Revue d'Histoire Ecclésiastique

Dans l’œuvre écrite de Basile de Césarée, les 368 Lettres qui lui sont dévolues par la tradition manuscrite occupent un rang privilégié. Tout historien y dispose d’une mine d’informations de première main, où satisfaire abondamment sa propre orientation de recherche. La présente étude s’applique à cerner deux thèmes sous-jacents à presque toutes ces pièces, sous la forme concrète et personnalisée que favorise le genre épistolaire. En effet, c’est Basile lui-même, éducateur de la foi trinitaire et promoteur de la charité ecclésiale, en prise avec de multiples destinataires, qui est au premier plan de la scène, avec son inspiration biblique et sa sollicitude universelle. Au fil d’une lecture à ras de texte, se dessine peu à peu la personnalité rayonnante du grand Cappadocien, dont les préoccupations et la pédagogie pastorales demeurent, dans leur fond, d’une indéniable actualité.

The 368 Letters attributed to Basil of Cæsarea by the manuscript tradition have a privileged place among his writings. They are an abundant source of first-hand information, easily capable of sustaining the research interests of any historian. The present paper endeavours to outline two themes which underlie almost the whole set of letters, in the concrete and personal form these take in the epistolary genre. As he deals with his many correspondents, Basil himself takes centre stage, teaching the Trinitarian faith and urging ecclesial charity, inspired, as he is, by the Bible, and with his universal concerns. In the course of a close reading of the text, the radiant personality of the great Cappadocian gradually emerges. And his preoccupations and pastoral method continue to be of unmistakable significance to-day.

In dem schriftlichen Werk von Basilius von Cæsarea, haben die 368 Briefe, die die handschriftliche Tradition ihm zuschreibt, eine bevorzugte Stellung. Jeder Historiker findet darin eine unermessliche Erkundigung aus bester Quelle; das kann seine eigene Forschungsrichtung befriedigen. Die darliegende Arbeit bemüht sich, zwei Themen zu untersuchen, die man in fast allen diesen Briefen wiederfindet. In der Tat, steht Basilius selber, als Pädagoge des Dreifaltigkeitsglaubens und Vorkämpfer der Christenliebe, an vielfältigen Endempfängern sich wendend, im Vordergrund mit seiner biblischen Inspiration und seiner universalen Sorgfalt. Wenn man sich direkt an dem Text hält, erscheint, nach und nach, die strahlende Personalität des grossen Kappadoziers, dessen Sorgen und Hirtenpädagogik im Grunde eine unleugbare Aktualität behalten.

The present article argues that the years between circa 1125 and 1145 witnessed an attempt on behalf of ecclesiastical leaders from the archbishopric of Reims to homogenize and reorganize reformed Benedictine monasticism on a regional basis. Second-generation reformers controversially devised methods of supervision rooted in a Cluniac understanding of internal life but formally inspired by the Cistercian model of monastic organization. Central to the development of this new model of reformed monasticism was the leadership of Alvisus, abbot of Anchin and subsequently bishop of Arras. His interventions led to the creation of some form of regional supervision but failed to organize the Benedictine monasteries in the archbishopric of Reims into a well-structured, hierarchical network. A significant factor in convincing the reformers of the necessity of compromise was the fact that their objectives repeatedly clashed with the political interests of various ecclesiastical and secular leaders.

Le présent article cherche à montrer qu’entre 1125 et 1145 des responsables ecclésiastiques de l’archevêché de Reims tentèrent d’homogénéiser et de réorganiser le monachisme bénédictin réformé sur une base régionale. Des réformateurs de seconde génération imaginèrent de façon controversée des méthodes de supervision enracinées dans une vision clunisienne de la vie interne mais inspirées formellement par le modèle cistercien d’organisation monastique. Alvisus, abbé d’Anchin puis évêque d’Arras, joua un rôle central dans le développement de ce nouveau modèle de monachisme réformé. Ses interventions conduisirent à la création d’une forme de supervision régionale mais échouèrent à organiser les monastères bénédictins de l’archevêché de Reims en un réseau bien structuré et hiérarchisé. Un facteur propre à convaincre les réformateurs de la nécessité d’un compromis fut le fait que leurs objectifs entraient de manière répétée en conflit avec les intérêts politiques de divers responsables ecclésiastiques et séculiers.

Der vorliegende Artikel versucht aufzuzeigen, daß zwischen 1125 und 1145 Kirchenverantwortliche der Erzdiözese Reims eine Vereinheitlichung und Neuorganisierung des reformierten benediktinischen Mönchstums auf regionaler Ebene durchsetzen wollten. Reformatoren der zweiten Generation entwarfen auf kontroverse Weise Supervisionsmethoden, die einerseits in einer von Cluny inspirierten Sicht des Gemeinschaftslebens verankert, gleichzeitig formal aber vom Zisterziensermodell der mönchischen Organisation beeinflußt waren. Alvisus, Abt von Anchin und später Bischof von Arras, spielte eine zentrale Rolle in der Entwicklung dieses neuen Modells des reformierten Mönchstums. Seine Beiträge führten zur Schaffung einer Art regionaler Supervision, doch er scheiterte mit der Bildung eines gut strukturierten und hierarchisierten Netzwerks der benediktinischen Klöster im Erzbistum Reims. Ein Faktor, der die Reformatoren von der Notwendigkeit eines Kompromisses überzeugte, war die Tatsache, daß ihre Ziele wiederholt mit den politischen Interessen der verschiedenen kirchlichen und weltlichen Würdenträger in Konflikt gerieten.

Canon 21 of the Fourth Lateran Council (1215) has engendered an enormous scholarly debate regarding the purpose of issuing a requirement that each lay adult confess his or her sins once a year before Easter to his or her own parish priest. For many scholars, the decision by Pope Innocent III and his fellow bishops to issue this requirement is prima facie evidence that confession by laypeople to priests was very rare up to this point. Other scholars, pointing to synodal statutes dating back to the early ninth century, argue that regular confession to priests was a central element of lay religious practice for centuries before 1215. This scholarly dispute has centered on the interpretation of synodal statutes that required lay confession to priests, either as reflecting the reality of lay religious practice or as reflecting the desires of a church hierarchy that was divorced from the religious impulses and practices of the majority of the lay population. This study seeks to break this impasse by drawing attention to a large corpus of texts that have received virtually no attention from scholars interested in the question of lay religious practice, namely narrative texts and letters. This study focuses on the description of religious practice among lay soldiers in the long century before the celebration of the Fourth Lateran Council. It is argued here that the depiction of the religious practices of fighting men, including their confessions to priests, can shed light on the practice of and attitude toward confession by the broader lay population in the pre-Lateran period.

Le canon 21 du quatrième concile du Latran (1215) a engendré un énorme débat scientifique à propos de la promulgation de l’obligation pour tout laïc adulte de confesser ses péchés une fois par an à Pâques au prêtre de sa propre paroisse. Pour beaucoup de chercheurs, la décision du pape Innocent III et de ses confrères évêques de promulguer cette demande manifeste à première vue que la confession des laïcs aux prêtres était dans une certaine mesure très rare. D’autres chercheurs, attirant l’attention sur des statuts synodaux remontant au début du 9^e s., affirment que la confession régulière aux prêtres était un élément central de la pratique religieuse laïque des siècles avant 1215. Cette discussion scientifique s’est centrée sur l’interprétation de statuts synodaux qui exigent la confession aux prêtres, en les considérant soit comme reflet de la réalité de la pratique religieuse laïque soit comme les désirs d’une hiérarchie ecclésiale éloignée des impulsions et des pratiques religieuses de la majorité des laïcs. Notre étude cherche à sortir de cette impasse en attirant l’attention sur un large corpus de textes qui n’ont pratiquement pas éveillé l’attention des chercheurs intéressés par la question de la pratique religieuse des laïcs, c.-à-d. des textes narratifs et des lettres. Cette étude se concentre sur la description de la pratique religieuse parmi des soldats laïcs durant le long siècle qui précède la célébration du quatrième concile du Latran. Il est affirmé ici que la description des pratiques religieuses des combattants, y compris leurs confessions à des prêtres, peut jeter une lumière sur la pratique et l’attitude vis-à-vis de la confession de la population laïque plus large à cette époque.

Der Kanon 21 des vierten Laterankonzils (1215) hat eine gewaltige wissenschaftliche Debatte ausgelöst über die Bekanntmachung der Verpflichtung eines jeden erwachsenen Laien, seine Sünden einmal im Jahr um Ostern dem Priester seiner eigenen Pfarre zu beichten. Für viele Forscher weist die Entscheidung von Papst Innozenz III. und seiner Brüder im Bischofsamt, diese Forderung zu veröffentlichen, zunächst darauf hin, daß die Beichte der Laien einem Priester gegenüber in gewissem Maße sehr selten war. Andere Forscher, die auf bis zum Beginn des 9. Jahrhunderts zurückreichende Synodalstatuten aufmerksam machen, behaupten, daß die Ohrenbeichte ein zentrales Element der religiösen Praxis der Laien in den Jahrhunderten vor 1215 war. Diese wissenschaftliche Diskussion konzentriert sich auf die Interpretation von Synodalstatuten, die das Bekennen der Sünden einem Priester gegenüber vorschreiben. Diese Statuten werden dabei entweder als Spiegel der Wirklichkeit der religiösen Praxis angesehen oder aber als Wunschdenken einer kirchlichen Hierarchie, die weit entfernt war von den Empfindungen und religiösen Handlungen der Mehrheit der Laien. Unsere Studie will aus dieser Sackgasse ausbrechen, indem sie auf eine große Anzahl Texte aufmerksam macht, die kaum das Interesse der Forscher geweckt haben, die sich mit der Frage der religiösen Praxis der Laien beschäftigen, d.h. mit narrativen Texten und Briefen. Der Artikel konzentriert sich auf die Beschreibung der religiösen Praxis der Laiensoldaten während des langen Jahrhunderts, das dem vierten Laterankonzil vorausgegangen ist. Wir stellen fest, dass die Beschreibung der religiösen Praktiken der Kämpfer, inklusive dem Bekennen der Sünden einem Priester gegenüber, ein Licht auf die Haltung und das Handeln der Bevölkerung im breiteren Sinne der Beichte gegenüber zu jener Zeit werfen kann.

This essay attends to one of the reforming voices raised during the multi-layered confusion of the French civil war, the Great Western Schism, and the Hundred Years War: that of Nicolas de Clamanges (ca. 1363-1437) sometime-papal secretary to Avignon, but above all humanist and reformer. The present effort is to identify, describe, and contextualize Clamanges’ writings on the French civil war, paying particular attention to his advice to princes and his concern with the restoration of justice, law and order, the princes’ moral duties, and the juxtaposition of private gain with public good. The main sources are Clamanges’ treatise De lapsu et reparatione iustitiae and his many letters sent over the course of two decades to major players in this historical drama: England’s Henry V; Louis, duke of Aquitaine and dauphin 1397-1415; Louis’ tutor and confessor, Jean d’Arsonval; Jean Gerson, Pierre d’Ailly, and the extended Valois family.

Cet essai s’intéresse à une des voix réformatrices qui s’élevèrent pendant la confusion multiple de la guerre civile française, le Grand schisme d’Occident et la Guerre de cent ans: celle de Nicolas de Clamanges (ca 1363-1437), un temps secrétaire pontifical à Avignon mais surtout humaniste et réformateur. Il s’agit ici d’identifier, décrire et contextualiser les écrits de Clamanges sur la guerre civile française, en portant une attention particulière à ses conseils aux princes et à son souci de la restauration de la justice, de la loi et de l’ordre, des devoirs moraux des princes et de la juxtaposition du gain privé et des biens publics. Les sources principales sont le traité De lapsu et reparatione iustitiae de Clamanges et ses nombreuses lettres envoyées durant deux décennies aux acteurs majeurs de ce drame historique: Henri V d’Angleterre; Louis, duc d’Aquitaine et dauphin (1397-1415); le tuteur et confesseur de Louis, Jean d’Arsonval; Jean Gerson, Pierre d’Ailly et la famille Valois au sens large.

Dieser Beitrag beschäftigt sich mit einer der Stimmen der Reformatoren, die sich während der Wirren des französischen Bürgerkrieges, des großen Schismas des Westens und des Hundertjährigen Krieges erhoben: jene von Nicolas de Clamanges (etwa 1363-1437), der eine Zeit lang päpstlicher Sekretär in Avignon, vor allem jedoch Humanist und Reformator war. Es geht hier darum, die Schriften Clamanges über den französischen Bürgerkrieg zu identifizieren, zu beschreiben und in ihren Kontext zu setzen; ein besonderes Augenmerk gilt dabei seinen Ratschlägen an die Adresse der Regierenden und seinem Bemühen um die Wiederherstellung von Recht, Gesetz und Ordnung, um die moralischen Pflichten der Herrschenden und um das Nebeneinanderstellen von privatem Gewinn und öffentlichem Besitz. Hauptquellen sind die Schrift „De lapsu et reparatione iustitiae“ von Clamanges und die zahlreichen Briefe, die er zwei Jahrzehnte lang den Hauptdarstellern dieses historischen Dramas gesandt hat: Henri V. von England; Ludwig, Herzog von Aquitanien und Kronprinz (1397-1415); Ludwigs Lehrer und Beichtvater, Jean d’Arsonval; Jean Gerson, Pierre d’Ailly und der Familie Valois im weiten Sinne.

Sur un sujet classique et maintes fois discuté, le Concordat de 1801 entre Bonaparte et Pie VII, nous nous livrons ici à l’exercice du commentaire de texte, afin de présenter de manière claire et synthétique les 17 articles qui ont ramené en France la paix religieuse à une époque troublée. En deux parties, nous montrons comment le Concordat est un habile compromis qui satisfait, d’une part, le culte et la République, en reconnaissant que la religion de «la grande majorité des français» a droit à un culte libre et public dans une République à qui elle doit fidélité tandis que se pose la question de la profession de foi personnelle du souverain et, d’autre part, les personnes et les biens, en renouvelant l’épiscopat et le régime de la propriété ecclésiastique, par une nouvelle circonscription des diocèses, des démissions et des nominations massives, et en convaincant Rome de renoncer aux biens ecclésiastiques aliénés contre la fonctionnarisation du clergé.

We offer here a commentary on the text of the 1801 Concordate between Bonaparte and Pius VII, a classical and oft discussed subject. We seek a clear and synthetic presentation of the 17 articles that brought religious peace to France in a troubled time. In two parts, we will show why the Concordate is a dexterous compromise that, on the one hand, satisfied religion and the Republic by recognizing that the religion of «the vast majority of the French» has the right to free and public worship in a Republic to which it owes loyalty, while at the same time the question of the sovereign s personal profession of faith arose. On the other hand, it responded to questions of persons and wealth by renewing the episcopate and the ecclesiastical property system, via a new circumscription of dioceses, massive demissions and nominations and by convincing Rome to renounce seized ecclesiastical wealth in exchange for the functionarization of the clergy.

Zu einem klassischen und oft diskutierten Thema, dem Konkordat von 1801 zwischen Bonaparte und Pius VII., wollen wir uns hier in der Kunst des Textkommentars üben, um möglichst klar und zusammenfassend die 17 Artikel vorzustellen, die Frankreich in einer unruhigen Zeit den religiösen Frieden zurückgebracht haben. In zwei Teilen zeigen wir, dass das Konkordat einen geschickten Kompromiss darstellt, der einerseits den Kultus und die Republik zufrieden stellt, indem er anerkennt, dass die Religion der „großen Mehrheit der Franzosen“ Anrecht auf die freie und öffentliche Ausübung des Glaubens hat, in einer Republik, der sie in Treue verpflichtet ist, während sich gleichzeitig die Frage nach dem persönlichen Glaubensbekenntnis des Staatsoberhauptes stellt; andererseits versöhnt das Konkordat auch die Personen und die Güter, indem es den Episkopat und das System des kirchlichen Besitzes durch eine Neuordnung der Bistümer, Abdankungen und massive Ernennungen erneuert und Rom dazu bringt, auf die beschlagnahmten Güter gegen die Verbeamtung des Klerus zu verzichten.

Procéder. Pas d’action, pas de droit ou pas de droit, pas d’action? Textes réunis par J. Hoareau-Dodinau et al (Br. Basdevant-Gaudemet). 182. — B.A. Cook, Belgium. A History (Ph. Annaert). 184. — R.A. Horsley (Ed.), Christian Origins. A People’s History of Christianity (P. Maraval). 185. — M. Aróztegui Esnaola, La amistad del verbo con Abraham según San Ireneo de Lyon (L. Vianès-Abou Samra). 187. — R.D. Butler, The New Prophecy and «New Visions». Evidence of Montanism in The Passion of Perpetua and Felicitas (J.-M. Prieur). 190. — Cl. Sotinel, Identité civique et christianisme. Aquilée du ii^e au vi^e s. (P. Maraval). 191. — Mystique: la passion de l’Un, de l’Antiquité à nos jours. Ed. par A. Dierkens et al. (J. Fabry). 194. — D. Bradshaw, Aristotle East and West. Metaphysics and the Division of Christendom (J.-C. Larchet). 196. — S. Augustin. La Numidie et la société de son temps. Textes réunis par S. Lancel (J.-M. Vercruysse). 198. — G. Winkler, Die Basilius-anaphora (M. 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Krumenacker). 207. — L’età di Kiev e la sua eredità nell’incontro con l’Occidente. A cura di G. De Rosa et al. (Chr. Deluz). 209. — Queenship and Sanctity. The Lives of Mathilda and the Epitaph of Adelheid. Transl. by S. Gilsdorf (A.-J.A. Bijsterveld). 211. — M. Giese, Die Textfassungen der Lebensbeschreibung Bischof Bernwards von Hildesheim. (M. Eder). 213. — E. Balzer, Adel - Kirche - Stiftung. Studien zur Geschichte des bistums Münster im 11. Jhdt. (M. Eder). 214. — International Mobility in the Military Orders (12^th to 15^th Cent.). Ed. by J. Burgtorf et al. (D. Carraz). 216. — Eadmer of Canterbury. Lives and Miracles of Saints Oda, Dunstan, and Oswald. Ed. and translated by A.J. Turner et al. (A. Crépin). 218. — Christina of Markyate. A twelfth-century holy woman. Ed. by S. Fanous et al. (K.É. Børresen). 219. — Formation intellectuelle et culture du clergé dans les territoires angevins (Milieu du 12^e-fin du 14^e s.). Sous la dir. de M.-M. de Cevins et al. (St. Vanderputten). 220. — E.C. Dijkhof, Het oorkondewezen van enige kloosters en steden in Holland en Zeeland 1200-1325 (E. De Paermentier). 222. — Spuren franziskanischer Geschichte. Bearb. v. B. Schmies et al. Hrsg. v. D. Berg (Bert Roest). 224. — M. Bartoli et al., Mystiques et politiques (D. Boquet). 226. — G. Brunettin, Bertrando di Saint-Geniès Patriarca di Aquileia (1334-1350) (M. Bégou-Davia). 227. — J. Nadal Cañellas, La résistance d’Akindynos à Grégoire Palamas (J.-C. Larchet). 230. — C. Cenci, Documenta Vaticana ad Franciscales spectantia. Ann. 1385-1492. II. Ann. 1471-1492. 233. — Kirchen von Florenz. Hrsg. v. A. Paolucci (P. Donceel-Voute). 235. — La província cartoixana de Catalunya. La cartoixa de Montalegre. La provincia cartujana de Cataluña. La cartuja de Montalegre (V. Serra). 238. — Art and Architecture of Late Medieval Pilgrimage in Northern Europe and the British Isles. Ed. by S. Blick et al. (Ph. Racinet). 239. — Orden und Klöster im Zeitalter von Reformation und katholischer Reform 1500-1700. Band 1 & 2. Hrsg. v. F. Jürgensmeier et al. (J. Vercruysse). 240. — «… wir wollen der Liebe Raum geben». Konkubinate geistlicher und weltlicher Fürsten um 1500. Hrsg. v. A. Tacke (D. Vanysacker). 243. — P. Cozzo, La geografia celeste dei duchi di Savoia (J. Solé). 248. — Fr. Meyer, Die Bibel in Basel (P.-M. Beaude). 250. — Philipp Melanchthon Briefwechsel. Regesten. Bd. 11. Personen A-E. Bearb. v. H. Scheible (J. Vercruysse). 251. — Philipp Melanchthon Briefwechsel. Band 6. Texte 1395-1683 (1534-1535). Bearb. v. C. Mundhenk (J. Vercruysse). 251. — R. Carrasco, La monarchie catholique et les Morisques (1520 - 1620) (S. Edouard). 253. — P.A. MacKenzie, Caritas Pirckheimer. A Journal of the Reformation Years 1524-1528 (B. Roest). 257. — G. Caravale, L’orazione proibita. Censura ecclesiastica e letteratura devozionale nella prima età moderna (M. Venard). 258. — Johannes Gropper Briefwechsel II, 1547-1559. Bearb. v. R. Braunisch (Dr. Vanysacker). 260. — M.W. Konnert, Local Politics in the French Wars of Religion. The Towns of Champagne, the Duc de Guise, and the Catholic League, 1560-95 (Ph. Benedict). 261. — Les jésuites à Lyon 16^e-20^e s. Sous la dir. d’É. Fouilloux et al. (H. Didier). 263. — P. Broggio, Evangelizzare il mondo. Le missioni della Compagnia di Gesù tra Europa e America (secoli 16-20) (H. Didier). 265. — M.-C. Dinet-Lecomte, Les sœurs hospitalières en France aux 17^e et 18^e s. (A. Tihon). 267. — E. Patrizi, La trattatistica educativa tra Rinascimento e Controriforma. L’Idea dello Scolare di Cesare Crispolti (M. Ostenc). 268. — La legazione di Ferrara del Cardinale Giulio Sacchetti (1627-1631). Vol. I et II. A cura di I. Fosi (Dr. Vanysacker). 271. — C. Davy-Rigaux, Guillaume-Gabriel Nivers. Un art du chant grégorien sous le règne de Louis XIV (Br. Van Wymeersch). 276. — Sh. Li, Stratégies missionnaires des jésuites français en Nouvelle-France et en Chine au 17^e s. (P. Servais). 277. — S. Gaudelus, Les offices de Ténèbres en France 1650-1790 (Br. Van Wymeersch). 279. — É. Wenzel, Curés des Lumières: Dijon et son diocèse (P. Christophe). 280. — M.A. Morelli Timpanaro, Tommaso Crudeli. Poppi (1702-1745). Contributo per uno studio sulla Inquisizione a Firenze nella prima metà secolo xviii (Dr. Vanysacker). 283. — D.M. Thompson, Baptism, Church and Society in Modern Britain. From the Evangelical Revival to Baptism, Eucharist and Ministry (P. Gauthier). 285. — G. Avril, L’anti-Napoléon. Écrits inédits et papiers de Noël-Antoine Apuril du Pontreau, chanoine de la Congrégation de France (J.-P. Chantin). 288. — B. Plongeron, Des résistances religieuses à Napoléon (1799-1813) (J.-P. Chantin). 288. — M.-É. Bougeard-Vetö, Chateaubriand traducteur. De l’exil au Paradis perdu (D. Mite). 289. — D. Avon et al., Les jésuites et la société française. 19^e et 20^e s. (H. Didier). 292. — A. Ascenzi et al., L’alfabeto e il catechismo. La diffusione delle scuole di mutuo insegnamento nello Stato Pontificio (1819-1830) (M. Ostenc). 296. — R. Billy et al. Le Père Louis-Marie Lannurien (1823-1854). Spiritain, disciple de Libermann. Fondateur du séminaire français de Rome (G. Vieira). 298. — H. Guillemain, Diriger les consciences, guérir les âmes. Une histoire comparée des pratiques thérapeutiques et religieuses (1830-1939) (J.-P. Chantin). 299. — Fr. Dante, I cattolici e la guerra di Crimea (M. Jačov). 300. — D. Millet-Gérard, La prose transfigurée. Vingt études en hommage à Paul Claudel pour le cinquantenaire de sa mort (J.-C. Polet). 302. — Les catholiques dans la République (1905-2005). Sous la dir. de Br. Duriez et al. (L. Ducerf). 304. — Vers la Liberté Religieuse. La séparation des Églises et de l’État. Sous la direction de Ph. Boutry et al. (O. Saaïdia). 308. — F. Le Moigne, Les Évêques français de Verdun à Vatican II. Une génération en mal d’héroïsme (J.-M. Mayeur). 310. — P. Macchi, Paul VI à travers son enseignement (R. Aubert). 312. — H. Vulliez, Évêque du mouvement, Léon-Albert Terrier (1893-1957) (Br. Béthouart). 313. — J.-D. Durand, L’esprit d’Assise. Discours et messages de Jean-Paul II à la communauté de Sant’Egidio (Cl. Toupin-Guyot). 315. — L. Salin, Vers une Europe Vaticane? L’influence du St-Siège sur l’élargissement de l’Union européenne (J.-M. Ticchi). 316.