Revue d'Histoire Ecclésiastique
Volume 106, Issue 3-4, 2011
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Civitas interdicta monachis. Les moines présentèrent-ils un danger pour l’ordre public romain?
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AbstractThis article touches on an interdisciplinary problem concerning the position of the State vis-à-vis early monasticism. This study will focus on the monastic constitutions promulgated by Emperor Theodosius I in the late 4th century as part of the Thedosian Code, the third section of the sixteenth book, entitled De monachis (C.Th. 16,3,1; C.Th. 16,3,2). The first constitution analyzed lacks – contrary to the opinions of several experts on the doctrine — a clear mandate forbidding monks from residing in urban settings. The prohibition on residing in cities is expressed only in the constitution of 392 (C.Th. 16,3,2). This study demonstrates that C.Th. 16,3,2 did not repeal the provision in C.Th. 16,3,1, but rather annulled the prohibition on monks from residing in cities, perhaps declared in another regulation (not very well known in this day and age).
AbstractDer Artikel schneidet ein interdisziplinäres Problem verbunden mit dem Standpunkt des Staates gegenüber den Anfängen des Mönchtums an. Die Analyse konzentriert sich auf die Mönche betreffenden, Ende des 4. Jahrhunderts durch Kaiser Theodosius I. erlassenen Gesetze, vereinigt im Codex Theodosianus, im dritten Titel des sechzehnten Buches unter dem Titel De monachis (C. TH. 16,3,1; C. Th. 16,3,2). In der ersten untersuchten Bestimmung (C. Th. 16,3,1) fehlt – trotz der Meinungen mehrerer Vertreter der Doktrin – die Erwähnung ein klares Verbotes an Mönche, sich in Städten aufzuhalten. Das Verbot des Aufenthaltes in Städten wird nur in der Bestimmung von 392 (C. Th. 16,3,2) zum Ausdruck gebracht. Die Analyse zeigt, dass der C. Th. 16,3,2 nicht die in C. Th. 16,3,1 enthaltene Norm abschaffen will, sondern dass darin das Verbot für Mönchen zum Aufenthalt in Städten abgeschafft wird, das womöglich in einer anderen Reglementierung (heute wenig bekannt) ausgesprochen wurde.
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Calvin and Augustine’s Interpretations of “The Father in Heaven”
show More to view fulltext, buy and share links for:Calvin and Augustine’s Interpretations of “The Father in Heaven” show Less to hide fulltext, buy and share links for: Calvin and Augustine’s Interpretations of “The Father in Heaven”By: John H. MazaheriAbstractThe author compares J. Calvin's interpretation of the address to the Heavenly Father, in the beginning of the Lord's Prayer (Mat 6:9), with that of Augustine. His textual analysis thus allows him to distinguish a few her-meneutical differences between the two theologians. For example, Calvin puts more emphasis on the “Father” than on the “Heaven”. But the most important difference is the fact that the notion of “Father” leads the French theologian to the introduction of the “Son”, without whom the Creator could not be known or understood. Augustine, on the other hand, does not need to mention the “Son” in his exegesis. This difference, no doubt, reveals a slightly different Christology. The author concludes that Calvin's thought is in this regard, at least in the context of The Gospel of Matthew, closer to John.
AbstractL'auteur de cet article compare l'interprétation de J. Calvin de l'adresse au Père céleste, au début de la Prière du Seigneur (le “Pater noster”), avec celle donnée par saint Augustin. Son analyse textuelle permet ainsi de distinguer quelques différences herméneutiques chez les deux théologiens. Par exemple, Calvin attache plus d'importance au terme « Père » qu'à celui de « Cieux ». Mais la différence la plus notable est le fait qu'à partir de la notion de « Père » Calvin arrive à introduire celle du « Fils », sans qui le Créateur ne pourrait être connu ou compris. Par contre, saint Augustin n'éprouve pas le besoin de mentionner le « Fils » dans cette adresse au « Père ». Cette différence montre sans doute une christologie quelque peu différente, Calvin se trouvant plus proche qu'Augustin de la pensée de saint Jean, ne serait-ce que dans ce contexte du passage de l'Évangile selon Matthieu.
AbstractDer Autor vergleicht J. Calvins Interpretation der Anrufung des Himmlischen Vaters zu Beginn des Vaterunser (Mat 6:9) mit der des Augustinus. Seine Textanalyse erlaubt es ihm, einige hermeneutische Verschiedenheiten zwischen den beiden Theologen zu unterscheiden. So legt Calvin zum Beispiel mehr Nachdruck auf „Vater“ als auf „Himmel“. Der größte Unterschied ist jedoch die Tatsache, dass die Erwähnung des „Vaters“ den französischen Theologen zur Einführung des „Sohnes“ führt, ohne den der Schöpfer nicht gekannt oder verstanden werden konnte. Augustinus dahingegen erwähnt den „Sohn“ nicht in seiner Exegese. Dieser Unterschied bringt zweifellos eine leicht abweichende Christologie ans Licht. Der Autor folgert, dass Calvins Betrachtungen in dieser Hinsicht, zumindest im Kontext des Matthäusevangelium, dem Johannes näher stehen
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Vier Theologen für Morone. Ein unbekanntes Gutachten im Prozess der römischen Inquisition gegen Kardinal Giovanni Morone (1555-1560)
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AbstractFour prominent theologians' expertise related to the trial conducted by the Roman Inquisition in the years 1555-1560 against cardinal Giovanni Morone on suspicion of heresy has been discovered by the author in Roman archives recently. The document and the circumstances of its elaboration show that the valuation of this most important case was highly controversial even beyond the walls of the Sant' Ufficio, and that even in the middle of the 16th century an intransigent “counterreformatory” perspective of faith held especially by the head of the Roman Inquisition had not yet prevailed. A closer examination of the experts' possible motives makes clear that the votes can be explained not only by the interest of pope Pius IV in an acquittal of Morone, but also by the theological positions of the experts.
AbstractL'expertise de quatre théologiens importants, liée au procès conduit par l'Inquisition romaine pendant les années 1555-1560 contre le cardinal Giovanni Morone sur présomption d'hérésie, a été découverte récemment par l'auteur dans les archives romaines. Le document et les circonstances de son élaboration prouvent que l'évaluation de cette cause très importante était fortement controversée même à l'intérieur des murs du St-Office et, qu'au milieu du 16e s., une vision intransigeante « contre-réformiste » de la foi, défendue particulièrement par la direction de l'Inquisition romaine, n'avait pas encore prévalu. Un examen plus étroit des motifs possibles des consultants montre que les votes peuvent s'expliquer non seulement par l'intérêt du pape Pie IV dans un acquittement de Morone, mais également par les positions théologiques de leurs auteurs.
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“Il nous faut acquérir de l’autorité sur les Japonais”. Le problème de l’adaptation de la hiérarchie jésuite aux conditions religieuses et sociales japonaises
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AbstractThis article aims to study the adaptation of the Jesuit hierarchy to the social and religious conditions of Japan in the 16th century. The Jesuit mission to Japan was established in 1549, and it flourished in the 1580s under the leadership of Alessandro Valignano, Visitor to the Missions. There, he advocated a policy of acclimation to the Japanese culture in order to blend in with the population and allow Christianity to be accepted as a religion unique to Japan. With this in mind, the Jesuits adopted the ceremonies and degrees of intensity from Zen as a model. However, this hierarchical acclimation was not only external. It also included important spiritual issues, which provoked numerous debates within the Society of Jesus. The adaptation of the Jesuit hierarchy to Japanese society could not be allowed to dilute the identity or spirituality of the Order. The missionaries then had to find a balance between respect for the Constitutions of the Society and politics of accommodation.
AbstractDieser Artikel bietet eine Studie der Anpassung der jesuitischen Hierarchie an die sozialen und religiösen Bedingungen im Japan des 16. Jahrhunderts. Die jesuitische Mission ist seit 1549 in Japan angesiedelt, aber ihren Aufschwung verzeichnet sie erst in den Jahren um 1580, unter dem Ansporn des Visitators Alessandro Valignano. Dieser preist eine Politik der Anpassung an japanische Gebräuche an, in der Absicht, sich mit der Bevölkerung zu verschmelzen und und so das Christentum als eine den Japanern eigentümliche Religion akzeptieren zu lassen. Zu diesem Zweck nehmen die Jesuiten die in der Zen-Sekte geltenden Zeremonien und Ränge als Modell. Aber diese Anpassung der Hierarchie findet nicht nur nach außen hin statt. Sie verhüllt wichtige spirituelle Streitpunkte und ruft zahlreiche Debatten im Scho! der Gesellschaft Jesu hervor. Die Adaption der jesuitischen Hierarchie an die japanische Gesellschaft soll jedoch nicht die Verwässerung der Identität des Orden und seiner Spiritualität zulassen. Die Missionare müssen darum ein Gleichgewicht zwischen den Satzungen der Gesellschaft und der Politik der Anpassung finden.
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The Centralization Process of the Ethiopian Orthodox Church. An Ecclesiastical History of Ethiopia during the 20th Century
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AbstractCet article vise à expliquer par quels moyens l'Église Orthodoxe d'Éthiopie s'est dotée d'une administration ecclésiastique centralisée durant le 20e siècle. Le pouvoir politique éthiopien, qu'il soit monarchique ou révolutionnaire, s'est joint aux efforts des plus hautes instances de l'Église éthiopienne pour créer une autorité ecclésiastique centrale ayant vocation à monopoliser la prise de décisions au sein de l'administration ecclésiastique. Ainsi, grâce à une longue série de réformes successives, bouleversant les traditions de cette Église, l'épiscopat éthiopien a pu petit à petit jouir d'une autorité sans précédent sur l'ensemble de la société ecclésiastique. Fondé sur l'étude de faits méconnus, et nourri de documents d'archives non exploités auparavant, cet article contribue à notre connaissance sur l'évolution récente d'une des institutions les plus influentes d'Éthiopie.
AbstractDie Zentralisierung der orthodoxen Kirche in Äthiopien: eine Kirchengeschichte Äthiopiens im 20. Jahrhundert: Dieser Artikel unternimmt den Versuch zu verdeutlichen, mit welchen Mitteln die orthodoxe Kirche in Äthiopien sich eine zentralisierte kirchliche Verwaltung geschaffen hat. Die äthiopische politische Macht, ob monarchisch oder revolutionär, unterstützte die höchsten Instanzen der äthiopischen Kirche in ihren Bemühungen, eine zentrale Kirchenverwaltung zu schaffen, um die Beschlussbildung bei der kirchlichen Verwaltung zu monopolisieren. So konnte das äthiopische Episkopat, dank einer langen Reihe aufeinander folgenden Reformen und unter Umkehrung der Traditionen dieser Kirche, nach und nach eine vorbildlose Autorität über die Gesamtheit der kirchlichen Gesellschaft genießen. Basiert auf dem Studium unbekannter Fakten und bereichert durch bisher scheinbar nicht ausgewertete Archivdokumente, erweitert dieser Artikel unsere Kenntnis um die rezenten Entwicklungen einer der einflussreichsten Institutionen Äthiopiens.
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L’Église de Pie XI et l’antisémitisme fasciste
show More to view fulltext, buy and share links for:L’Église de Pie XI et l’antisémitisme fasciste show Less to hide fulltext, buy and share links for: L’Église de Pie XI et l’antisémitisme fascisteAbstractEn 1938 le Vatican et le gouvernement de Mussolini s'affrontent au sujet des politiques raciales du fascisme. Pie XI critique à plusieurs occasions racisme et antisémitisme et l'« Osservatore Romano » est cohérent avec la ligne du pape. Certains intellectuels catholiques écrivent des articles contre l'antisémitisme et un violent affrontement avec la presse fasciste s'en suit. Lorsque Mussolini décide de promulguer les lois raciales, le Vatican essaie d'ouvrir avec le gouvernement des tractations compliquées, qu'il conduit au plan diplomatique, mais qui auront des suites autant au niveau de la presse que de l'opinion publique catholique. En utilisant des documents autant du Vatican que de la diplomatie italienne, cet essai parcourt les différents moments de cet affrontement qui s'est poursuivi jusqu'à la mort du pape Ratti et a déterminé une crise dans les rapports entre l'État et l'Église et une chute du consensus des catholiques au fascisme.
AbstractIn 1938, the Vatican and Mussolini's government clashed over the racial politics of fascism. On many occasions, Pius XI was critical of anti-Semitism and racism, and L'Osservatore Romano was consistently in line with the pope. After certain Catholic intellectuals wrote articles condemning anti-Semitism, a violent confrontation with the fascist press ensued. When Mussolini decided to enact the Manifesto of Race, the Vatican attempted to engage in complex dialogues with the government, which led to a diplomatic blueprint but had consequences for Catholic public opinion in the press. Using documents concerning the Vatican and Italian diplomacy, this essay covers the various moments of this confrontation, which continued until the death of Pius XI and identified a crisis in Church-state relations while diminishing Catholic conformity with fascism.
Abstract1938 standen der Vatikan und die Regierung Mussolinis sich in der Frage der Rassenpolitik des Faschismus gegenüber. Pius XI. kritisierte mehrmals Rassismus und Antisemitismus und der « Osservatore Romano » ist mit dem Standpunkt des Papstes kohärent. Einige katholische Intellektuelle schrieben Artikel gegen den Antisemitismus und verursachten eine heftige Auseinandersetzung mit der faschistischen Presse. Als Mussolini beschloss, die Rassengesetze zu erlassen, versuchte der Vatikan, mit der Regierung komplizierte Verhandlungen zu eröffnen, die auf diplomatischer Ebene geführt wurden, aber auch folgeträchtig waren für die Presse und die katholische öffentliche Meinung. Unter Bezug auf Dokumente aus dem Vatikan wie auch der italienischen Diplomatie, überläuft dieser Artikel verschiedene Momente dieser Auseinandersetzung, die bis zum Tode des Papstes Ratti fortdauerte, und die eine Krise in den Beziehungen zwischen Staat und Kirche und den Sturz des Konsensus der Katholiken zum Faschismus bewirkte.
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Reunion of Christendom or Ecumenism? Relations between Catholics and Protestants Before Vatican II in the South African Magazine The Southern Cross
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AbstractLe présent article examine les relations entre catholiques et protestants en Afrique du Sud avant le Concile Vatican II. Il est basé sur une collection de 48 articles traitant des « non-catholiques » dans l'hebdomadaire catholique The Southern Cross entre 1949 et 1951. Cette période a été choisie en raison de sa proximité de la fondation du Conseil œcuménique des Églises, en août 1948 à Amsterdam. Après l'appel du Pape Pie XII pour la réunification de l'Église dans son radio-message de Noël 1949 et la publication de Ecclesia catholica, la réponse tardive de la Curie romaine à l'établissement du mouvement œcuménique, de subtils changements ont commencé à influer sur les attitudes catholiques face au protestantisme en Afrique du Sud. Plus de nouvelles sur les Églises protestantes ont été rapportées pour signaler que l'idéal du pape de l'unité n'était pas hors de portée. La tenue de rassemblements œcuméniques a été autorisée, à condition qu'aucun compromis doctrinal ne fût fait. L'Église catholique est restée une forteresse, convaincue qu'elle était la seule destinataire de la promesse de rédemption de Jésus-Christ, mais des occasions de dialogue avec les membres des autres Églises ont commencé à se multiplier. Elles ont ouvert la voie à la percée œcuménique de Vatican II une décennie plus tard.
AbstractDer vorliegende Artikel untersucht die Beziehungen zwischen Katholiken und Protestanten in Südafrika vor dem Zweiten Vatikanischen Konzil. Er basiert sich auf eine Sammlung von vierundachtzig Artikeln über «nicht-Katholiken», die zwischen 1949 und 1951 in der katholischen Wochenzeitung The Southern Cross erschienen. Dieser Zeitraum wurde wegen seiner zeitlichen Nähe zur Gründung des Ökumenischen Rates der Kirchen im August 1948 in Amsterdam gewählt. Nach Papst Pius XII. Aufruf zur Wiedervereinigung der Kirche in seiner Radioansprache zu Weihnachten 1949 und der Herausgabe der Ecclesia catholica, der verspäteten Antwort der Römischen Kurie auf die Errichtung der ökumenischen Bewegung, begannen subtile Veränderungen die katholische Haltung gegenüber Protestantismus in Südafrika zu beeinflussen. Die Berichterstattung über protestantische Kirchen nahm zu, um zu zeigen, dass das päpstliche Ideal der Einheit nicht unerreichbar sei. Ökumenische Versammlungen wurden autorisiert, jedoch mit der Vorgabe, keine doktrinalen Kompromisse zu machen. Die katholische Kirche blieb weiterhin eine Festung, überzeugt davon, der alleinige Empfänger des Erlösungsversprechen Jesu Christi zu sein, aber Gelegenheiten zum Dialog mit Mitgliedern anderer Kirchen begannen sich zu vermehren. Sie ebneten den Weg für den ökumenischen Durchbruch des Zweiten Vatikanischen Konzils eine Dekade später.
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Mélanges de littérature et de civilisation byzantines: à propos de quelques ouvrages (plus ou moins) récents
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Comptes rendus
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Christian Theology and Late-Antique Philosophy in the Fourth Century Trinitarian Controversy (R. Winling). 602. — Prisciliano Tratados. Estudo e traduça.o de R. Ventura (S. Sanchez). 604. — Jérôme, La lettre 22 à Eustochium. De uirginitate seruanda. Trad. et comm. Y.-M. Duval (†) et P. Laurence, suivis de P. Laurence, L’épître 22 de Jérôme et son temps (A. Canellis). 609. — Augustine in his own words. Ed. by W. Harmless (F. Dolbeau). 613. — La gra. ce d’une cathédrale. Reims. Sous la dir. de Th. Jordan (A. Haquin). 615. — Entre Paradis et Enfer. Mourir au Moyen Âge, 600-1600, sous la dir. de S. Balace et A. De Poorter (A. Haquin). 617. — Maximus the Confessor, Ambigua to Thomas and Second Letter to Thomas. Introd., transl. and notes by J. Lollar (J.-C. Larchet). 620. — Antichrist. Konstruktionen von Feindbildern. Hrsg. v. W. Brandes und F. Schmieder (M. Eder). 622. — Dialogue avec l’invisible. L’art aux sources de l’Europe..uvres d’exception issues de la Communautéfrançaise de Belgique (viiie-xviie s.). Sous la dir. de J. Toussaint (A. Haquin). 623. — Kl. Krönert, L’exaltation de Trèves. Écriture hagiographique et passé historique de la métropole mosellane (viiie -xie s.). Hrsg. v. Deutschen Historischen Institut Paris (H.H. Anton). 625. — A. Cain and N. Lenski (Éd.), The Power of Religion in Late Antiquity (G. Filoramo). 634. — Fr. Grady, Representing Righteous Heathens in Late Medieval England (A. Gauthier). 637. — Miracles, Vies et réécritures dans l’Occident médiéval. Sous la dir. de M. Goullet et M. Heinzelmann (C. Caby). 639. — S. Legros, Moines et seigneurs dans le Bas-Maine. Les prieurés bénédictins du xe au xiiie s. (R. Bornert). 641. — Gr. G. Merlo, Eretici del medioevo. Temi e paradossi di storia e storiografia (M. Bartoli). 643. — Die Konzilien Deutschlands und Reichsitaliens 1023-1059. Hrsg. v. D. Jasper (H.H. Anton). 645. — G. Marchetto, Il divorzio imperfetto. I giuristi medievali e la separazione dei coniugi (M. Decaluwé). 651. — Archives et manuscrits précieux tournaisiens, 2. Sous la dir. de J. Pycke et A. Dupont (G. Docquier). 653. — D. Rezza, M. Stocchi, Il capitolo di San Pietro in Vaticano dalle origini al XX secolo (A. Haquin). 654. — M. Lawo, Studien zu Hugo von Flavigny (K. Rennie). 656. — J. Burgtorf, The Central Convent of Hospitallers and Templars (D. Carraz). 658. — L’école de St-Victor de Paris. Influence et rayonnement du Moyen Âge à l’Epoque moderne. Actes réunis par D. Poirel (B. Barbiche). 660.- P.-A. Burton, Aelred de Rievaulx (1110-1167). De l’homme éclaté à l’e. tre unifié (B.P. McGuire). 662. — J. Pycke et M. Van Eeckenrode, Inventaire du chartrier et des archives de l’abbaye tournaisienne de St-Nicolas-des-Prés (1126-1795) reposant aux Archives et Bibliothèque de la Cathédrale de Tournai (G. Docquier). 664. — B.T. Coolman, D.M. Coulter eds, Trinity and Creation. A Selection of Works of Hugh, Richard and Adam of St Victor (D. Poirel). 666. — H. Feiss (Ed.), On Love. A Selection of Works of Hugh, Adam, Achard, Richard, and Godfrey of St Victor (D. Poirel). 667. — Cl.M. Waters, Angels and Earthly Creatures. Preaching, Performance, and Gender in the Later Middle Ages (H. Martin). 669. — The Crusade of Frederick Barbarossa. The History of the Expedition of the Emperor Frederick and Related Texts. Transl. by G.A. Loud (D. Carraz). 671. — B. Sère, Penser l’amitié au Moyen Âge. Étude historique des commentaires sur les livres VIII et IX de l’Éthique à Nicomaque (xiiie-xve s.) (J.-M. Counet). 672. — V. Tabbagh, Diocèse de Sens (J. Pycke). 674. — R. Dunning (Éd.), Jocelin of Wells. Bishop, Builder, Courtier (N. Perreaux). 677. — The Letters of Adam Marsh. Volume II. Ed. and transl. by C.H. Lawrence (M. Robson). 679. — Archives et manuscrits précieux tournaisiens, 4. Sous la direction de J. Pycke (N. Ruffini-Ronzani). 681. — L’obituaire de l’ho. pital des Quinze-Vingts de Paris. Publ. sous la dir. de J. Favier et de J.-L. Lemaître (P. Collomb). 683. — Les obituaires du chapitre cathédral St-Sauveur et de l’église Ste-Marie de la Seds d’Aix-en-Provence. Publ. sous la dir. de J. Favier et de J.-L. Lemaître (P. Collomb). 684. — J. Burgtorf et al., The Debate on the Trial of the Templars (13071314) (D. Carraz). 686. — John Duns Scotus, Philosopher. Part 1. Ed. by M.B. Ingham and O. Bychkov (M. Robson). 690. — J. Golein, Le Racional des divins offices de Guillaume Durand. Livre IV. Éd. crit. et comm. par Ch. Brucker et P. Demarolle (W. François). 692. — J.P. Hornbeck II, What is a Lollard? Dissent and Belief in Late Medieval England (V. Vermassen). 693. — P. Colman, Jan van Eyck et Jean sans Pitié(P. George). 694. — O. Cuella Esteban, Bulario aragonés de Benedicto XIII. Vol. 4. (V. Serra de Manresa). 697. — H. Rümelin, St. Nicolai in Lüneburg. Bauen in einer norddeutschen Hansestadt 1405-1840 (B. Coppé). 699. — L.J. Taylor, The Virgin Warrior. The Life and Death of Joan of Arc (F. Michaud-Fréjaville). 700. — Eneas Silvius Piccolomini Dialogus. Hrsg. von D.R. Henderson (G. Tournoy). 703. — E.C. Lutz, Arbeiten an der Identita¨ t. Zur Medialität der «cura monialium» im Kompendium des Rektors eines reformierten Chorfrauenstifts (S. Barret). 705. — La France des humanistes. Robert et Charles Estienne, des imprimeurs pédagogues. Par B. Boudou et al. (J.-F. Gilmont). 707. — La France des humanistes. Hellénistes II. Par J.-F. Maillard et al. (J.-F. Gilmont). 707. — B. Schneider (Hrsg.), Kirchenreform und Konfessionsstaat, 1500-1801 (J. Vercruysse). 709. — B. Gotzkowsky, Die Buchholzschnitte Hans Brosamers in Werken Martin Luthers und anderen religio¨ sen Drucken des 16. Jhdts. (A. Lemmens). 711. — Martin Bucer Briefwechsel/Correspondance. Band VIII (April 1532 — August 1532). Hrsg. u. bearbeit. v. W. Simon et al. (J. 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A cura di T. Caliò et al. (M. Bartoli). 804. — J.-P. Besse, Ileana. L’archiduchesse voilée (M. Bănică). 806. — V. Cárcel Ortí (Ed.), La II República y la Guerra Civil en el Archivo Secreto Vaticano. 1931 (H. Raguer). 807. — J. Merz et al. (Hg.), Aufbrüche und Kontroversen. Das Bistum Würzburg 1945-1963 (M. Eder). 811. — F. Caussé, La revue «L’art Sacré». Le débat en France sur l’art et la religion (1945-1954) (A. Lenoble-Bart). 812. — C. Couchouron-Gurung, Les Témoins de Jéhovah en France (J.-P. Chantin). 814. — La pédagogie universitaire d’hier, d’aujourd’hui et de demain selon l’acquis scientifi que de Stefan Kunowski (C. Mazurek). 815. — G. Alberigo, Transizione epocale. Studi sul Concilio Vaticano II (J.-D. Durand). 818. — C. Theobald, « Dans les traces... » de la constitution « Dei Verbum » du concile Vatican II (P.-M. Beaude). 819. — Luigi Padovese. Vescovo cappuccino, Vicario Apostolico dell’Anatolia. A cura di P. Martinelli et al. (V. Serra de Manresa). 820. — V. Aucante, Benoît XVI et l’Islam (E. Platti). 823.
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