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Livres et lectures de femmes en Europe entre moyen âge et renaissance
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Léon IX et son temps
show More to view fulltext, buy and share links for:Léon IX et son temps show Less to hide fulltext, buy and share links for: Léon IX et son tempsLe pontificat de Léon IX (1049-1054) marque un tournant dans l’histoire de l’Eglise. Energique et déterminé, Léon IX voyage au sud comme au nord des Alpes, tient de nombreux conciles, fait sentir même aux évêques le poids de l’autorité romaine, tente de mener une politique cohérente face aux Normands et aux Byzantins, réforme la vieille chancellerie pontificale… Il lance ainsi, dans le respect de l’autorité impériale, la réforme de l’Eglise qui deviendra ensuite la réforme grégorienne.
Saisissant le prétexte du millénaire de sa naissance, un colloque réuni à Strasbourg en juin 2002 a fait le point sur les origines, la personnalité, l’action et l’entourage de ce pape, ainsi que sur les sources, narratives, diplomatiques, épistolaires, nécrologiques, archéologiques et autres, de l’histoire de son pontificat.
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La méthode critique au Moyen Âge
show More to view fulltext, buy and share links for:La méthode critique au Moyen Âge show Less to hide fulltext, buy and share links for: La méthode critique au Moyen ÂgeLe Moyen Âge est considéré par beaucoup comme l’«âge de la foi». Aujourd’hui, on insiste plus volontiers sur les progrès qu’il a fait accomplir à la pensée, aux techniques, aux sciences. Mais peut-on parler pour autant d’une réflexion critique, voire, comme le suggère le titre un peu provocateur de ce livre, d’une méthode critique, c’est-à-dire d’une attitude consciente permettant un discernement dans les données de la foi, de l’histoire ou de la science? Les études rassemblées ici montrent que cette réflexion critique a bien eu lieu durant tout le Moyen Âge et qu’elle s’est exercée dans les domaines de la critique textuelle, de la critique des faits, de la critique d’authenticité et de la critique doctrinale. Si la critique historique se montre parfois hésitante, on sera peut-être surpris de constater que c’est dans le champ du religieux que l’esprit critique s’exerce le plus intensément et le plus rigoureusement, qu’il s’agisse de l’établissement du texte de la Bible, du rejet de certaines superstitions ou de la mise à l’épreuve de toutes les thèses de la théologie, y compris des plus fondamentales. Deux contributions portant sur le xvi e siècle, considéré comme le début de l’esprit critique, montrent que le Moyen Âge soutient bien la comparaison. Cet esprit critique se développe en effet dans tous les domaines, surtout à partir des contradictions entre autorités: que faire quand deux autorités de même niveau s’affrontent? Les auteurs du Moyen Âge ne se sont pas résolus à l’aporie et, après avoir examiné tous les aspects d’une «question» (théologique, scientifique, historique…), ont toujours cherché une solutio, manifestant ainsi une liberté qui nous étonne.
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La prière en latin, de l’Antiquité au XVIe siècle : formes, évolutions, significations
show More to view fulltext, buy and share links for:La prière en latin, de l’Antiquité au XVIe siècle : formes, évolutions, significations show Less to hide fulltext, buy and share links for: La prière en latin, de l’Antiquité au XVIe siècle : formes, évolutions, significationsÀ un moment où plusieurs travaux sont consacrés à la prière et où cette question semble de plus en plus intéresser la communauté scientifique, une trentaine de spécialistes — littéraires, linguistes, historiens, philosophes, théologiens — se sont réunis à Nice afin d’étudier les formes, les évolutions et les significations de la prière en latin, depuis ses origines étrusco-italiques jusqu’à la Réforme protestante. C’est ainsi plus de vingt siècles de textes eucologiques latins qui sont abordés, selon des perspectives et des approches différentes mais complémentaires, dans un dialogue riche de débats.
L’ouvrage présente tout d’abord, sur un objet central dans l’histoire de l’Occident latin, corpus des sources et problématiques: écriture et oralité, liturgie et dévotion personnelle, ruptures et continuités entre la prière païenne et chrétienne… Il illustre ensuite la rencontre entre des chercheurs de disciplines diverses qui ont entrepris d’étudier la prière latine dans toutes ses harmoniques, ainsi que sa place dans différentes sociétés: civilisation romaine, Antiquité chrétienne, Moyen Âge occidental, Réforme protestante et réaction catholique. Ce livre offre enfin une large matière à réflexions pour tous ceux qui s’intéressent au sacré et à son expression.
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La vie culturelle, intellectuelle et scientifique à la cour des Papes d’Avignon
show More to view fulltext, buy and share links for:La vie culturelle, intellectuelle et scientifique à la cour des Papes d’Avignon show Less to hide fulltext, buy and share links for: La vie culturelle, intellectuelle et scientifique à la cour des Papes d’AvignonSi nous sommes bien informés concernant la vie scientifique et l’importance de la médecine à la Cour des Papes pendant le 13e siècle, il n’en va pas de même à propos de la Cour des Papes d’Avignon. Aucune étude d’ensemble n’a paru jusqu’à présent et la vie culturelle, scientifique et intellectuelle qui s’y déroula reste encore peu connue à bien des égards.
Afin de pallier cette lacune, plusieurs chercheurs ont accepté de présenter le résultat de recherches ponctuelles afin de donner un premier aperçu de la richesse de ce milieu. Les exposés illustrent la dimension interdisciplinaire du projet et portent surtout sur la bibliothèque des Papes, la production de manuscrits et les débats théologiques qui eurent lieu à Avignon. En outre, on trouvera un nouvel inventaire des manuscrits de Clément VI réalisé à l’aide de découvertes récentes ainsi que l’édition critique inédite de quelques textes susceptibles de mieux mettre en lumière les débats théologiques qui se déroulèrent à la Cour des Papes.
Les différents Papes eurent chacun leur politique et leurs intérêts. Mais de manière générale, on peut dire que sous leur pontificat la vie culturelle, scientifique, intellectuelle et artistique se développa de manière brillante. Il reste à espérer que ce volume incitera les chercheurs à montrer dans des recherches futures qu’il reste encore bien des aspects à mettre en lumière et bien des découvertes à faire dans les manuscrits et les archives.
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Les élites au haut moyen âge
show More to view fulltext, buy and share links for:Les élites au haut moyen âge show Less to hide fulltext, buy and share links for: Les élites au haut moyen âgeL’ouvrage propose un objet d’étude fascinant et paradoxal à la fois, celui des crises et du renouvellement des élites au haut Moyen Âge. Laissant de côté les concepts de noblesse on d’aristocratie, il adopte celui d’élites, emprunté à la sociologie, et braque ainsi le projecteur sur tous ceux qui d’une manière ou d’une autre exercent, dans leur champ, un pouvoir social lié à l’excellence, que ce soit celle de la naissance et du sang, on celle de la capacité, dans une activité quelconque, à se distinguer et à en tirer prestige, richesse ou honneur, celle du savoir enfin. Il prend donc en compte les élites du royaume autant que celle du village, les ecclésiastiques comme les laïcs. Reprenant l’idée de circulation des élites, il recherche les processus qui ont permis aux élites de survivre aux crises et de continuer d’asseoir leur domination quand le changement est si fort qu’il affecte l’ensemble de la société. L’enquête a été conduite sur la longue durée, depuis la fin du monde antique jusqu’au XIe siecle, et dans diverses régions (Espagne, France, Allemagne, Italie). Elle s’est attachée à des moments particuliers de mutation, à des types de crises, à des groupes d’élites en difficulté, à des familles qui ont connu une ascension rapide avant de s’effacer lentement… Les crises ont exacerbé la compétition sociale, elles ont aussi accéleré la mobilité et le renouvellement des élites. Indubitablement, les élites out survécu aux crises en tant que groupes dominants, mais assurément, dans la durée, elles ne se composaient ni des mêmes groupes, ni des mêmes familles.
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L’image dans la pensée et l’art au Moyen Age
show More to view fulltext, buy and share links for:L’image dans la pensée et l’art au Moyen Age show Less to hide fulltext, buy and share links for: L’image dans la pensée et l’art au Moyen AgeChaque année, depuis l’an 2000, un colloque pluridisciplinaire organisé par Rencontres Médiévales européennes permet l’approfondissement des études sur l’art et la liturgie au Moyen-Âge, principalement aux xii e et xiii e siècles. Ce sont les différentes composantes de la pensée religieuse qui sont ainsi cernées et qui se révèlent être une part importante de l’originalité de la civilisation européenne. Ce n’est pas une culture morte qui est exhumée mais bel et bien les points de repère qui font cruellement défaut à la société actuelle.
L’image pour l’image est un produit du xxi e siècle. Le tourbillon de représentations visuelles qui matraquent certains individus à toute heure, en tous lieux, avec des conséquences dramatiques parfois, est l’apanage malheureux de notre époque. Nos ancêtres, eux, se donnaient le temps de réfléchir à ce que signifiait ce à quoi ils allaient donner forme. C’est pourquoi l’image religieuse médiévale nous frappe autant, non seulement par son côté esthétique, mais parce qu’elle est lourde de spiritualité et de sens. Les hommes avaient ainsi conscience d’appartenir à une même société car ils savaient que, derrière chaque image, l’histoire racontée était la leur.
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L’écrit et le manuscrit à la fin du Moyen Âge
show More to view fulltext, buy and share links for:L’écrit et le manuscrit à la fin du Moyen Âge show Less to hide fulltext, buy and share links for: L’écrit et le manuscrit à la fin du Moyen ÂgeDu XIVe au début du XVIe siècle, le processus de création littéraire dévoile un nouveau rapport de l’auteur à son œuvre sous-tendu par le souci de donner corps à un livre, de donner vie à un objet qui transmettra un écrit. Cette singulière préoccupation véhicule un étonnant acte de foi en l’avenir, en une permanence que les aléas de la tradition manuscrite, voire de la réception contemporaine, démentent parfois. Centrées sur la préoccupation pour la matérialité jusque dans ses plus infimes détails, les contributions rassemblées dans ce volume font revivre les auteurs médiévaux et leurs œuvres dans le concret de l’espace manuscrit, et leur confèrent ainsi un nouvel éclairage, que n’apporte pas la seule lecture littéraire. Trente spécialistes de l’histoire du livre et de la littérature présentent, dans ce volume issu du 2e colloque international du Groupe de recherche sur le moyen français de l’Université catholique de Louvain (12, 13 et 14 mai 2005), un discours original et stimulant sur les rapports du codex et de ses contextes.
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Les relations culturelles entre chrétiens et musulmans au Moyen Age
show More to view fulltext, buy and share links for:Les relations culturelles entre chrétiens et musulmans au Moyen Age show Less to hide fulltext, buy and share links for: Les relations culturelles entre chrétiens et musulmans au Moyen AgeLe réveil est brutal. L’Europe somnolait sur son passé et sur ce qu’elle croyait acquis à tout jamais. Voilà que lui revient en boomerang une affaire qu’elle croyait avoir réglée une fois pour toutes, depuis les temps, ô combien lointains! de la bataille de Poitiers et ceux, plus récents, de la bataille de Lépante à laquelle elle associait toujours le nom de Cervantès.
L’Islam est de nouveau présent, non plus du fait de la conquête militaire mais de l’arrivée par vagues successives d’une population musulmane qui s’installe. Notre société, jusqu’à maintenant, n’avait pas pris tellement en compte cette situation.
Les problèmes sont là et se feront chaque année, plus compliqués, plus ardus à résoudre.
Au durcissement de la foi de certaines couches de la population musulmane répond une douce tiédeur de nos croyances chrétiennes ancestrales que nous sommes même parfois honteux de reconnaître.
Que faire, sinon reprendre notre histoire, étudier les relations culturelles qui se sont établies entre chrétiens et musulmans dès le Moyen Âge.
Notre propos aujourd’hui est de revenir aux sources des religions chrétienne et musulmane et de reprendre les discussions théologiques et philosophiques qui ont eu lieu dès le Moyen Âge.
Quels sont les points où il y a divergence fondamentale entre chrétiens et musulmans?
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Le médiéviste et la monographie familiale: sources, méthodes et problématiques
show More to view fulltext, buy and share links for:Le médiéviste et la monographie familiale: sources, méthodes et problématiques show Less to hide fulltext, buy and share links for: Le médiéviste et la monographie familiale: sources, méthodes et problématiquesLongtemps cantonnée à un cercle restreint de savants soldés par des mécènes en mal de reconnaissance sociale ou en quête d’exemption fiscale, puis rejetée par les courants historiographiques les plus novateurs du XXe siècle, la monographie familiale connaît de nos jours un regain de faveur parmi les médiévistes. L’irruption de la prosopographie en histoire sociale et le prestige retrouvé de la micro-histoire sont pour beaucoup dans cette évolution, favorable à l’éclosion d’études qui retracent le devenir d’un groupe familial déterminé. De nouvelles problématiques accompagnent ce changement épistémologique. En effet, l’arbre généalogique ne saurait plus cacher la forêt de l’histoire totale de la famille, conçue souvent comme le plus déterminant des éléments de tout système social. C’est à partir de sources diplomatiques, mais aussi d’écrits de nature généalogique, que le groupe de parenté et ses relations sont habituellement appréhendés par les chercheurs. L’étude de cette documentation exige des techniques érudites particulières, dont l’usage quotidien fait rarement l’objet d’une réflexion de méthode. Cette approche, en même temps concrète et abstraite, du métier de l’historien est au cœur de cet ouvrage.
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L’Université de Médecine de Montpellier et son rayonnement (XIIIe-XVe siècles)
show More to view fulltext, buy and share links for:L’Université de Médecine de Montpellier et son rayonnement (XIIIe-XVe siècles) show Less to hide fulltext, buy and share links for: L’Université de Médecine de Montpellier et son rayonnement (XIIIe-XVe siècles)Fréquenté par des étudiants venus de tous les pays, recrutant des maîtres eux-mêmes d’origines diverses, le studium de Montpellier s’est imposé dès le xiii e siècle comme l’un des grands centres européens des études médicales, formant des praticiens compétents, assurés, après y avoir conquis leurs grades, d’accomplir des carrières brillantes, du moins pour la plupart d’entre eux, fondées sur le prestige intellectuel, la considération sociale et l’aisance financière.
Dès le xiii e siècle, l’Université de médecine a été dotée de statuts. Elle a pu dès lors développer la formation des futurs praticiens sur des bases institutionnelles solides, attirant vers elle des professeurs renommés, tels Bernard de Gordon, Gérard de Solo, Arnaud de Villeneuve, Guy de Chauliac, Jean de Tournemire.
L’élaboration du savoir médical, outre le recours classique aux auctoritates antiques et arabes, s’est également souciée d’intégrer, à Montpellier, l’apport des disciplines voisines, telles la chirurgie et l’astrologie. Parmi les pathologies, les maladies de l’œil et la lèpre ont fait l’objet d’une attention particulière, tandis que les thérapeutiques, mettant en œuvre notamment les régimes de santé et intégrant la médecine montpelliéraine dans le cadre des pratiques universelles, ont pu harmonieusement combiner l’expérience et la réflexion savante. Forte de sa renommée et du rayonnement de son enseignement, la médecine montpelliéraine a ainsi construit une pensée dont les manuscrits conservés témoignent de la diffusion et illustrent l’influence que Montpellier, en ce domaine comme en d’autres, a exercée en Europe à la fin du Moyen Age.
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Learning and Literacy in Medieval England and Abroad
show More to view fulltext, buy and share links for:Learning and Literacy in Medieval England and Abroad show Less to hide fulltext, buy and share links for: Learning and Literacy in Medieval England and AbroadHow did people know what they knew, and learn what they learnt? As Derek Pearsall’s introduction makes clear this is the primary focus of the collection of essays published in celebration of the thirtieth anniversary of the foundation of the Centre for Medieval Studies at the University of York.
The learning materials included range from grammar books to mystery plays, and from court records to monastic chronicles, as well as liturgical and devotional texts. But the essays are not only concerned with texts alone, but with the broader and often fluid social environments in which learning took place. Many of the papers therefore question the validity of some distinctions habitually used in the discussion of medieval culture, such as the opposition between orality and literacy, between Latin and the vernacular or between secular and religious.
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Love, Marriage, and Family Ties in the Later Middle Ages
show More to view fulltext, buy and share links for:Love, Marriage, and Family Ties in the Later Middle Ages show Less to hide fulltext, buy and share links for: Love, Marriage, and Family Ties in the Later Middle AgesThis volume addresses the current fashion for research on the family and domesticity in the past. It draws together work from various disciplines - historical, art-historical, and literary - with their very different source materials and from a broad geographical area, including some countries - such as Croatia and Poland - which are not usually considered in standard textbooks on the medieval family. This volume considers the various affective relationships within and around the family and the manner in which those relationships were regulated and ritualized in more public arenas. Despite their disparate approaches and geographical spread, these essays share many thematic concerns; the ideologies which structured gender roles, inheritance rights, incest law and the ethics of domestic violence, for example, are all considered here. This collection originates from the Leeds IMC in 2001 when the special strand was entitled ‘Domus and Familia’ and attracted huge participation. This book aims to reflect that richness and variety whilst contributing to an expanding area of historical enquiry.
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L’architecture gothique au service de la liturgie
show More to view fulltext, buy and share links for:L’architecture gothique au service de la liturgie show Less to hide fulltext, buy and share links for: L’architecture gothique au service de la liturgieContrairement à ce que l’on a longtemps cru, l’architecture gothique ne naît pas simplement d’une évolution des formes et des techniques de construction. Bien au contraire, celles-ci ne sont que le moyen par lequel une génération nouvelle, dont Suger, abbé et maître d’œuvre de Saint-Denis, est le chef de file, adapte les lieux de culte à ses nouvelles exigences. Un premier colloque, tenu en 2000 à la fondation Singer-Polignac, avait permis de dessiner l’ambiance intellectuelle dans laquelle était né l’art nouveau: l’humanisme de l’école de Saint-Victor. À côté de ce renouveau intellectuel, il fallait également prendre en compte l’importance des transformations liturgiques qui se nouent au xii e siècle et qui jouent un rôle fondamental dans le renouveau inauguré par Saint-Denis. C’est la tâche dont se sont chargés sept historiens de l’art, de la littérature, de la musique, de la liturgie et des idées. Le rôle de Rome et des voyages italiens de l’abbé Suger apparaît prépondérant. L’architecture nouvelle adapte les édifices français aux exigences liturgiques créées par la réforme romaine, au lendemain de la querelle des investitures. Plus qu’un simple problème esthétique, et par-delà ses implications théologiques et philosophiques, le gothique est un art profondément ancré dans son époque et qui cherche à répondre aux problèmes nouveaux et aux nouveaux besoins fonctionnels qui s’affirment alors.
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Latin Culture in the Eleventh Century
show More to view fulltext, buy and share links for:Latin Culture in the Eleventh Century show Less to hide fulltext, buy and share links for: Latin Culture in the Eleventh CenturyLatin Culture in the Eleventh Century is a collection of approximately sixty papers presented at the Third International Conference on Medieval Latin Studies held at the University of Cambridge in September 1998. The collection embraces a wide range of fields related to Medieval Latin, including poetry, hymnology, music, theology and philosophy, historiography, and inscriptions, in addition to Latin linguistics and metrics. Contributions are drawn from leading scholars from many European countries as well as from North America and Australia. The volume should prove invaluable to all students of this period.
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L’attente des temps nouveaux. Eschatologie et millénarismes et visions du futur du Moyen Âge au XXe siècle
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Labour and labour markets between town and countryside (Middle Ages — 19th century)
show More to view fulltext, buy and share links for:Labour and labour markets between town and countryside (Middle Ages — 19th century) show Less to hide fulltext, buy and share links for: Labour and labour markets between town and countryside (Middle Ages — 19th century)Labour and labour markets in and between town and countryside have been puzzling to economic historians for generations. This book brings together specialists in economic and social history to explore a series of key mechanisms related to the organisation and interdependence of urban and rural labour markets.
A variety of issues, such as distribution, specialisation, and division of tasks, economies of urbanisation and (conversely) rural de-localisation, (temporary) mobility of labour and commercial links, organisation of working time, methods of remuneration, gendered specialisation of activities, are dealt with in this book from the viewpoint of (changing) relationships between rural and urban labour markets.
The renewed interest of social scientists in this research field is reflected by the diversity of the cases analysed according to geographical, demographic, and economic and political conditions. This book, therefore, provides interesting opportunities for a comparative reading of the significance of labour in the organisation of societies in the course of the centuries that preceded and led up to the ‘industrial age’ in Western Europe.
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Les traducteurs au travail. Leurs manuscrits et leurs méthodes
show More to view fulltext, buy and share links for:Les traducteurs au travail. Leurs manuscrits et leurs méthodes show Less to hide fulltext, buy and share links for: Les traducteurs au travail. Leurs manuscrits et leurs méthodesLe moyen âge latin fut par définition une période de traduction. Soucieux d’avoir à leur disposition les textes d’autres cultures, les médiévaux n’ont eu de cesse de transférer d’une langue à l’autre les œuvres de l’Antiquité classique ainsi que l’héritage arabe et hébreu avec les moyens dont ils disposaient à leur époque.
Afin d’avoir une meilleure connaissance de leurs méthodes de travail et des problèmes inhérents au passage d’une langue à l’autre, il est important de retrouver les manuscrits qui ont servi de base de travail aux traducteurs. On y trouve des notes de leur main qui expliquent les difficultés rencontrées, les hésitations dans l’utilisation d’un terme plutôt qu’un autre pour rendre en latin un vocable de la langue source ainsi que des notes marginales qui sont autant de remarques philologiques, matériel de première main pour notre compréhension et notre connaissance des niveaux linguistiques tant des traducteurs que des utilisateurs depuis l’Antiquité jusqu’à la Renaissance.
D’autre part, lorsqu’elles existent, les préfaces laissées par les traducteurs en tête de leur travail constituent des documents de première importance pour notre compréhension de leurs problèmes et pour la reconstitution de la méthode utilisée pour les résoudre.
On trouvera dans ce volume beaucoup de matériel encore inédit. Les recherches menées sur les manuscrits ont permis de voir plus clair dans la problématique propre aux traductions faites tant sur le grec, l’arabe, le syriaque, l’hébreu qu’en langues vulgaires. Les exposés sont dus à des spécialistes des divers domaines concernés.
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