre un accès à ce texte fascinant aux hébraïsants ainsi qu’aux non-spécialistes.
Prétendant à un statut de texte législatif classique, cette pseudo-Baraïta (texte contemporain de la Mishna, mais qui n’a pas été reçu dans le recueil officiel) a eu un statut ambigu dans la tradition rabbinique. Sans aucun souci de chronologie par rapport aux personnages dont elle cite les propos, elle est en fait un recueil de croyances populaires, où se mêlent des considérations qui se veulent médicales, des observations naturelles étonnantes et, surtout, une peur extrême de la femme menstruée.
Ce texte constitue un document particulièrement remarquable, qui devrait susciter l’intérêt aussi bien des ethnologues et des sociologues que des spécialistes de l’histoire des rapports hommes/femmes et des religions.
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Le mensonge et les vertus de la vérité. Une histoire
show More to view fulltext, buy and share links for:Le mensonge et les vertus de la vérité. Une histoire show Less to hide fulltext, buy and share links for: Le mensonge et les vertus de la vérité. Une histoireBy: Gaëlle JeanmartL’accès à la vérité est conditionné par des vertus morales : la franchise, la curiosité, le désintéressement ou la bienveillance. Or, ces vertus ont une histoire. Certaines notions apparaissent ou disparaissent du catalogue des vices et des vertus au cours du temps. Ainsi, la sincérité chrétienne succède-t-elle à la franchise grecque.
Ainsi, Platon et Machiavel ventent-ils les mérites du noble mensonge en politique et l’intérêt des fables dans l’éducation, tandis qu’Augustin, Montaigne et Kant, condamnent radicalement le mensonge. Pour transmettre des valeurs justes, il faut parfois mentir, dit Platon. Mentir une fois, répond Augustin, c’est compromettre le crédit général de la parole, seule façon pour les hommes de se communiquer leur pensée.
La philosophie doit alors laisser place à l’histoire pour réfléchir sur ces notions de mensonge, de fausseté et de vérité dont les contours ne sont pas définis une fois pour toute et atemporels.
Nous proposons ici une histoire problématique du mensonge et des vertus de la vérité : nous n’étudions pas les filiations entre ces penseurs ; nous suivons la logique de deux modèles (celui de Platon et celui d’Augustin) qui les pensent différemment.
Notre histoire est aussi généalogique : il s’agit de faire apparaître certains concepts chrétiens pour penser le mensonge (l’intention, la volonté, la conscience de soi) et l’opposition du mensonge à la sincérité, qui forment une langue véhiculaire de la pensée contemporaine, comme des productions historiques liées aux enjeux d’une époque. Il s’agit également de retrouver la saveur d’une série de questions inédites pour nous parce que la tradition les a oubliées : la question de savoir s’il y a des conditions éthiques de la recherche et de l’énoncé de la vérité (et lesquelles ?) et l’interrogation sur les effets éthiques et politiques du dire vrai et les effets de vérité du mensonge.
Les enjeux de cette réflexion sont donc historiques, mais aussi contemporains. Notre approche nietzschéenne de la notion de vérité permet en effet de creuser les liens entre vérité et pouvoir : qui a droit à la vérité ?
A-t-elle un prix ? Qui est capable de l’entendre ? Qui est capable d’y accéder ? Qui peut ou doit la dire ? En quelles circonstances ? Qui fixe le partage entre dire vrai et mentir ? Qui, les limites de la dissimulation salutaire ? Au nom de quelles valeurs ? Et avec quels a priori et quelles conséquences ?
Gaëlle Jeanmart est docteur en philosophie de l’université de Liège, spécialisée dans les questions d’éthique et d’éducation. Elle est l’auteur de Herméneutique et subjectivité dans les Confessions d’Augustin (Brepols, 2006); Généalogie de la docilité (Vrin, 2007) et Du courage. Une histoire philosophique (avec T. Berns et L. Blésin, Belles Lettres, 2010).
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Penser l'icône en Inde ancienne
show More to view fulltext, buy and share links for:Penser l'icône en Inde ancienne show Less to hide fulltext, buy and share links for: Penser l'icône en Inde ancienneBy: G. ColasL'icône prit une importance croissante dans les religions indiennes dès avant l'ère chrétienne, qu'il s'agisse du védisme tardif, de l'hindouisme, du bouddhisme ou du jaïnisme. Si les spéculations philosophiques l'ignorèrent largement jusqu'au XIIe siècle de notre ère environ, 1'icône fut depuis une époque ancienne l'objet de débats dans une civilisation qui était encline aux discussions critiques.
La société harappéenne (vallée de l’Indus, vers 2500-1800 av. J.-C.) connaissait un iconisme qui est aujourd’hui d’une interprétation difficile. Le védisme ancien, qui lui succéda, associe les dieux non à des représentations plastiques, mais à leur révélation par la parole du Veda, conçue comme une véritable substance . Les milieux qui se réclament du védisme pourraient avoir connu une sorte de crise de conscience iconologique du IVe au IIe siècle avant notre ère environ. L’icône matérielle devint progressivement l’objet d’un consensus social, en dépit des réserves, du scepticisme, voire des critiques que l’on émit à son égard dans certains cercles.
Cet ouvrage, qui ne traite pas d’histoire de l’art, examine la pensée fragmentaire de l’icône en Inde ancienne jusqu’au XIIe siècle : parfois conçue comme étant un être vivant ou un sujet juridique, parfois suscitant des résistances théoriques (notamment dans le bouddhisme ancien, en comparaison avec la relique), inscrite dans le réseau des signes divinatoires favorables, emplie de conscience divine au moyen du rite, l’icône est restée - jusqu’à nos jours d'ailleurs - une composante majeure de la société indienne.
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Poets and Princes
show More to view fulltext, buy and share links for:Poets and Princes show Less to hide fulltext, buy and share links for: Poets and PrincesBy: Paul GwynnePoets and Princes offers a richly textured interdisciplinary survey of late medieval and early Renaissance court cultures across Europe as they are reflected in the neo-Latin verse of the itinerant poet, Johannes Michael Nagonius. In 1496 the poet laureate Nagonius presented Henry VII with a manuscript of Latin panegyric poetry. This elaborate diplomatic gift from Pope Alexander VI solicited the King’s support against Charles VIII of France. The verse emphasized the mutual benefit of an alliance: if Henry supported him the Pope would acknowledge disputed Tudor claims to England’s throne. For Henry, the gift represented a literary and political coup. With all the rhetorical skill of a learned poet, Nagonius presented the King as a classical hero on an epic scale in the latest Italian style. The work thus acknowledged Henry’s international significance. Other recipients of Nagonius’s panegyric verse include Holy Roman Emperor Maximilian I, Vladislav II of Bohemia, Louis XII of France, Doge Leonardo Loredan, the condottieri Niccolò Orsini and Gian Giacomo Trivulzio, Giovanni Bentivoglio, lord of Bologna, and Duke Ercole d’Este of Ferrara. The presentation of a deluxe manuscript to Julius II, celebrating the pontiff ’s campaign in the Romagna, marked the climax of the poet’s career.
This analysis of the life and works of Nagonius thus provides a fascinating insight into the world of late medieval and early Renaissance court cultures. It contributes to the growing field of neo-Latin scholarship, examining the manuscripts and para-texts, studying the relationship between volume and dedicatee, placing these manuscripts within the wider literary and artistic cultures of the courts where they were presented, and investigating the role of neo-Latin verse within court cultures.
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Seeking the Face of God
show More to view fulltext, buy and share links for:Seeking the Face of God show Less to hide fulltext, buy and share links for: Seeking the Face of GodThis book examines the role Augustine of Hippo (354-430) played in shaping the mystical thought of two twelfth-century monastic authors, the early Cistercians Bernard of Clairvaux (1091-1153) and William of St. Thierry (c. 1080-1148). The main contribution of this study lies in the fact that for the first time the mystical theologies of the two Cistercian monks are studied comparatively in a comprehensive way and in the light of what is most likely their major source, the theology of the bishop of Hippo. This study demonstrates in a more conclusive way than the previous research on the subject which are the similarities and differences between the mystical theologies of the two twelfth-century monks and intimate friends and at the same time brings more evidence for their reading and use of the works of Augustine in the articulation of their own thought. The investigation of the specific methods of their reception of Augustine highlights the originality and uniqueness of each of the two Cistercian authors, who while drawing on the same patristic source use it nevertheless in various ways, by focussing on different aspects of Augustine’s immense oeuvre and by arriving at distinct mystical programmes.
Carmen Angela Cvetković is a postdoctoral researcher at the Department of Culture and Society, University of Aarhus, where she is currently engaged in a research project on conversion in Late Antiquity. She received her PhD from the University of St. Andrews, Scotland.
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Sermones
show More to view fulltext, buy and share links for:Sermones show Less to hide fulltext, buy and share links for: SermonesBy: Balduin von FordDie Predigten Balduins von Ford († 1190), englischer Zisterzienserabt und später Erzbischof von Canterbury, gehören zu den Meisterwerken monastischer Literatur des Mittelalters. Er behandelt in diesen 22 Ansprachen die Seligpreisungen der Heiligen Schrift, die Liebe, das Leben in Gemeinschaft, das Geheimnis der Eucharistie und Fragen des klösterlichen Lebens. Der Autor verbindet bei seinen Ausführungen folgerichtiges Denken, solide Kenntnis der Heiligen Schrift und der Theologie mit einer feinen Aufmerksamkeit für geistliche Erfahrungen im Alltag. So kann er über die Jahrhunderte hinweg den Leser unmittelbar ansprechen und zu einer Reflexion über sich und seine Beziehung zu Gott anregen. Die deutsche Übersetzung dieser Predigten ist die erste ihrer Art und erschließt somit neue Reichtümer der monastischen Theologie für die Menschen unserer Zeit.
M. Hildegard Brem, Doktor der Philosophie und Magister der Naturwissenschaften, Äbtissin der Zisterzienserinnenabtei Mariastern in Österreich, arbeitet seit Jahrzehnten an der Übersetzung lateinischer Texte der Zisterzienserliteratur. Sie wirkte auch maßgeblich bei der deutschen Gesamtherausgabe der Werke Bernhards von Clairvaux mit.
Der zugrundeliegende Text dieses Bandes erschien 1991 in der Reihe Corpus Christianorum Continuatio Mediaeualis als Balduinus de Forda, Sermones (CCCM 99), herausgegeben von David N. Bell. Die Ziffern am Seitenrand verweisen auf die entsprechenden Seiten der Edition.
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Summe der kirchlichen Offizien
show More to view fulltext, buy and share links for:Summe der kirchlichen Offizien show Less to hide fulltext, buy and share links for: Summe der kirchlichen OffizienBy: Johannes BelethDas vorliegende Lehrbuch der Liturgie entstammt den Schulen von Poitiers und Paris in der Mitte des 12. Jahrhunderts. Der Autor Johannes Beleth tritt ganz hinter seinem Werk von 1160-1165 zurück. Nur durch Zufall (eine spätere Abbildung in einem anderen Buch) wissen wir, dass er Schüler des Bischofs von Poitiers, Gilbert de la Porrée, war. Bei den theologischen Streitfragen seiner Zeit zeigt er sich unabhängig. Er hat seine Summa für die einfachen Pfarrer als Hilfe bei ihrer Seelsorge, aber auch für Laien abgefasst. Neben Hinweisen auf die Aufgaben der Kleriker und Laien legt er in knapper Form die Gottesdienste mit Offizium, Messe Prozessionen und Fasten dar. Dabei gliedert er kurz nach Geschichte, Verlauf und Bedeutung, Letzteres unter Zuhilfenahme der Allegorie. Das Kirchenjahr gliedert er nach Weihnachts- und Osterfestkreis, anschließend wird die Zeit bis zum Advent nach dem Fest- und Heiligenkalender dargestellt. Besonders wertvoll ist sein Wissen um Sonderbräuche, hauptsächlich in Frankreich. Die Summa des Johannes Beleth war im Spätmittelalter eines der beliebtesten Liturgiebücher, davon zeugen die noch erhaltenen 180 Handschriften. Übertroffen wird die Wirkung allerdings, wenn auch indirekt, durch die (noch in ca. 1.000 Handschriften vorhandene) Legenda aurea, die die heilsgeschichtliche Grundstruktur von Beleths Werk in stark erweiterter Fassung volkstümlich gemacht hat.
Der zugrundeliegende Text dieses Bandes erschien 1974 in der Reihe Corpus Christianorum Continuatio Mediaeualis als Johannes Beleth, Summa de ecclesiasticis officiis (Bd. 41A), herausgegeben von Herbert Douteil CSSp. Der Übersetzer Lorenz Weinrich, Professor a. D. für mittelalterliche Geschichte an den Freien Universität Berlin hat zahlreiche mittelalterliche Werke herausgegeben und ins Deutsche übersetzt.
Die Ziffern am Seitenrand verweisen auf die entsprechenden Seiten der Edition.
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Hermes Christianus
show More to view fulltext, buy and share links for:Hermes Christianus show Less to hide fulltext, buy and share links for: Hermes ChristianusHermetic theosophy, originally an offspring of Egyptian religion, spread throughout the ancient world from the Hellenistic age onwards and was welcomed by Christianity in Late Antiquity. Cultivated people in a Christian milieu were convinced that Hermetic piety and religion were the preparation, expressed by heathen imagery, of their own faith: Hermes, a wise and pious philosopher in Egypt in the time of Moses, received (so it was thought) the same revelation which would be manifested 1,000 years later by Christ. At the end of the third century AD, this belief did not perish with the end of the Roman Empire; rather, it was taken up and explored during the French Renaissance of the twelfth century. In the fifteenth century, Italian humanism, supported by the rediscovery of Greek language and literature, promoted a fresh new evaluation of the ancient Hermetic texts which continued to be considered and studied as pre-Christian documents. In the sixteenth century, new interpretations of Christian Hermetism were explored until this connection between pagan and Christian was increasingly criticized by scholars who argued that Hermetism was neither as ancient as was thought nor as close to Christianity. The theory was abandoned in scientific milieux from the seventeenth century onwards, whereas Hermetic theosophy, on the contrary, survived in esoteric circles.
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Les cartésiens face à Newton
show More to view fulltext, buy and share links for:Les cartésiens face à Newton show Less to hide fulltext, buy and share links for: Les cartésiens face à NewtonBy: Carlo BorgheroSi l’on s’en tient au discours traditionnel, qui dépend en grande partie de Voltaire, l’histoire est linéaire : au début du XVIIIe siècle, physique newtonienne et philosophie lockienne ont détrôné Descartes. Mais l’histoire est plus compliquée. Pendant longtemps, en dehors de l’Angleterre, cartésiens et newtoniens se sont affrontés avec des visions opposées dans ce qu’un contemporain a appelé« un combat philosophique en champ clos ». Le fait est que cartésiens et newtoniens regardaient, en même temps, les mêmes phénomènes, mais ils voyaient des choses différentes. Les tentatives de fondre les deux perspectives, au nom d’une matrice métaphysique supposé commune, n’ont certes pas manqué mais il s’agissait de deux regards trop différents pour pouvoir être compatibles. Cela apparaît clairement quand on constate les effets que ces deux visions simultanées et opposées produisaient sur le terrain des doctrines philosophiques et religieuses. Là aussi, les vues étaient aux antipodes et engendrèrent un débat enflammé, qui vit Leibniz au centre d’un réseau d’argumentations mais aussi d’insinuations et les jésuites du Journal de Trévoux spectateurs attentifs et loin de rester indifférents aux enjeux de la polémique. Le présent ouvrage, qui rassemble et développe quatre conférences tenues à l’École pratique des hautes études, se propose de reconstruire cette histoire dans sa complexité. Il le fait avec une attention particulière à la scène parisienne, dans laquelle l’éminent savant cartésien Joseph Privat de Molières doit subir les attaques du jeune newtonien Pierre Sigorgne, mais aussi en privilégiant le regard d’un malebranchiste destiné à une brillante carrière à Turin et à Rome, Hyacinthe-Sigismond Gerdil, qui, dans sa réfutation de Locke et dans la résistance qu’il oppose à Newton, exprime un point de vue partagé par de nombreux philosophes et savants français de son époque.
Carlo Borghero est professeur d’histoire de la philosophie à l’Université de Rome “La Sapienza”. Ses recherches portent sur la tradition libertine et le scepticisme, les discussions sur la connaissance historique et la certitude morale aux XVIIe et XVIIIe siècles, la philosophie de Descartes et le cartésianisme, la pensée politique des Lumières et les anti-Lumières, ainsi que l’histoire de l’historiographie philosophique.
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Making a Living: Family, Income and Labour
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Eric Vanhaute (Ghent University, Belgium), Isabelle Devos (Ghent University, Belgium), Thijs Lambrecht (Ghent University, Belgium) (directors)
Gérard Béaur (CNRS/EHESS, France), Georg Fertig (University of Münster, Germany), Carl-Johan Gadd (University of Gothenburg, Sweden), Erwin Karel (University of Groningen, The Netherlands), Michael Limberger (Ghent University, Belgium), Richard Paping (University of Groningen, The Netherlands), Phillipp Schofield (Aberystwyth University, Wales UK).
The central issue in this volume is the relation and the interaction between production, reproduction and labour in rural societies. The main questions concern the way in which resources became available to the rural family and to its members, and the strategies which were employed to generate these resources. The goal is to interpret household formation and the economic behaviour of its members within the context of the structural features of the regional social agro-system. Two sets of research questions structure the chapters in this book. The first set evaluates the impact of these processes on the family as a unit (of reproduction and production) and the relationships between its members (internal family relations). These issues are essentially dealt with from a socio-demographic perspective. The second set of questions aims to understand how families adapted their behaviour to changing social and economic circumstances. These topics are studied from a predominantly socio-economic perspective.
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The Colonial Machine
show More to view fulltext, buy and share links for:The Colonial Machine show Less to hide fulltext, buy and share links for: The Colonial MachineAuthors: James E. McClellan III and François RegourdThe rise of modern science and European colonial and imperial expansion are indisputably two defining elements of modern world history. James E. McClellan III and François Regourd explore these two world-historical forces and their interactions in this comprehensive and in-depth history of the French case in the Old Regime presented here for the first time. The case is key because no other state matched Old-Regime France as a center for organized science and because contemporary France closely rivaled Britain as a colonial power, as well as leading all other nations in commodity production and participating in the slave trade.
Based on extensive archival research and vast primary and secondary literatures and sharply reframing the historiography of the field, this landmark volume traces the development and significance for early-modern history of the Colonial Machine of Old-Regime France, an unparalleled agglomeration of institutions geared to the success of the French colonial enterprise, including the Royal Navy, the Académie Royale des Sciences, the Jardin du Roi, and a host of related specialist institutions working together at home and overseas. Mainly supported by the French state, the Colonial Machine reveals itself through its actions from the time of Colbert and Louis XIV as it grappled with fundamental problems facing contemporary European colonialism: cartography and navigation; medical care of sailors, colonists, and slaves; and applied botany and commodity production.
Historians of globalization and European overseas expansion, of Old-Regime France, and of science in the seventeenth and eighteenth centuries will henceforth take this stimulating volume as a necessary starting point for further reflection and research.
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