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1882
Volume 5, Issue 1
  • ISSN: 2294-9321
  • E-ISSN: 2507-0339

Abstract

Abstract

De nombreux indices dans le Nouveau Testament, particulièrement dans la , suggèrent que le cadre du récit de la Passion se situe à l’automne. La fête du Nouvel An juif fournit également un meilleur contexte typologique pour la perception de la mort de Jésus comme un sacrifice d’expiation. Il existe une ambiguïté semblable dans le contexte liturgique concernant le sacrifice d’Isaac où tant le cadre de la Pâque juive que celui du Nouvel An juif semblent avoir été impliqués à différents stades de la tradition. À la suite de M. Halbwachs, cet article propose une méthode pour aborder ces ambiguïtés afin de montrer que la mémoire du christianisme ancien préservait le récit de la Passion à l’intérieur de deux contextes, chacun lié à une fête juive majeure. La tradition synoptique, suivie par le (mais sans la Cène), a choisi le cadre de la Pâque juive qui est donc devenue canonique. Cependant, le récit de la Passion suggère plutôt qu’elle s’est essentiellement développée en référence à divers éléments de la fête du Nouvel An, alors que la semble refléter une autre tradition qui lie la mort de Jésus à la figure du grand prêtre et à son rôle durant Kippour.

Abstract

Numerous clues in the New Testament, especially the , suggest an autumn setting for the Passion narrative, and the Jewish New Year festival complex also provides a better typological context for the perception of Jesus’ death as an atoning sacrifice. There is a similar ambiguity in liturgical context concerning the sacrifice of Isaac, where both Passover and New Year settings seem to be implicated at different stages of the tradition. The essay proposes a useful method of approach to these ambiguities, following the lead of M. Halbwachs, in order to suggest that early Christian memory preserved the Passion story within two different contexts, each attached to a major Jewish festival. The Synoptic tradition, followed by the (but without the Last Supper), have chosen the Passover setting which has therefore become canonical. However, the Passion narrative itself suggests that it was developed primarily with reference to various elements of the New Year festival complex, while the may reflect an ongoing tradition that linked the death of Jesus to the figure of the high priest’s performance at Kippurim.

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2017-01-01
2025-12-05

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