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1882

La société des amis à Rome et dans la littérature médiévale et humaniste

Etudes réunies

Abstract

Le présent volume propose une réflexion diachronique et pluridisciplinaire sur la notion fondamentale d’amitié, , telle qu’elle a été théorisée et mise en pratique par les Romains, puis par leurs héritiers, au gré de l’évolution des mentalités et des institutions. Le livre que Cicéron a consacré à ce thème si important dans le fonctionnement de la société romaine, le ou (44 av. J.-C.), fait d’abord l’objet d’études croisées, qui cherchent à définir sa structure et son aspect prescriptif, les référents d’autorité puisés dans la tradition romaine sur lesquels il s’appuie, les exemples qu’il invoque et aussi son lien avec les discours de Cicéron lui-même ou bien la manière dont un poète contemporain d’avant-garde comme Catulle a pu le lire. Une seconde partie étudie le rôle de l’« amitié » dans les codes sociaux et politiques qui régnaient à l’époque de Cicéron, puis dans l’Antiquité tardive, avant d’observer l’évolution de ces codes chez les humanistes. Une troisième partie envisage au contraire l’ le cadre de la sphère privée, chez Catulle et les Élégiaques durant la République romaine et le début de l’Empire, puis à la Renaissance, entre de grands humanistes comme Politien, Budé, Lascaris, Macrin, Du Bellay et à travers le genre spécifique des . La quatrième et dernière partie porte sur l’échange épistolaire conçu comme miroir de l’amitié, depuis Pline le Jeune jusqu’à l’humaniste Busbecq, en passant par Alcuin, Bernard de Clairvaux et Buchanan.

References

/content/books/10.1484/M.LATIN-EB.5.106092
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